Sujet: ANDY&RYAN → The scars of your love they leave me breathless Dim 15 Mai - 14:58
Un sourire devant l'objectif, une pose suggestive, un autre sourire. Tout est dans le simulé car sourire devant l'appareil du mari de son ex n'est pas facile. Je ne peux pas m'empêcher de penser que si je n'avais pas fait l'erreur de répondre non à Andreas, je serais à sa place. Mais je lui souris car c'est mon métier et car il n'a aucune idée de ce à quoi je pense. Il ignore même que je connaissais sa femme avant qu'ils ne viennent à San Francisco et il pense sûrement qu'elle m'a engagée sans raison particulière. Je continuais donc de poser comme il me le demande en évitant de penser à tout ça. Quand il me dit que la séance est terminée, je souris, contente d'arrêter. Comme je sais que nous reprendrons cet après-midi, je garde la robe que je porte et j'enfile juste une veste par-dessus avant de sortir du studio photo. Je me dirige vers le bureau de la patronne qui, j'ai l'impression, m'évite en ce moment. Je sais que Jake reste dans le studio pour d'autres photos avec d'autres mannequins alors je devrais pouvoir réussir à parler à Andreas. Je frappe à la porte en recoiffant machinalement. J'entre après avoir entendu l'autorisation et je pris soin de refermer la porte derrière moi. « J'aurais besoin de ton avis Andy. » Je m'approchais de son bureau en souriant. « J'hésite à me faire un nouveau tatouage. Soit... » Je soulevais ma robe dévoilant sans gêne mon boxer et je montrais le haut de ma hanche. « Ici. Ou bien... » Je me retournais en remontant l'arrière de ma robe et en montrant le bas de mon dos. « Là. » Je me retournais en laissant retomber le tissu et en souriant. « Tu sais que j'en ai déjà un un peu plus bas et il me semble que tu l'aimais bien. » Aucun doute là-dessus, elle l'aimait beaucoup à l'epoque où nous étions ensemble mon tatouage caché sous mon boxer. Mais j'attendais de voir quelle serait sa réponse.
Owen-Phillip Gallagher
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Sujet: Re: ANDY&RYAN → The scars of your love they leave me breathless Dim 15 Mai - 18:09
Des dossiers, des dossiers encore des dossiers, des dossiers, des dossiers, toujours des dossiers.Un instant, Andreas faillit capituler : il y en avait trop, elle n'aurait jamais le temps et elle n'en verrait jamais le bout. Voilà ce qu'elle pensait devant la pile implacable qui se dressait sous ses yeux fatigués. Une semaine, une semaine qu'elle se battait avec la justice pour prouver qu'elle n'avait rien à voir le décès de l'une des mannequins. Lysianne, une grande brune très blanche aux lèvres rouges et aux pupilles charbonneuses, qui s'était jetée du haut du pont de San Francisco il y a de cela un mois. Bien entendu, elle avait un avocat qui lui avait préparé une défense béton, mais elle était perfectionniste et maniaque, pas question pour elle de s'en remettre totalement à son représentant judiciaire, malgré les milliers de dollars qu'elle lui avait reversé. Cette affaire allait porter atteinte à l'intégrité du magazine si un quelconque journaliste véreux la publiait dans un journal local. Passant une main sur son front, elle se leva pour étirer doucement ses membres endoloris. Tapotant nerveusement sur son téléphone, elle contacta sa secrétaire pour qu'elle lui réserve une heure de massage, le lendemain. Andy était sur le point de faire valdinguer au travers de sa pièce la totalité des feuilles qui recouvraient son bureau quand quelqu'un toqua à la porte. Sèchement, elle répondit « N'entrez pas . » mais c'était peine perdue et la personne pénétra les lieux. Évidemment, c'était Maryan. À savoir, de loin la dernière femme qu'elle désirait voir en cet instant, sous peine de l'énerver encore plus. Pourquoi ? Parce qu'elle rappelait à son bon souvenir une multitude de sentiments qu'elle avait cru oubliés. Parce qu'elle refusait d'admettre qu'une femme puisse l'attirer, et encore plus qu'elle déclenche tant d'émotions contradictoires dans son cœur. La jolie blonde - décidément superbe dans cette robe aérienne qui mettait en valeur ses formes - s'approcha de son bureau « J'aurais besoin de ton avis Andy. J'hésite à me faire un nouveau tatouage. Soit... » . Andreas pinça les lèvres, lasse. Manifestement, il était temps pour elle de mettre les points sur les i. « Maryan, je t'ai dis que tu ne pouvais pas entrer, et honnêtement