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 slowly dancing in a burning room ; lily&pho

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Phoenix T. Alexander
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MessageSujet: slowly dancing in a burning room ; lily&pho   slowly dancing in a burning room ; lily&pho EmptyJeu 7 Juil - 21:00

    slowly dancing in a burning room ; lily&pho Tumblr_llips3yaHH1qdoa6uo1_500
    slowly dancing in a burning room.
    Cette journée avait été plutôt tranquille, pas de pagaille à la maison. Tout avait été à la perfection. Normal, personne n'était à la maison pour venir m'énerver. J'avais passé la journée seule parce que mon père était au boulot et ma mère était partie à un week-end écolo à New York et avait enmener mon frère pour lui éviter des blessures graves qui auraient étés commises par ma personne. Ma journée avait réellement été ennuyeuse. Je m'étais levée tard, très tard, car personne n'était là pour crier et chialer vers sept heure du matin et ainsi me sortir prématurément d'un sommeil, léger, doux et réparateur. J'avais fumé des cloppes, encore et encore. Je ne les comptaient plus, mais plusieurs paquets reposaient, vides, sur le sol. Ça pouvait vous donner une idée. J'aimais me tuer à petit feu avec tout cette merde. Comme quoi, je n'accordais pas une place spéciale à mon existence. J'avais écouté un film, au début il était bon. L'histoire d'une stripteaseuse qui tentait de refaire sa vie. Je m'en était lassée rapidement. La fille en question était passée de la salope de la ville à la petite sainte. Personne ne redevenait vierge, je ne croyais pas à ses conneries. Abandonnant l'histoire de la fille de joie, j'avais appeller un copain pour qu'il vienne pimenter mon après-midi. Je jouais moi-même la fille de joie sans avoir peur d'en faire trembler les murs. Mon père n'allait certainement pas arriver d'avance. Et même si c'était le cas, tant pis pour lui. Il aurait droit à une partie du spectacle. Je n'avais aucune gêne avec ma sexualité, s'en était presque effrayant pour mon entourage. Je ne leur racontais pas tout, mais ils savaient la pluspart des conneries que je faisais. Lorsque des jumelles sortaient de ma chambre à l'heure des poules, ma famille savait que nous n'avions pas fait des devoirs ou écouter un film. Mon ami moderne avait foutu le camp sans demander son reste et pour ma part j'étais crevée. J'avais faim, mes muscles criaient à l'aide, mais je ne les écoutaient pas. Je ne voulais pas dormir. Me coucher tôt pour être en forme le lendemain ? Être en forme pour quoi ? Je n'avais absolument rien de prévu le lendemain, encore une journée tranquille et seule. Une dernière journée avant le retour de la tempête, les éclairs, la pluie, le vent. Bref, les trois membres de ce que je devais apeller, mas famille. Le retour à la réalité allait être dur. Supporter de nouveau leurs voix, leurs présences encombrantes. Ne plus pouvoir faire ce que je voulais snas qu'on ne me le reproche. Plus de parties de jambes en l'air dans le salon et encore moins sur le plancher de ma chambre. J'allais devoir aérer l'appartement pour qu'ils ne me reprochent pas d'avoir trop fumer dans notre demeure. Bordel. Ils restrègnaient ma vie d'une façon pas possible. Je sentais qu'à leur retour, j'allais avoir besoin de mon espace encore plus qu'avant. Fuck. Tant pis, j'irais squater chez Alexander. Pendant un instant, j'eu envie de gravir les escaliers (ou prendre l'ascenceur) pour aller le (probablement l'ascenceur, j'suis un peu lâche) voir et me (mais ça fait peur les ascenceurs, okay j'arrête) changer les idées. Je ne voulais par contre pas le déranger. Je ne voulais pas être son parasite. Je l'aimais bien et je ne voulais pas que ça change. Je me levais pour aller chez-lui, je lui demanderais la permission pour m'assurer de ne pas gâcher ses plans de soirée. Je me stoppais alors que mon portable vibrait dans ma poche. Je le prennais pour constater le message de Lily.

    Citation :
    J'ai faim, j'ai soif, j'ai envie de toi. Au Danny Coyle's dans 20 minutes.

    Lil.

    Je ne me fit pas prier, je me changeais rapidement. Un short en jeans déchiré, un débardeur blanc et des baskets, mon sac puis je filais. Fuck Alex, j'irais le voir demain. Je le réveillerais en lui apportant un café, quoi qu'il se lèverait probablement avant moi. Je rentrais très tard, comme à chaque soir avec Lily. Je comptais bien la ramener à la maison, encore une fois. Une très courte marche m'avais amenée au resto-bar où je n'avais pas l'âge de boire, mais où je buvais malgré tout. J'y entrais et mon regard commençait déjà à dévoré la pièce pour trouver ma belle amie. Elle était bien la, fidèle au poste, déjà un verre en main. Je m'approchais d'elle, un petit côté prédatrice dans la peau. J'arrivais par derrière et lorsque je fut à sa hauter, je callais mon nez dans son cou pour y déposer un baiser. Je lui fis un clin d'oeil puis m'assied à ses côtés. je ne regardais pas autour, je la fixais.

