SHILOH-NOUVEL → « cette fille c’est un prédateur déguisé en caniche ! »
Auteur
Message
Invité Invité
Sujet: SHILOH-NOUVEL → « cette fille c’est un prédateur déguisé en caniche ! » Dim 12 Juin - 19:52
Shiloh-Nouvel O'Callaghan
Shiloh-Nouvel. Prénom peu banal pour la personne peu banale que je suis. C'est ce que mon père ne cesse de me répéter depuis vingt-trois ans. C'est d'ailleurs lui qui a choisi ce prénom, quand j'y pense, il n'a jamais dévoilé ce qui l'avait inspiré à ce moment là. Je suis née et j'ai grandi en Thaïlande mais si vous êtes assez lucide, vous devinerez que je ne suis pas thaïlandaise. Je suis née d'une mère dominicaine et d'un père irlandais, mélange peu commun, je vous l'accorde. La nationalité de mon père explique surement le fait que j'ai un nom de famille si occidental que O'Callaghan. Je vis depuis cinq ans à San Francisco. Avant d'habiter cet immeuble, j'étais à l'Université de San Francisco, par conséquent, je vivais sur le campus avec mes deux frères, qui eux, sont toujours à l’Université. J'habite désormais seule dans ce grand appartement. Même pas un chat pour me tenir compagnie... Vous trouvez ça triste ? Détrompez-vous. J'aime avoir cette sensation d'indépendance, et puis, le célibat n'est pas vraiment un problème. Je n'ai eu qu'un coup de foudre dans ma vie, ce qui est peu, et croyez moi, ce n'est pas près de se reproduire. Sinon, le jour, je suis stagiaire dans le bureau de la rédactrice en chef du magasine VOGUE et la nuit, je troque mon tailleur contre de légères tenues de scène. En conclusion, je dors très peu, d'ailleurs, ma meilleure amie se nomme Caféine. Pour ce qui est de mon caractère, je vais faire court et sympa. On va dire que je suis une fille complètement décalée. C'est le tout premier terme que j'utiliserai si je devais me décrire. Je n'ai jamais été comme tout le monde, j'ai toujours eu le rôle de la fille différente que les autres regardent du coin de l'oeil. D'abord à cause de mon style de vie et mon éducation qui à été disons, peu commune. Tant de détails qui font de moi quelqu'un de différent aux yeux des autres. Il est vrai que quand j'observe les personnes qui m'entourent je me demande si finalement la différence, n'est-t-elle pas un atout ? Déjantée. C'est vrai, je suis complètement barge. Je suis de celles n'ont pas de limites, celles qui sont partant pour tout et n'importe quoi. J'ose tout, quitte à commettre des actions irréfléchies et à le regretter par la suite. Je suis extraordinaire, je sors de l'ordinaire. On pourrait aussi appeler ça de l'excentricité. Tolérante. En grandissant, j'ai appris qu'il ne fallait pas juger les gens sur une apparence, une réputation ou encore une erreur passée. Malgré ça, les gens peuvent changer, et moi, je crois aux secondes chances. Souriante. Quand on y pense, je suis toujours en train de sourire, rire ou faire rire. Croyez moi, mes frères m'ont parfaitement enseigné l'art des blagues salaces. Je suis une amoureuse inconditionnelle de la vie vous diront mes parents. Peu de choses peuvent réellement me faire perdre ma bonne humeur. Attachante. J'ai une facilité d'attachement assez rapide et j'ai tendance à crée très vite des liens avec les personnes qui m'entourent. D'ailleurs, une fois que je me suis liée à quelqu'un, je deviens très vite jalouse, voir possessive et carrément insupportable, j'en ai conscience. Têtue. Une vraie tête de mule, entêté, voir complètement bornée, essayer de me faire comprodre quelque chose c'est un vrai défis, mes amis. Rancunière. Autant je m'attache facilement, autant je peux très vite me détacher. Quand je donne ma confiance à quelqu'un, je la donne entièrement et quand on à le malheur de la trahir, on la regagne difficilement mais jamais entièrement. En bref, je suis pas super intéressante mais je pense être quelqu'un de bien.
R.D.C.« WE ACCEPT THE REALITY OF THE WORLD WITH WHICH WE ARE PRESENTED. »
« Quand on a un rêve, on se bat de toutes ses forces pour qu'il devienne réalité. ». C'est la phrase que je me répète sans cessa avant de me lever chaque matin.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, je suis née à Bangkok en Thaïlande, d'une mère dominicaine et d'un père irlandais. J'ai deux frères aînés. Jared et Ezra, eux aussi nés à Bangkok. Ils sont passionnés de musique. Ils faisaient d'ailleurs partie d'un groupe en Thaïlande qu'ils avaient monté avec leurs amis. Ils avaient nommé le groupe " The Redskins ". Jared était à la batterie tandis que Ezra, lui était sur le devant de la scène, jouant de la guitare électrique et chantant les morceaux. C'est en partie en les observant jouer et se donner à fond que mon amour pour la musique est né.
