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 Here we go again I kinda wanna be more then friends [Darcy]

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Magaly Bonhavre
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MessageSujet: Here we go again I kinda wanna be more then friends [Darcy]   Here we go again I kinda wanna be more then friends [Darcy] EmptyJeu 21 Juil - 2:35

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« Certaines histoires vous marquent à

Jamais.. »

Je n’en pouvais plus. C’était trop dur. Trop d’erreur, trop de doute et surtout, le vide. Un néant anarchique dans lequel tombé n’était plus essoufflant mais léthargique. Même si l’on se débâtait, on comprenait que la noirceur était beaucoup plus puissante que les épaules que l’univers nous avait données. On nous a souvent dit qu’il fallait toujours se battre devant un obstacle. Mais la noirceur était traitresse. Comment ce battre alors que nos yeux nous empêchent de voir, que nos mains cherchent à tâtons quelque chose sur quoi s’agripper. Quelque chose sur quoi s’éclater la tête. Le noir nous laissait deux possibilité, croire qu’il y avait une lumière au bout et qu’il suffisait de la chercher, ou comprendre que tout ce charabia de psycho pop était pour les gens qui se croyaient dépressif alors qu’ils étaient simplement tristes. Non au fond c’était rien de tout ça. C’était juste ça. Une putain de noirceur. Dans lequel on avait peur. Car il n’y a pas de putain de veilleuses pour nous ramener, et tout ce qu’on réussit à faire c’est d’emmener nos proches à se perdre dans notre impuissance et finir par se recroquevillé aux milieux de nulle part hurlant à l’aide. On dit que dans l’espace, personne n’entend vos cris. Dans la douleur aussi. On dit qu’on vous comprend, que c’est normal, qu’avec le temps tout passe. A eux, j’ai envie de les envoyer valser. Non être plus vulgaire. Les envoyer chier. Littéralement. Les phrases préconçues, c’était le pire des venins dans une détresse, l’effet totalement inverse se produisait; au lieu de rassurer la personne, cela l’enrageait. Pourquoi? Simple. Elle se l’était dire combien de fois pensez vous? Et de toute façon, le temps n’arrangeait rien, il ne faisait qu’endormir une douleur trop vive. Et ce par survie. La cage thoracique protégeait le cœur qui pompait le sang dans nos veines, le temps protégeait le cœur meurtrit par les blessures du passée.

Défoncée, ce n’était plus le mot. J’avais totalement consommée ce que mon dealer m’avait fournis au club de Lorcan il y a deux jours. Je cachais des bouteilles d’alcool sous mon lit pour ne pas éveiller les soupçons de mon demi-frère sur la profondeur de ma déchéance. Mais il me connaissait trop, il le savait de toute façon. Mais il était là. Près de moi. Il me protégeait, m’écoutait pleurer et venait les soirs me prendre dans ses bras alors qu’il m’entendait gémir de tristesse. Avec ses enfants, Allan pouvait rarement être là. Et ce soir j’étais seule devant l’ordinateur à fixer un mail que Roskana venait de m’envoyer. J’étais incapable de l’ouvrir. Dave Matthew jouait en boucle ma chanson de rupture et je regardais le titre de ce mail contenant ces même paroles. Même dans la séparation, Rosie et moi étions unis. Unis par les mêmes paroles. «Making plan to change the world, while the world is changing us. » J’allais lire les dernières paroles de ma meilleure amie qui m’avait quitté pour resté en Angleterre et franchement, je n’en avait aucune envie. Aucun courage. Je me levai, tremblante, me fichant d’être totalement nue dans cet appartement trop vide et je fermai la stéréo avant d’aller dans ma chambre prendre la première bouteille qui me tomba sous la main. Puis je m’assis sur mon lit regardant mes mains. L’une contenant de la téquila, l’autre ensanglanté après avoir frapper le mur de brique de ma chambre en me réveillant ce matin. Une rail de coke sur ma table de chevet, la dernière. Je souris, déposai ma bouteille et m’enfilai cette neige d’amour. Soupirant doucement, je me laissai tomber sur le dos. Mes draps de satin frôlèrent mes courbes me faisant frissonner. Je fermai les yeux. Combien de fois nous avions fait l’amour ici. Ces scènes sensuelles et érotiques me revirent en tête à la vitesse où le gout de la luxure pris mon âme. Je frissonnai alors que mes mains caresseraient les courbes de ma peau, frôlant la féminité de mon être entier. Et dans cet état de transe sexuelle, je ne pu que sursauter lorsque le téléphone sonna. Je rassurai Allan au combiné qui prenait de mes nouvelles à chaque soir puis je soupirai en déposant le combiné. La cocaïne faisant effet, je me relevai et pris mon sac a main. J’enfilai ma bouteille à l’intérieur et mis ma robe rouge qui mettait si bien en valeur mes seins; au diable les sous-vêtements ce soir. J’avais une idée en tête et vu mon état, je n’y décrocherai pas.