te conseiller quant à tes pulsions pseudo-artistiques est la dernière de mes priorités .» mais son employée l'ignora superbement pour soulever doucement le pan de soie et désigner sa hanche « Ici. Ou bien... Là. » à présent, c'était le bas de son dos qu'elle montrait sans gêne. Si Andreas n'avait été si fatiguée, elle aurait été émoussée par la vue attrayante de cette peau dénudée, mais un mal de tête lancinant écrasait un à un tout autre émotion que celle de la douleur « Tu sais que j'en ai déjà un un peu plus bas et il me semble que tu l'aimais bien. ». Elle ferma les yeux pour déclarer, froidement : « Je ne vois pas de quoi tu parles. Maintenant pars . » d'une main, elle lissa sa jupe et releva la tête, reprenant d'un coup son rôle sévère de patronne que rien ne touche et encore moins une top-modèle aux mimiques aguicheuses « Je pense que vous avez sans doute mieux à faire que de vous exhiber comme une vulgaire prostituée . »
EDIT JOLENE: Maryan reprends-toi EDIT ANDREAS: Casses toi de mon rp
Alexis Tate-Appleton
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Sujet: Re: ANDY&RYAN → The scars of your love they leave me breathless Jeu 19 Mai - 4:35
« N'entrez pas. » Sans écouter la réponse, j'entrais et je commençais mon petit numéro improvisé. Elle tenta de m'arrêter en me disant « Maryan, je t'ai dis que tu ne pouvais pas entrer, et honnêtement te conseiller quant à tes pulsions pseudo-artistiques est la dernière de mes priorités .» Peut-être avait-elle raison, peut-être que j'allais trop loin ? Mais c'était pour elle que je faisais ça. Je ne pouvais pas continuer à la voir avec son mari, s'affichent tout sourire à son bras alors que je suis toujours folle d'elle. J'ignore si elle ne m'a pas oubliée depuis le temps mais le fait que ce soit elle qui m'ait engagé me laisse un espoir. Et je ne compte pas laisser tomber tant que cet espoir sera présent. Alors je continue de montrer mon corps en ignorant sa remarque. Une fois que j'ai fini et que j'ai fait une petite référence au passé, je remarque que son expression est toujours très tendue et je sais qu'elle reste énervée visiblement. « Je ne vois pas de quoi tu parles. Maintenant pars . » Elle comptait vraiment faire comme si rien ne s'était passé entre nous ? Peut-être n'était-elle pas aussi amoureuse de moi que moi je l'étais d'elle ? Mais elle m'avait demandé en mariage. Je ne la comprenais pas. Je ne répondis rien et je ne bougeais pas. « Je pense que vous avez sans doute mieux à faire que de vous exhiber comme une vulgaire prostituée. » Pourquoi passait-elle ainsi du tutoiement au vouvoiement ? Je devinais qu'elle souhaitait surement garder ses distances. Mais pas besoin d'être méchante non plus. Sa phrase me fit mal. Bien sûr, je pourrais faire autre chose mais c'était elle que je voulais. Alors peu m'importais comment je devais me comporter pour arriver à mes fins. Mais rien que le ton sec de sa voix me fit souffrir. Malgré mon apparence de femme forte, il m'arrivait de souffrir et de vouloir m'enfermer pour pleurer. Mais je ne montrais rien du fait que j'étais proche des larmes. « Je ne sais pas quand tu es devenue aussi froide et impersonnelle. Mais ça ne te va pas du tout. » Pour l'avoir connue à ses vingts ans, j'avais connu une partie heureuse et toujours souriante de sa personnalité. Alors la voir ainsi était étrange. Je ne pouvais m'empêcher de me dire qu'elle ne devait pas être si heureuse que ça dans sa vie parfaite en apparence. « Tu devrais travailler moins et t'amuser un peu de temps en temps. » dis-je sans lui laisser le temps de réagir à ma phrase précédente. Elle risquait de ne pas apprécier mais cela m'importait peu. J'avais plus peur qu'elle refasse un commentaire méchant et que je ne puisse retenir mes larmes. Alors je pris la décision de partir en femme forte et de ne pas lui montrer ma tristesse si bien cachée. Sans qu'elle ait eu le temps de répondre pour être à nouveau blessante, je dis « Je dois y aller. J'ai... un truc à faire. Appelle-moi si jamais tu as besoin de moi. » Je tournais les talons en sentant le tissu de ma robe suivre le mouvement et voler un peu. Alors je me dirigeais vers la porte en espérant qu'elle me dise de rester mais également en espérant pouvoir partir. Je ne voulais pas craquer devant elle mais si elle me retenait, cela voudrait dire qu'elle se préoccupait toujours de moi.
