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 Je vous présente Chuck, mon nouveau colloc', la marmotte .

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A. Phoenix Coffe
Lou' ϟ teeth of happiness .
A. Phoenix Coffe
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MessageSujet: Je vous présente Chuck, mon nouveau colloc', la marmotte .   Je vous présente Chuck, mon nouveau colloc', la marmotte . EmptySam 11 Juin - 17:05

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LOUISE & CHUCKY .


    Encore un réveil difficile. Pendant dix minutes environs je tourne et retourne dans mon lit, pas envie de me lever, je maudits toutes ces nuits blanches, tout ces verres superflus, toutes ces clopes dont je n'avais pas envie. Depuis que Chuck avait aménagé je ne fumais des pétards que dans ma chambre, sinon j'attendais d'être dehors, je ne prenais plus de coke dans l'appart, ce sont des choses qui sont font lorsqu'on partage un appartement avec quelqu'un qui ne se drogue pas.
    Ce matin je me lève, bois un verre d'eau, m'allume un clope et fait péter la chaîne hifi et je prend la résolution de ne plus sortir, d'arrêter de boire, de fumer, de me coucher tôt, ne plus manger que des sushis et des fruits frais .
    La musique retenti dans l'appart, il est onze heure du mat' et la marmotte dors toujours dans la chambre du fond. Je m'affale sur le canapé les doigts de pieds en éventail.
    D'un seul coup je me lève, fait quelques tours en dansant dans le salon, heureusement que je suis au dernier étage et que personne ne peut me voir, une cinglée en pyjama qui danse à onze heure du matin dans son salon, ca fait peur !
    J'écrase la clope et me dirige vers la salle de bain, je saute dans la douche, ah une douche bien fraîche rien de tel pour se réveiller, bon je vous avoue que je gèle mais au moins j'ai la pêche .
    Sortie de la douche je m'enroule dans une grande serviette qui traine parterre et me dirige en direction de ma chambre, j'enfile un débardeur qui me va dix fois trop grand et un vieux jean qui, tellement abîmé, a fini en short assez vintage .
    De retour dans la salle de bain; séchage de cheveux un peu de lotion sur la figure .
    J'enfile des petites sandales et un gilet de laine, ouvre la porte de l'appartement avec quelques pièces dans la main. En bas de l'immeuble je me dirige vers la boulangerie qui fait l'angle.

    «  Deux croissants et une baguette, s'il vous plait . »

    J'échange les pièces que j'avais dans la main contre la marchandise .

    «  Merci, au revoir ! »

    Je remonte rapidos a l'appartement, pose tout ça sur le comptoir de la cuisine, Chuck n'est pas encore levé et il est presque midi, hier il a fait la bamboula c'est sûr !
    Je me motive a faire un jus de fruit, et bien qu'est-ce que je le chouchoutte ce mec, je ne me reconnaît plus, c'est peut-être parce qu'il est le seul qui est dormi dans mon appart mais pas dans mon lit. Ce mec a un style assez décalé qui me plaît bien, au pourrait croire que je tape ma trace avec lui tout les soirs, et bien non détrompez-vous il n'y touche même pas enfin plus.
    Je m'active et lui fait un petit jus de fruit à la centrifugeuse.
    J'entends du bruit au fond du couloir, ah tiens, c'est maintenant qu'il se lève lui, il est presque midi et on va enfin prendre notre petit dej'.
    Je sort deux assiettes du tiroir, un croissant et deux tartines dans chaque assiettes et deux verres de jus.

    « Ah ben ça y est tu t'es enfin levé ! T'as faim ? »

    Puis si il a pas faim il bouffe quand même je me suis pas cassé le cul pour rien non plus .


Dernière édition par Louise Castel-Daniels le Mar 14 Juin - 16:12, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Je vous présente Chuck, mon nouveau colloc', la marmotte .   Je vous présente Chuck, mon nouveau colloc', la marmotte . EmptyDim 12 Juin - 9:17



Marmotte et écureuil !

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Mon rêve m'entraina loin de cet appartement que je partageais avec Louise, très belle femme torturée d'après ce que j'avais pu voir. Je partais si loin, que les cotés de la ville semblaient du passé, ainsi que le mont Tam, le légendaire pont qui avait fait le succès de l'île américaine, non, je retournais dans mon passé, mes entrailles que je tentais de cacher, en vain. Je me voyais dans une chambre que je ne connaissais que trop bien, ma chambre et pas celle d'Australie, celle d'avant, avant ma fugue, avant Narcotica. J'étais posé sur le lit, je regardais le papier-peint. C'était le vieux papier que mes parents avaient posé quand j'avais à peine quatre ans. On pouvait y lire encore l'esprit enfantin car des dessins illustrés le papier, des vaisseaux spatiales, des combattants de l'espace, c'était mon époque Albator ou encore, Capitaine Flamme. Au ciel, pendait un jouet, un vaisseau, justement et mon lit était petit, les étagères étaient en désordre, ma caisse à jouet vide et les jouets en question ? Au sol. Vive le parcours du combattant, un champ de mines pour atteindre la porte, face à moi. Je tournais la tête, près de moi se trouvait l'unique objet que j'avais emmené lors de ma fuite, ma guitare. Ma première et celle que j'avais encore aujourd'hui, le cadeau de mes soeurs. Je la pris en main, souriant légèrement. Si il y avait bien quelque chose pour me rendre heureux, c'était ça. Je laissais feindre un sourire niais alors que je me sentais excité à l'intérieur ! L'instrument en main, d'un coup net et précis, je me suis mis à jouer une brève mélodie que je sortais de mon esprit. Un air dynamique, avec une cadence frappée, variant le rythme pour augmenter l'intensité, j'étais dans mon élément. Je jouais bien quelques minutes, oubliant où j'étais, ma touffe de cheveux qui me rendait si célèbre, cette gueule d'ange bougeait. Je me mordillais la lèvre, jouant avant de m'arrêter net. Un cri strident résonna dans mon être, dans la pièce. Par réflexe ou par je ne sais quoi, je levais les yeux, fixant la porte de chambre jusqu'à alors fermé. Sans réfléchir, je me redressais, laissant ma guitare sur mon lit avant de courir vers la porte, esquivant les jouets éparpillés au sol. Je dévalais le couloir et l'escalier, les marches quatre par quatre avant d'arriver dans l'angle. L'escalier donnait sur le couloir avec au bout, la porte d'entrée. Ce que je vis resta à jamais gravé dans mon esprit, dans mon âme torturée, ma mère était chancelante, tenue fermement par mon père, tous les deux en sanglot face à l'une de mes soeurs. Je fronçais les sourcils et ma mère leva les yeux vers moi, je compris à cet instant qu'elle était morte. Enfance brisé, rêve détruit dans un fragment de secondes.