J’étais chez Darcy, sa mère jouait encore un mélodrame à propos de je ne savais plus quoi. Je ne l’écoutais pas. Mon ami se prenait la tête avec sa mère et moi, couchée à plat ventre sur son lit, je mangeais du pop-corn et je matais un film bidon que nous avions acheté cet après-midi. Au bout de vingt minutes, mon ami revint, les joues rouges de colère. «Désolé que tu aies entendu ça» J’haussai les épaules, lui montrant qu’au fond j’avais l’habitud. Il se coucha près de moi, je lui racontai ce qu’il avait manquée et nous vidâmes le pop corn et le coca. Je me couchai sur le dos alors que le générique termina, riant de la fin totalement improbable et bidon alors que mon ami enleva le bol du lit. Je continuais à parler alors que je sentis son visage dans mon cou. Mon cœur stoppa tout comme mon souffle alors que je sentis ses lèvres. Reprendre là où nous avions été arrêter il y a une semaine. C’est ce qu’il m’avait soufflé alors que sa main touchait mon seil sous mon gilet. Et soudain, la panique me pris le cœur. Si j’avais été prête il y a une semaine, ce soir, non. Et je ne voulais pas le blessé. C’était un choix difficle. Le faire par peur ou dire non et espéré qu’il comprendrait. Je profitais du baiser qu’il me donna, me souvenant de la touche de miel que goutaient ses lèvres, de son halène chocolat, puis à contre-cœur je rompis le baiser. «Non Da’… » soufflais-je le cœur brisée. «Je…non… j’peux pas…»

J’étais devant la porte de chez Darcy frappant, impatiente, replaçant mes cheveux. Plus jamais une femme, les hommes font blessent, mais beaucoup moins. Darcy ouvrit la porte et sans un bonjour, sans un mot j’allais l’embrasser de la façon dont j’avais toujours désirer : avec désir, avec violence, avec passion.
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MessageSujet: Re: Here we go again I kinda wanna be more then friends [Darcy]   Here we go again I kinda wanna be more then friends [Darcy] EmptyVen 22 Juil - 13:38


Here we go again I kinda wanna be more then friends [Darcy] Boy-couple-cute-girl-kiss-love-favim.com-99111_large

________Magaly & Darcy ________
I'm want to do bad thing to you


« J’apprécie vraiment l’intention mais j’aimerais me reposer » soufflais-je le combiner collé à la joue, tentant d’apaiser l’enthousiasme de mon meilleur ami , qui à l’autre bout du fil s’époumonait à éveiller en moi une envie irrépressible de vouloir me bourrer la gueule en sa compagnie dans un club très branché du centre : « J’sais bien que ta couille te manque mais j’ai pas l’choix si je veux être frais pour demain » je détachais mon oreille du téléphone, un crie perçant ressemblant vaguement à une interrogation venant exploser contre mon tympan : « Une intervention chirurgicale et dis-toi que j’ai dû supplier le titulaire pour qu’il me prenne avec lui » j’étais tellement excité que je savais d’avance que je ne fermerais certainement pas l’œil de la nuit. Quadruple pontage coronarien, presque un rêve tellement rare, il fallait absolument que j’en soi. « Je sais que je te suis indispensable mais tu n’as personne d’autre à aller harceler ? » Un sourire vint naitre sur mes lèvres alors qu’il me suppliait à nouveau chouinant comme un gamin, il devait déjà avoir fait chauffé sa carte bleue, champagne, probablement même carré VIP : c’était tout lui ça, jouer les gosses de riches sous les yeux envieux du reste de la populace : « Refreine tes ardeurs sur l’alcool, la dernière fois tu as frôlé le coma éthylique ! » Je m’esclaffais d’un rire sonore alors qu’il commençait déjà à chantonner notre hymne d’ivresse – sachez, pour la petite anecdote : qu’on a dû la chanter des centaines de fois en l’espace d’un an, je vous laisse imaginer le nombre de cuites qu’on s’est pris avec cette loque survitaminée- tandis que je me lançais avec lui en chœur : « Buvons, buvons toute la nuit, durant. Serrons, Serrons, toute la nuit durant. » Je laissais mes yeux se poser sur l’horloge qui indiquait une heure tardive, il m’avait eu le saligaud ! Me garder au téléphone à défaut de me garder auprès de lui, manipulateur et scélérat !