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Owen-Phillip Gallagher
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Sujet: Re: ANDY&RYAN → The scars of your love they leave me breathless Dim 22 Mai - 5:00
« Je ne sais pas quand tu es devenue aussi froide et impersonnelle. Mais ça ne te va pas du tout. » rétorqua méchamment Maryan et cette simple phrase la transperça de part en part. Ne pouvait-elle pas supporter qu'elle fut heureuse sans elle ? Que sa place de patronne rende délicat le plus banal des échanges ? Réalisait-elle à quel point sa simple présence la bouleversait et la perdait dans des sentiments trop grands pour un cœur qui ne lui appartenait plus ? Cette pensée lui donna envie de pleurer. Parce que sa vie n'était plus qu'un gigantesque point d'interrogation, et qu'elle ne méritait pas d'être jugée aussi durement. La jeune femme répliqua, amère « Et qui es-tu pour juger qui je suis ? Nous ne sommes ni amies, ni parentes, ni amantes . » . Et pourtant, sentir la bouche de Maryan contre la sienne, pouvoir à nouveau caresser sa peau et coiffer ses cheveux, ce n'était pas une perspective désagréable à son esprit fatigué. La blonde suggéra sans perdre de son acidité « Tu devrais travailler moins et t'amuser un peu de temps en temps. ».Oui, c'était tellement facile pour elle de dire cela...Elle était top modèle, son rôle était de sourire, d'avoir l'air belle et heureuse, de rayonner. Cela n'impliquait pas trois gros dossiers, une dizaine d'articles à lire et des contrats à signer. Cependant, elle préféra ne pas lui en faire part, si le bruit courrait dans le magazine qu'elle méprisait cette profession, elle allait se retrouver avec une grève sur les bras et elle n'avait pas besoin de ça. Sèchement, elle répondit « Oui, tu as raison, ça doit être mon travail qui me ronge et pas la bonne dizaine d'employés comme toi qui viennent chaque jour se plaindre à mon bureau . », ce que Ryan n'entendit pas puisque déjà elle disait « Je dois y aller. J'ai... un truc à faire. Appelle-moi si jamais tu as besoin de moi. » Andreas comprit qu'elle avait véritablement blessé le modèle et elle se leva aussitôt pour la retenir, bien qu'elle soit encore tiraillée entre son devoir et ce que son cœur lui dictait. Mais il n'y a pas d'adultère quand on s'excuse à une personne qui nous est cher. Mais, elle même ne comprenait pas à quel point, son unique certitude : elle avait vécu assez longtemps loin d'elle et elle se refusait à la perdre une nouvelle fois, peu importait ce que cela lui couterait, elle la voulait dans sa vie. Un instant, elle resta immobile, interdite, ses muscles tétanisés de peur . Elle n'osait pas lui demander de rester. Rester pour quoi, de toute façon ? Payer les pots cassés de sa mauvaise humeur ? Mais ne risquait-elle pas de se faire une ennemie indésirée en la laissant lui tourner le dos et s'en aller sans un regard ? Son orgueil, pourtant, la pressait de n'y prêter garde, mais pour une fois elle l'ignora superbement, ce n'était pas une question de vanité. Maryan était son ex et l'une de ses histoires d'amour les plus douloureuses. La blonde méritait de la considération. Elle bredouilla lamentablement « A...Attends.... Maryan ... ». Vite, trouver une excuse bidon « Tu ... Ton photoshoot, dans une heure, ne sois pas en retard . »
Dernière édition par Andreas Emerson-Listings le Mer 25 Mai - 10:52, édité 1 fois
Alexis Tate-Appleton
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Sujet: Re: ANDY&RYAN → The scars of your love they leave me breathless Mar 24 Mai - 15:40
« Et qui es-tu pour juger qui je suis ? Nous ne sommes ni amies, ni parentes, ni amantes . » Bien sûr, je savais que ma phrase risquait de ne pas lui plaire. Mais de là à être aussi méchante. Je savais bien tout ça, pour mon plus grand malheur. Et le fait qu'elle ajoute le dernier mot était encore plus douloureux. « Oui, tu as raison, ça doit être mon travail qui me ronge et pas la bonne dizaine d'employés comme toi qui viennent chaque jour se plaindre à mon bureau . » Je ne relevais pas et décidais de faire ce que j'avais décidé. Je ne voulais pas craquer ici, devant elle. Ce serait trop humiliant de pleurer devant elle alors qu'elle semblait si insensible et si heureuse sans moi. Alors je prononçais quelques mots, une excuse bidon et je tournais les talons. Je ne pus m'empêcher d'entendre Andy se lever mais je continuais quand même. Je ne voulais pas céder aussi facilement. Je voulais que ce soit elle qui me dise de rester et non pas moi qui reste de mon plein gré. C'était peut-être égoïste mais je voulais de l'espoir. Je ne comptais pas abandonner à moins d'être sûre de n'avoir aucune chance. « A...Attends.... Maryan ... Tu ... Ton photoshoot, dans une heure, ne sois pas en retard . » C'était tout ? Je pris une inspiration avant de me retourner et de la regarder dans les yeux. Je ne pus m'empêcher de penser à quel point elle était belle et m'avait manqué. J'avais envie de revenir en arrière pour défaire la pire erreur de ma vie et la garder avec moi pour toujours. Mais je ne pouvais pas remonter le temps alors je ne pouvais qu'essayer de la récupérer. « Oui je sais. Je n'ai pas besoin de toi pour savoir mon emploi du temps. » J'optais pour la froideur, meilleure solution pour éviter de souffrir - et surtout de ne pas montrer la tristesse. « C'est vraiment tout ce que tu as à me dire ? Si c'est le cas, je ferais mieux de partir. » dis-je, sûre de moi. Je ne détournais pas mon regard du sien bien que je ne voulais qu'une chose : sortir d'ici et aller me planquer dans un coin pour pleurer.