Mes parents avaient décidé de quitter leurs familles et leur petit quotidien Irlandais quand me mère était enceinte de Jared afin de s'envoler vers une destination plus ensoleillée. Mon père étant un reporter fasciné par la nature qui nous à fait visiter la Terre entière et ma mère une hippie amusante et déjantée ils nous ont donné, à mes frères et à moi, une éducation plus ou moins religieuse et assez naturelle, ce qui explique probablement le fait qu'aujourd'hui je sois si ouverte d'esprit. Ils nous répètent encore sans cesse qu'ils ont fat leur jobs, faire de nous des gens biens. C'est vrai qu'ils ont du sacrifier énormément pour nous apporter tant d'amour et tant d'attention. Le fait de venir habiter en Thaïlande était de nous faire grandir loin des grandes agglomérations occidentalisées et de toutes ses influences et de tout ses artifices. Ma mère s'entêtait à nous cuisiner des petits plats équilibrés et à nous apprendre le Russe tandis que mon père, lui nous enseignait des valeurs telles que le respect d'autrui et de sois-même, la tolérance et la famille. Valeurs que nous avons toujours conservées.
En grandissant à Bangkok, j'ai vu mes camarades de classe devenir de magnifiques créatures longilignes aux jambes interminables. Elles étaient toutes passionnées par la scène, plus précisément de danse, orientale ou occidentale et même du burlesque qui, à l'époque, était très mal vu par la société thaïlandaise. Très vite, je me suis laissée entraîner dans cet engrenage. Je passais mon temps libre à danser, chanter et essayer toutes sorte de tenues de scènes aussi farfelues les une que les autres. Mon désir de monter sur scène, lui, ne faisait qu’accroître de jours en jours...
Quand le jour de ma majorité ( 18 ans en Thaïlande ) fut arrivé, après de longs mois mois de réflexion, je pris la décision de faire part à ma famille mon désir d'étudier le milieu de la danse et de la musique à l'étranger. Par chance, j'ai des parents compréhensifs et encourageants, et comme je m'y attendais; ils furent tout à fait ravis de ma décision. « Tu as la chance d'avoir l'occasion de faire ce que tu aimes faire. Nous serions des monstres de t'en priver. » m'avais dit m'a mère tout en me serrant fermement dans ses bras. A ma grande surprise, mes deux frères, Ezra et Jared, avaient quant à eux décidé de me suivre jusqu'au bout du monde si il le fallait. Il est vrai qu'à nous trois nous formons un trio d'enfer et ce depuis notre plus tendre enfance. Nous sommes très fusionnels, c'est limites étrange. On vit ensemble, on dort ensemble. Le temps que nous pouvons passer à trois, nous le passons ensemble. Ils sont très sur-protecteurs envers moi, et vise versa.
Aéroport international de Bangkok. Nous y voilà, mes frères et moi, raides comme des piquets devant les tableaux de départs. Nous allions embarquer dans une heure, et je ne vous le cache pas, j'étais anxieuse, limite stressée. Est-ce-que j'vais fait le bon choix ? Ça, nous le sauront une fois en Californie.
Après plus de dix-sept heures de vol, nous étions enfin arrivés à San-Francisco. Les " adieux " avec mes parents avaient été riches en émotions. Des larmes, des rires, des étreintes... Même si je leur ai fait la promesse de revenir tous les deux mois au pays, ils allaient terriblement me manquer. Grace à eux, nous avions pu emménager sur le champ dans un duplex sur le campus, non loin de l'Université où nous étions déjà inscrits. Le fait d'emménager dans une si grande ville en compagnie des deux personnes à que je tiens le plus me rendait totalement euphorique et l'excitation des aventures à venir me rendait folle d'impatience.
Très vite, je me mettais à le recherche d'un job. Ne rien faire en dehors des cours m'était devenu intolérable. De bars à boites de nuit en passant parles clubs privés, rien. Épuisée et déçue à la fois, j'abandonnais les recherches quand, dans les couloirs de l'Université une affiche colorée avait attiré mon regard. " The Comedy Store ", l'un des plus grands cabarets huppé de la ville recrutait des artistes. C'était ma chance. Après les cours, sans même prendre le temps de réfléchir, la guitare sur le dos, je me rendis au cabaret afin d'auditionner également. J'étais stressée, certes, mais j'étais déterminée. Contrairement à ce que j'avais pu pensé, le patron se borna à me poser des questions d'une banalité affolante. « Quelle est votre couleur préférée ? Avez-vous des tatouages ? D'où venez-vous ? Quelles sont vos origines ? Quelles sont les personnes qui vous inspirent ? », ça commençait à devenir douteux. Enfin, après cet ultimatum improvisé d'environ quarante-cinq minutes, il me demanda de jouer un de mes morceaux ce que je fis à la minute même. Certes, j'aurais pu mieux faire mais j'étais satisfaite de ma prestation, contrairement à mon interrogateur qui lui, semblait assez perplexe. Mais peut-importe, au moins, j'aurais essayé.