De manière impromptue, la sonnerie de la porte d’entrée retentit, me sortant de la léthargie dans laquelle je me trouvais, je priais alors mon pote de m’excuser, que je le rappelais surement plus tard pour lui tenir compagnie, sachant pertinemment au fond de moi, que séducteur comme il était : il n’allait pas rester seul bien longtemps. J’eus à peine le temps de reconnaitre les traits de la charmante Bonhavre que ses lèvres vinrent presser goulument contre les miennes. Ce qui suivit échappa à mon contrôle, mon instinct animal en position ON prit le dessus sur ma conscience d’individu modèle. Je m’emparais de son fessier, réalisant une délicate pression dessus, aussitôt, je la soulevais du sol, laissant ses jambes encercler mon bassin. Efficace la technique, solidement cramponnée à mon torse, je pus ainsi refermer la porte sur nous. Je n’étais plus du tout maitre de mes gestes, je me laissais emporté par le désir longtemps passé sous silence et l’embrassais avec fougue. Son haleine alcoolisée quoique absolument addictive me parut agréable, je laissais mes mains agripper le pan de sa robe cherchant à la lui arracher. Qu’en était-il de Roksana ? Etrange, pensais-je. Alors qu’elle s’apprêtait à tirer sur ma braguette, je la stoppais d’un geste de la main, posant mon regard sur elle, je lançais, haletant : « Attends, tu n’es plus lesbienne ? » Lorsqu’elle se mit à me fixer un large sourire aux lèvres, ses yeux injectées de sang, les pupilles dilatées, je compris : « Tu es stone, ‘fallait s’en douter ». Je me détachais d’elle, soulagé quoique déçu par son comportement.
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Magaly Bonhavre
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MessageSujet: Re: Here we go again I kinda wanna be more then friends [Darcy]   Here we go again I kinda wanna be more then friends [Darcy] EmptyDim 24 Juil - 3:02

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Ses lèvres contre les miennes, enfin. Le gout que j’avais retenu, le gout qui m’avait tant suivis dans mes fantasmes nocturne. Putain. High c’était encore cent fois meilleures, cent fois plus savoureux, cent fois plus excitant. Et alors que je sentais que sa réaction à mon baiser n’était pas le repoussement mais au contraire, une réponse. Une réponse langoureuse, passionné, sexuelle. Je frissonnais de désir alors que mes doigts se nouèrent dans ses cheveux auburn. Même si ce n’était que ce baiser auquel j’aurai droit ce soir, j’allais en profiter de la façon de la plus érotique qui soit. Lorsque ca main toucha mon fessier, je compris alors que ce ne serai pas qu’un baiser. Ses doigts touchaient la peau de mes fesses, alors qu’un frisson me parcouru l’âme, je remerciai mon état totalement ivre de n’avoir pas pris le temps de mettre ces bout de tissus qui n’aurait que donner une barrière de plus à ce sexe qui s’exhibait de notre baiser. Cette situation, cette chaleur, ces langues se caressant, c’était plus qu’un rêve de jeunesse, c’était un simple désir profond de lui, de le savoir mien, d’être sienne Le temps d’une soirée. Que nous étions enfin à pouvoir consommer ce que nous avions toujours été empêchés de faire. Le plus ironique, c’est que si je ne l’avais pas vu attendre Romuald il y a une semaine, jamais je n’aurai jamais pensé venir ici. Ce même Romuald qui avait tout fait arrêter la première fois nous avait donné cet opportunité que tous deux goutions avec un désir sauvage. Et alors que je m’agrippais à lui et qu’il refermait la porte, je compris par la bosse que cette envie n’était pas à sens unique. Mon plexus solaire explosa faisant vibrer chaque partie de mon être. Chaque caresse me étaient nirvanique et abrutissait en mon cœur le souvenir de Roskana, en fait alors qu’il agrippait ma robe de la sorte, ma jambe arqué contre lui, je ne pensais plus à elle. Ce que l’alcool et la drogue n’avait pas effacée, Darcy avait réussis à le faire.