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Sujet: Re: ANDY&RYAN → The scars of your love they leave me breathless Jeu 26 Mai - 11:30
« Oui je sais. Je n'ai pas besoin de toi pour savoir mon emploi du temps. » assura t-elle rudement, alors qu'elle s'était retournée pour la fixer avec hardiesse du regard, magnifique et flamboyante dans sa colère. Andreas eut un pincement au cœur de la blesser malgré elle « C'est vraiment tout ce que tu as à me dire ? Si c'est le cas, je ferais mieux de partir. » . Tout ce qu'elle avait lui dire ? Pas vraiment. Tout ce qu'elle pouvait lui dire ? Certainement. Depuis qu'elle l'avait engagée deux mois auparavant, c'est à peine si elles s'étaient adressée la parole, ce qui n'était sûrement pas la faute de Maryan puisque cette dernière avait tenté plusieurs fois d'engager la conversation, mais celle d'Andy qui l'avait fuit avec vigueur. Elle soupira. Il fallait qu'un jour, elle accepte d'en parler. Mais accepter d'en parler ne ferait que rendre leur ancienne relation plus réelle, ce qu'elle avait toujours évité par honte. Non, la jeune femme ne supportait qu'une personne du même sexe qu'elle puisse l'attirer à ce point, et bien peu de gens avaient été mis au courant de ce qui l'unissait à Ryan, du temps de leurs amours. Un choix que la blonde avait d'abord supporté, puis qui avait causé leur séparation. Andy se mordit la lèvre et leva les yeux au ciel pour marmonner « Qu'est-ce que tu veux entendre ? Qu'est-ce que tu attends de moi ? Dis le ! ». Elle avait finis sa phrase en criant, les larmes aux yeux d'être allée si loin et d'avoir révélé le fond de sa pensée. Elle ne faisait qu'éviter de dire une vérité qui la faisait souffrir, Maryan le savait. Cependant, elle ne put se résoudre à la regarder à nouveau dans le fond glacé des yeux de son ex . Il avait fallu peu de choses pour la mettre à bout, et elle se maudit d'avoir formulé ces questions : elle était vulnérable et terriblement faible quand il s'agissait de Maryan. Énervée, elle n'en resta pas là et ajouta, furibonde « Tu es contente de toi ? Tu as réussi à me foutre à bout . Bravo, on applaudit l'artiste ! » elle claqua la porte derrière elles. C'était une discussion privée qui ne regardait personne. D'autant que son mari n'avait jamais été au courant de certains de ses penchants homosexuels et qu'elle n'avait pas jugé utile de lui révéler. Andy avait abandonné son rôle froid de patronne hautaine et hostile. Le pire dans tout cela, au delà de la colère qu'elle ressentait au plus profond de ses tripes, c'était cette sombre pulsion qui s'emparait d'elle et qui la poussait dans les bras de cette déesse blonde. Elle n'y céda cependant pas. Tout contact physique avec Maryan la dévierait de son objectif premier : mettre les choses au clair. La directrice de LIBER-TEEN, cependant, relâcha la pression qui s'abattait ses ses épaules et demanda, suppliante « Pourquoi es-tu ici, exactement ? ».. Sans lui donner d'explication, son ex tourbillonna en une étincelle de cheveux blonds et s'enfuit littéralement de la pièce.
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Sujet: Re: ANDY&RYAN → The scars of your love they leave me breathless
ANDY&RYAN → The scars of your love they leave me breathless