Sujet: (terminée) FRANZISKA ; paper planes Jeu 16 Juin - 17:20
franziska regina heinrich
« Cette fille, c'est un courant d'air et un éclat de rire. Un sacré bout de femme, je vous le dis. Quand je l'ai rencontrée, elle était bien plus jeune, mais je dois admettre que même à 30 ans, elle reste canon. Je l'avais rencontrée à Londres, dans un pub assez fréquenté. Elle est allemande, je l'avais tout de suite entendu à son accent très germanique, qu'elle a toujours d'ailleurs. Elle était telle qu'elle est aujourd'hui, avec une robe très courte, des longs cheveux et des cuissardes. Elle se laissait balancer au rythme de la musique. Je n'avais rien vu d'aussi spectaculaire. Elle m'a tout de suite plu. Pendant longtemps, elle posait pour moi, on a arpenté le monde, je la photographiais constamment, comme deux bohèmes. Et, on s'est perdu de vue. » « Franziska, c'est ma plus grosse déception. Elle a pris les gènes de son père, je le vois. Je l'ai surtout senti quand elle est partie de la maison pour aller vivre sa propre histoire. Elle vivait comme top model, alors qu'elle est minuscule ! Pendant que ses frères et soeurs m'aidaient à la ferme, madame vivait la grande et belle vie. D'ailleurs, elle vit toujours de son passé de model. Elle n'a rien besoin de faire, elle sera riche quoiqu'il arrive. C'est sans doute ce que je trouve le plus détestable chez elle. En plus, elle n'est même pas mariée !!!! Elle n'a ni enfant ni mari, à 30 ans. C'est une brave honte. Je fais croire aux gens du village qu'elle a une famille, pour ne pas être la risée de toute la Bavière. »
1ER ÉTAGE« GOOD MORNING AND, IN CASE I DON'T SEE YA, GOOD AFTERNOON, GOOD EVENING, AND GOOD NIGHT ! »
que fais-tu à san francisco ? concrètement, rien du tout. Je suis venue ici, parce que je n'y avais jamais habité. Mais, je m'y sens chez moi, ça faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé. ton appartement de rêve, il est comment ? du blanc, de l'espace, des bougies, une odeur fraîche, une salle de bain à l'italienne, un bowling, si c'est pas trop demander. et ton/ta voisin(e) de rêve ? Discret, poli et aimable (baisable) quel métier exerce-tu ? Aussi étonnant que cela puisse paraître, je ne travaille pas. Je voue mon temps au shopping, aux expositions d'art, au cinéma et aux séances de yoga. ton plus beau souvenir ? Les souvenirs, c'est pas un bon plan. Mais disons que je garde de bon souvenir de cris sur les vinyles des rolling stones avec mon père, en Allemagne. t'as des secrets où tu es un plutôt un livre ouvert ? Je ne me dévoile pas beaucoup, mais je n'ai pas grand chose à cacher non plus : pas d'enfant abandonné, pas d'arrestation. on a tous un rêve, le tien c'est ... Avoir une érection. groupe désiré ? THE MRS STINSFIRE avatar Diane Kruger
2ÈME ÉTAGE« I WANT TO BE AN EXPLORER, LIKE THE GREAT MAGELLAN. »
Spoiler:
PSEUDO&PRÉNOM springfield ÂGE 19 ans PAYS&RÉGION France AVIS SUR LE FORUM trop beau QUELQUE CHOSE À AJOUTER miaaaaaaou MDP DU RÉGLEMENT je le trouve pas... swarleyteam
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Franziska R. Heinrich
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Sujet: Re: (terminée) FRANZISKA ; paper planes Jeu 16 Juin - 17:21
R.D.C.« WE ACCEPT THE REALITY OF THE WORLD WITH WHICH WE ARE PRESENTED. »
Je pénétrais d'un pas lourd dans le studio. Une musique qui m'était familière m'arrivait jusqu'aux oreilles. « Est-ce que c'est vraiment cette putain de chanson traditionnelle allemande remixée ? » Il arriva par derrière. J'eus à peine le temps de sentir son souffle dans mon dos, qu'il m'embrassait sensuellement dans le cou. Je m'écartais de lui brusquement. « Je te surprendrai toujours. » Je fréquentais depuis quelques temps un banquier de La City. Et lui, ce stupide photographe pervers, menteur et égoïste, essayait de me séduire. L'un était ma vertu, l'autre ma déchéance. Et peu à peu, c'était du démon que je m'éprenais. Il était beau et dangereux. Moi, j'étais petite et chétive. Tout me tournait vers lui alors que j'essayais de résister à sa beauté si peu commune. Mon coeur battait à tout rompre, mes sens étaient à fleur de peau. Il effleura mon épaule avec sa main froide pour faire tomber la bretelle de mon débardeur trop grand qui laissait ainsi deviner ma poitrine presque inexistante. « Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant d'une femme inconnue... » Tandis qu'il faisait glisser l'autre bretelle, il me susurrait à l'oreille les célèbres vers de Verlaine. Peu à peu, mes jambes fléchirent, mes yeux se fermèrent, et l'obscurité s'empara de moi. Ses caresses, son souffle, ses baisers.