Alors qu’il continuait ses caresses, je m’affairais d’avancer nos ébats glissant mes doigts sur son torse dénudé pour aller vers son pantalon geste que je regrettai amèrement lorsqu’il rompit notre baiser, nous donnant certes le temps de respirer, mais poser une question me fit rire. « Attends, tu n’es plus lesbienne ? » D’un regard, je lui fis comprendre que ce n’était pas l’essentiel et que je n’étais qu’à lui. Que ce soir, l’orientation sexuelle n’avait pas d’importance et que seule l’envie prédominait l’être défoncée que j’étais. Je revins pour l’embrasser lorsqu’il prononça ce que je ne voulais pas entendre. « Tu es stone, ‘fallait s’en douter ». Alors qu’il se détacha de moi, j’éclatai en sanglot. Venu de nulle part, alors qu’une minutes avant je ne voulais que son corps, maintenant je pleurais en tremblant comme une loque. «Oui j’suis défoncée et alors? J’ai pas le droit d’avoir envie de toi.» Je m’assis sur son divan, totalement molle et sans force vitale. Seul l’extasie que j’avais pris et la douleur qui se réanimait me faisait respirer. Bien vite je me retrouvai couchée sans le vouloir sur les coussins de son divan, incapable de me tenir. Une bretelle de ma robe descendit de mon épaule mais c’était le dernier de mes soucis. Je croisai les jambes, à la fois blessée et honteuse qu’il ait stoppé ce moment charnel et irréfléchi. Je ne voulais plus de conséquence, que des actions. J’étais certaine que déjà elle était dans un bar à se taper une des ces filles trop blondes qui l’avaient toujours allumés. J’avais le droit moi aussi. JE souffrais. Je voulais mourir en fait. Mais l’agonie était plus douce, et agoniser dans la luxure était quelque chose de plus viable que dans la conscience et la responsabilité des actes. «Et j’ai des raisons de me saouler…De….. De me défoncer. » Je fermai les yeux, incapable de le regarder


«Arrête moi ce regard ARRETE»
Pleurais-je sans même voir son regard. Mais avec la drogue et l’alcool venait la paranoïa qui m’était unique. J’étais convaincue qu’il me jugeait avec les mêmes arguments et soupirs que Lorcan. Après tout, je n’étais surement pas loin du compte. La petite Magaly, la bourreau de travail, elle qui ne sortait jamais durant les cours, qui buvait que peu et qui consommait qu’à l’occasion, là voilà totalement défoncée dans l’appartement de Darcy, prête le corps bouillant mais l’esprit engourdi pour oublier la douleur et le désastre qu’était devenue ma vie depuis une semaine. Depuis que mon cœur s’était arraché de ma poitrine et que le trou laissée là étaient devenu noir, profond et absorbait tout ce que j’étais pour me transformée en cet être léthargique prête à tout pour oublier. Jusqu’à l’overdose s’il fallait. « Arrête de me juger Da’… Fuck je l’aimais… Je l’aimais et elle…. Au téléphone.» Je pleurais de plus belle alors que tentais de me relever vainement du divan et je ne fini que par m’éclater le crane contre l’accoudoir. Cela me ramena à cette réalité voilée par mon état peu sobre. «Je suis célibataire Darcy» Dis-je finalement, essuyant mes larmes, reprenant mon rôle d’enjôleuse, celui que j’étais venu faire pour enfin avoir ce que je voulais depuis mes 16 ans. A quatre patte sur le canapé, dévoilant dans mon décolleté mes seins nus je le regardai avec les yeux rouges de tristesse mais remplis de désir, celui que j’avais eu pour lui toute mon adolescence. «Et je veux être avec toi ce soir.» Le message était clair, j’espérais simplement qu’il oublie ma crise dont j’étais honteuse et dont –je souhaitais de tout mon âme- nous parlerions plus tard.

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