    « T'as déjà commandé poupée ? » Lui demandais-je, jouant les mauvaises drageuses. Nous n'étions plus à ce stade. Je l'avais fréquemment dans mon lit, je n'avais plus rien à lui prouver.
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Lilly C. Campbell
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MessageSujet: Re: slowly dancing in a burning room ; lily&pho   slowly dancing in a burning room ; lily&pho EmptyDim 10 Juil - 13:36




Phoenix & Lilly



Journée de merde. Tout cela avait déjà très mal commencé quand déjà, le matin, elle n’avait rien à manger pour le petit déjeuné. En plus de ça, elle n’avait plus un rond, son boulot de serveuse lui permettait à peine de rejoindre les deux bouts pour ses fins de mois. Donc elle ne pouvait même pas se payer quelque chose. Alors Lilly, ce matin même, avait été contrainte d’aller rendre visite à ses parents. La jeune femme détestait faire ça, mais cette fois ci, elle n’avait pas le choix. Pourtant, ses parents lui prêtèrent volontiers l’argent qu’elle venait de demander. C’était surtout par principe, que cela lui déplaisait. A la base, Lilly était parti du nid familial pour pouvoir se débrouiller toute seule. Et là, elle revenait comme une fleur vers ses parents quand elle avait un problème. C’était trop simple. Alors que certains mourraient de fin dans les coins de rues qui leur servaient de maison. Bref. A partir de là, Lilly avait été d’humeur maussade toute la journée. Au lieu d’aller en cours, la belle avait passé son après midi à traîner à l’aquarium. Son endroit préféré de la ville. Et elle était restée là à regarder les poissons, sans rien dire. Seule. Comme souvent.
Rentrée chez elle, Lilly un bon bain d’au moins une heure. Ou deux. Comment savoir ? Elle n’avait aucune notion du temps. La musique à fond, elle chantait toute seule comme une folle. Ce qui avait le don de l’apaiser, et pour le coup, elle se trouvait de meilleure humeur. Heureusement qu’il n’y avait pas de caméra cachée chez elle, sinon on l’a mettrait directement à l’asile. On aurait dit qu’elle se prenait vraiment pour une star, prenant le pomo de douche pour un micro
Son heure de gloire et de folie passée, Lilly sortit de son bain, plutôt souriante. Oui, elle arrivait à changé d’humeur avec un rien du tout. Maintenant qu’elle se sentait plutôt bien, elle voulait sortir ce soir, alors que Lilly avait prévu de rester réviser ce soir. Non, la jeune femme voulait sortir, faire quelque chose. C’était de ce genre de femmes qui changeait constamment d’avis. Après avoir sécher ses cheveux châtain et ondulés qu’elle n’attachait pas, Lilly décida d’envoyer un sms. A quelqu’un. La jeune femme fouilla son répertoire bien maigre par rapport aux autres personnes de son âge. Au début, elle avait voulu appeler Shakespeare, pour qu’ils passent la soirée ensemble. Mais elle était certaine que ce dernier la remettrait dans la mauvaise humeur dont elle avait réussi à se débarrasser. Liam était sûrement occuper à faire son dealeur.. Puis elle n’avait même pas envie de le voir, il était constamment en train de faire sa victime, prétextant ne pas savoir choisir entre Lilly et Catel. Bref, les garçons étaient toujours une vraie prise de tête. Les filles, c’était bien mieux. Ou du moins, une fille en particulier. Phoenix. Lilly s’empressa de lui envoyé un texto, donc. Elle lui avait donné rendez vous au Danny Coyle's. Lilly s’empressa de se maquiller, et elle mit une petite robe rose, mignonne, plutôt courte. Même très courte. Trop courte, sûrement. Mais ce n’était pas grave. Puisqu’elle avait de belles et grandes jambes, autant les montrer et faire profiter tout le monde. Ses ballerines mises, et son sac à main sur son épaule, Lilly dévala les escaliers à une vitesse surprenante. Et en 5 minutes à peine, elle était déjà au resto-bar. Bon, d’un côté, le Danny Coyle’s était dans la même rue que son appart. Logique qu’elle arrive vite. Cela faisait un petit bout de temps qu’elle n’avait pas vu Phoenix, et bon, il fallait avouer qu’à chaque fois que Lilly passait du temps avec elle, jamais elle n’était déçue. Arrivée, Lilly s’asseya à une table, et demanda un verre d’eau en attendant.
Les jambes croisées, la belle jeune femme jouait sur son portable en attendant, échangeant quelques sms occasionnellement. Jusqu'à sentir quelque chose de froid mais pourtant agréable dans son cou. Les lèvres de Phoenix, quoi d'autres ? Lilly releva la tête, son sourire éblouissant aux lèvres. « T'as déjà commandé poupée ? » Un rire amusé se fit entendre. Son rire. Phoenix et Lilly n'était plus à ce niveau là. Lilly ne regardait que Phoenix, et rien d'autre. Comme si elles étaient seulement deux dans la pièce. «Non, pas encore. Je t'attendais bébé. » Bonjour les surnoms débiles. Mais bon, elle avait commencé par un "poupée", elle renchérissais avec un "bébé". Normal, non ? Lilly fit un clin d'oeil à la belle rouquine. La belle jeune femme passa une main dans ses cheveux, et regardait Pho'. Elle ne savait même plus comment elle l'avait rencontré, même si c'était récent. En plus, elle était tellement plus jeune qu'elle. Enfin, "tellement", c'était une façon de parler. Pho n'avait même pas 17 ans, et Lilly allait bientôt avoir 20 ans. Chercher l'erreur. Mais la jeune brunette se sentait bien avec elle. Et puis, c'était elle qui lui avait fait découvert d'autres horizons. « Prends ce que tu veux, c'est moi qui paye.» Bon, oui, elle ne devrait pas vu sa situation, mais ce n'était pas grave. Une folie de temps à autres, ça ne faisait rien. On avait qu'une vie, après tout. « On prendra le dessert chez toi. » Un clin d'oeil, et une phrase pleine de sous entendus que forcément Phoenix comprendrait.
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