Nous avions adopté trop tôt ce genre de relation malsaine. On passait le plus clair de notre temps à faire l'amour ou à se droguer. Cependant, tout dérapa tristement. Nous étions fous amoureux l'un de l'autre, mais la drogue nous rongeait petit à petit. Nous ne pouvions parfois plus nous regarder en face, tellement l'image qui nous revenait était décevante. On avait un grand appartement dans le quartier branché de la capitale. Le genre d'endroit qui inspire le bonheur, mais nous avions du mal à le trouver. Quand nous étions chacun de notre côté, c'était encore pire. Lui et moi nous soutenions, on était complémentaires, la vie paraissait impossible sans l'autre à son côté. J'étais la moitié d'un tout. Nous avions tous les deux changé. Notre insouciance nous avait conduit dans un tourbillon dévastateur. Je l'observais, l'homme que j'aimais, j'aurais pu le qualifier de n'importe quelle autre chose à vrai dire. Il continuait à prendre des rails de cocaïne. « Tu peux pas t'arrêter avec cette putain de drogue ?! Je veux plus vivre tout ça, t'entends ? » Je soufflai en plein sur le tas de poudre blanche qui s'éparpillait partout sur le tapis. J'étais en ébullition. « Non, mais tu te fous de moi Franziska ! Je peux bien faire ce que je veux et rappelle toi bien qu'ici c'est moi qui commande. » Il me dégoûtait quand il avait cette attitude, avec son regard hautain et ses allures de macho. Il tentait de ramasser les restes de coke. Ses joues étaient creusées, il avait de grandes cernes noires sous les yeux. « Regarde toi, t'es pitoyable ! Tu étais capable de tout avoir et regarde ce que tu es devenu. Tu n'es plus rien ! » Les mots sortaient seuls de ma bouche et je savais très bien que j'allais les regretter. D'un geste violent, il renversait la table basse du salon. J'avais du mal à suivre tout ce qui se passait. Il saisit violemment mon bras. « Ne me dis plus jamais ce que j'ai à faire ou ce que j'aurais pu faire ! » Il forçait de plus en plus, et l'effet des drogues n'était pas assez important pour estomper ma peur. « Tu me fais mal, putain. Alors quoi maintenant, tu vas me tabasser comme tous les pauvres camés le font avec leur femme ? » D'un coup sec, il lâcha mon bras et me fit tomber sur le tapis. Les larmes coulaient sur mes joues. Je me demandais ce qui avait pu nous amener jusque là. Nous étions tellement libres que nous avions fini par nous jeter en pature aux lions. « Tout ça c'est de ta faute ! Tu es la pire chose qui me soit jamais arrivée, et tu le sais aussi bien que moi. Si je ne t'avais pas vu ce jour-là, esseulée, je ne t'aurais jamais rencontrée, et je n'aurais pas gâché ma vie pour une femme. » Qu'il me compare à une fille quelconque venait de me tuer. Je me relevais et me ruais sur lui. Avec mes petits poings, je tentais tant bien que mal de le blesser, pour qu'il comprenne, ce que je ressentais. Mais sans succès. Lui, riait aux éclats, de son rire machiavélique. Je lui mis une petite gifle, mais je n'avais pas prévu que celle qu'il allait me renvoyer, ce serait de toutes ses forces. Sa main atterrit si fort sur mon visage que je tombais à terre. Je pense que c'est là qu'il finit par saisir son geste et ses paroles. A toute vitesse, je le sentis se pencher au dessus de moi. Sonnée, je ne répondais pas. J'entendais de façon lointaine qu'il répétait mon nom, affolé. Je ne sais combien de temps passa avant que j'ouvre les yeux, allongée dans notre lit. Il n'y avait aucun bruit dans l'appartement, seulement les traces de notre guerre acharnée. Il était parti et n'avait laissé qu'un simple mot. « Je ne veux plus te faire de mal, je vais aller en désintox, attends moi, je te reviendrai. » Il y est allé mais n'est jamais revenu. Alors, j'ai refait ma vie, j'ai quitté l'Angleterre et j'ai fui à San Francisco.
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Sujet: Re: (terminée) FRANZISKA ; paper planes Jeu 16 Juin - 17:29
Bienvenue à toi, et très bon choix avec Diane
Franziska R. Heinrich
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Sujet: Re: (terminée) FRANZISKA ; paper planes Jeu 16 Juin - 17:31
Merci
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Sujet: Re: (terminée) FRANZISKA ; paper planes Jeu 16 Juin - 17:37
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH DIANE HAAAAN Je t'aime déjà Franchement SUPER bon choix d'avatar !!! Bonne chance pour ta fiche ! J'ai toujours vu Diane et Heath Ledger ensemble, va savoir pourquoi Mais je l'avais fais sur un forum, un super couple, personne m'avait prit Diane Bref, j'arrête de raconter ma life Très trèèèèèèèès bon choix ! Han, ça me donne envie de faire Heath BREEEF shut up me ! BONNE CHANCE !
Franziska R. Heinrich
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Sujet: Re: (terminée) FRANZISKA ; paper planes Jeu 16 Juin - 17:46
SI TU ETAIS HEATH, JE T'EPOUSERAIS DIRECT ! merci pour ce bienvenue hors du commun. Je t'aime déjà aussi. Rien que pour ça, il nous faudra un BEAU ET GROS lien ! et MGMT
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Sujet: Re: (terminée) FRANZISKA ; paper planes Jeu 16 Juin - 17:52
J'aime faire les choses pas comme les autres Et ça doit être le contre-coup de la philo lié au fait que tu es pris Diane... Si je pouvais, je prendrai Heath ! Mais bon, j'ai déjà deux comptes... cependant, si tu fais un scénario avec Heath je serai trèèès tenté de le prendre... Même si j'ai déjà deux comptes, mais le staff m'aime bien... OUAIS ! ZE LIEN DE LA MORT
Jed Vargas
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Sujet: Re: (terminée) FRANZISKA ; paper planes Lun 20 Juin - 17:39
ADONIS + LUKE
merci à vous deux
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Sujet: Re: (terminée) FRANZISKA ; paper planes Mar 21 Juin - 10:43
diane bienvenue
Beau Lennon
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