Trois jours plus tard, j'ai reçu un appel du directeur du Comedy Store, m'annonçant qu'il avait décidé de me donner ma chance.Il avait adoré mon " excentricité et mon âme d'enfant ". Le fait de me produire devant un publique était totalement inespéré en Thaïlande. Restait une ombre au tableau. Mes frères. Ils n'approuvaient pas le fait que je danse et que je chante dans des tenues " assez légères " devant de parfait inconnus. Mais que voulez-vous, être décallée, c'est dans ma nature.
Après quelque show au cabaret, j'avais gagné une certain " notoriété ". Souvent dans la rue , certaines personnes s'arrêtent l'air de dire : « Je vous connais, non ? ». C'est ce que j'aime dans la magie de la scène, les gens ne viennent pas pour mes déhanchés ou encore pour les tenues que je portes, non. Ils viennent avant tout rire et s'amuser. Seul ou en famille. C'est bien loin du rêve hollywoodien mais c'est mon rêve, et je le caresse déjà du bout des doigts.
1ER ÉTAGE« GOOD MORNING AND, IN CASE I DON'T SEE YA, GOOD AFTERNOON, GOOD EVENING, AND GOOD NIGHT ! »
que fais-tu à san francisco ? J'y vis depuis cinq ans déjà et je ne me lasse pas du charme de cette ville de la côte Ouest des Etats-Unis. Il y a toujours quelque chose à faire à San Francisco, on a pas vraiment le temps de s'ennuyer. C'est une ville qui ne dors jamais vraiment et ça correspond parfaitement à la personne que je suis.ton appartement de rêve, il est comment ? J'aime les endroits spacieux et lumineux. Les meubles modernes et les grandes cuisines américaines. Le genre d'appartements qu'on voit dans les séries et films américains. Vous voyez de quoi je parle n'est-ce pas ? et ton/ta voisin(e) de rêve ? Une personne de confiance sur qui je pourrait compter si je pars en voyage. Qui arroserait mes plantes et nourrirais mes poissons. quel métier exerce-tu ? Le jour je suis stagiaire dans le bureau de la rédactrice en chef du magasine VOGUE. Je vous arrêtes tout de suite ! C'est loin d'être super excitant. A vrai dire, me faire crier dessus et apporter des cafés à longueur de journée n'a jamais été mon truc. La nuit, je troque mon tailleur pour de légères tenues de scènes. Chanter et danser devant de parfaits inconnus c'est ce que j'aime faire. ton plus beau souvenir ? Mon plus beau souvenir ? C'est mon premier soir au cabaret. Je tremblais comme une feuille à l'idée de monter sur scène et qu'en j'en eu terminé, je n'avais qu'une envie : recommencer. t'as des secrets où tu es un plutôt un livre ouvert ? Tout le monde a des secret, même moi. Ils ne sont pas non plus super intéressants mais c'est des choses que je préfère garder pour moi. on a tous un rêve, le tien c'est ... Me professionnaliser dans ma passion. J'aimerai me produire sur scène à plein temps. groupe désiré ? THE DON'T DRINK THAT avatar C'est vraiment nécessaire ? Rihanna.
2ÈME ÉTAGE« I WANT TO BE AN EXPLORER, LIKE THE GREAT MAGELLAN. »
Spoiler:
PSEUDO&PRÉNOM Cinq lettres. Ça commence par un K et ce termine par un Y. ÂGE La question est combien vous me donneriez ? PAYS&RÉGION Je vous laisse le loisir de deviner. AVIS SUR LE FORUM Je trouves le contexte intéressant. QUELQUE CHOSE À AJOUTER Nope. MDP DU RÉGLEMENT Je suis la seule à ne pas l'avoir trouvé ou bien ?
Dernière édition par Shiloh-Nouvel O'Callaghan le Lun 13 Juin - 19:17, édité 8 fois
Invité Invité
Sujet: Re: SHILOH-NOUVEL → « cette fille c’est un prédateur déguisé en caniche ! » Dim 12 Juin - 20:14
Sujet: Re: SHILOH-NOUVEL → « cette fille c’est un prédateur déguisé en caniche ! » Lun 13 Juin - 16:55
bienvenue parmi nous
Beau Lennon
⚡ NOUVEAU RESIDENT.
ϟ PAPERS : 1930 ϟ LIVE HERE SINCE : 24/05/2011 ϟ LOOK LIKE : Tom Sturridge. ϟ CREDITS : bardachou ♥ ; tumblr. ϟ COOL JOB : Etudiant en astronomie et garçon de café.