L'étoile brille de mille feux,
mais dans son reflet, on distingue une amertume profonde,
un reflet sombre, masqué.




J'ouvris les yeux, laissant échapper un profond soupire de mécontentement. J'avais encore envi de dormir, mais quand mon regard se posa sur mon réveil, l'heure était déjà trop avancé. Je grommelais en repoussant les couvertures chaudes, laissant mon corps nu au contact du froid perçant de la pièce. Rapidement, je pris un caleçon - oui, je dors à poil, un problème ? - Je pris un de mes nombreux bandanas, un rouge et blanc et que je mis contre mon front pour soutenir ma touffe qui partait dans tous les sens. Baillant grandement, j'ouvris ma porte et arqua un sourcil en sentant la bonne odeur de pâtisseries chaudes. Je traversais le couloir pour déboucher dans la pièce, regardant avec attention la nourriture ! Miam miam, j'allais me régaler car même en étant une marmotte, j'étais aussi un grand mangeur. Je souriais un peu, prenant place près de ma colocataire. Louise, que dire d'elle ? Elle était belle, c'était un fait, mais je savais aussi qu'elle était perdue, plus que moi puisque son refuge était la drogue et ses vices. J'aurai aimé l'aider, mais comment tendre la main vers quelqu'un alors qu'on est soit-même dans le noir ? Mais je sentais aussi qu'elle était gentille et qu'elle attendait peut être quelqu'un pour sortir de son trou noir, justement. Je pris place, lui adressant un léger sourire. Elle devait me trouver étrange. J'étais un type à l'ouest, m'enfermant dans ma chambre pour gratter, fredonner quelques airs de musique, de mon gré ou des reprises, je prenais place dans le canapé, lisant énormément de romans et de livres de société, je sortais peu ou uniquement pour visiter cette ville. Parfois, je regardais la télé, mais rarement. Ah et j'adorais cuisiner aussi ! Je n'attirais pas d'ennuis, au niveau du courrier, je ne recevais rien, si ce n'était de la paperasse inutile ou des livres que je me faisais parfois livrer par internet, mais la plupart du temps, j'allais les acheter en boutique, à deux pas d'ici. Je me doutais que Louise devait s'interroger sur son colocataire dont elle ne savait que mon prénom, Chuck et le nom de mon écureuil aussi, Schrounch. D'ailleurs, ce dernier sauta sur la table et me réclama un bout de croissant, ce que je lui donnais avant de fixer Louise. Le fait que je sois torse nu ne la dérangeait nullement et tant mieux, car j'aimais être ainsi en me levant !

« Ouais, réveillé et affamé ! Merci pour tout ça. » dis-je en la gratifiant d'un sourire sincère.

Au niveau de mon torse, on ne pouvait voir que quelques tatouages, deux pour être précis. Dans mon cou, caché par ma touffe se trouvait une phrase écrite pour ne jamais oublié mes racines, c'était simple, il s'agissait de mes initiales et de ma date de naissance. Enfin, sur mon pectoraux droit, on pouvait voir un symbole, une sorte d'aigle, mais seul moi connaissais sa signification.

« Tout à l'heure, je vais en ville. Je dois passer à l'Etagère Biscornue pour m'acheter quelques bouquins, je rentrerai dans l'après midi, je ferai à manger. » lui expliquais-je, je passerai peut être même chez une épicerie pour quelques ingrédients.

Je continuais de manger tout en écoutant d'une oreille attentive, la radio en fond. Je souriais quand ils passèrent un vieux tube des Beatles, Let it be. Je fermais les yeux, tout en mangeant, je fredonnais l'air. Les doigts qui tremblaient, j'avais une folle envie d'être le pianiste ! Un sourire en coin se lisait sur mes lèvres. Oui, la musique était ma raison de vivre, une partie intégrante de moi. Chuck sans la musique, c'était pas Chuck, puis la musique s'estompa et un autre tube débuta, un tube de Narcotica The heart never lies, le tube qui nous avait rendu célèbre, notre sixième. Je fronçais subitement les sourcils, mon expression avait changé, par de la peur, peur de découvrir mon identité ? Oui, car Louise ne savait pas qui j'étais et c'était bien mieux ainsi ! D'un coup, alors que les premières paroles avaient débuté, ma voix, je coupais court à tout en éteignant la radio. Je soupirais, dos à Louise. Je savais qu'elle allait me blinder de questions, je savais aussi que son regard était braqué sur moi, sur mon dos. Je soupirais profondément avant de me tourner. Schrounch s'était enfuit dans le couloir, comme si il avait senti la menace. Je posais mon regard, mes yeux légèrement vert et tinté de gris sur Louise. Je lisais l'incompréhension sur son visage. Un silence pesant s'installa et je sentis mes entrailles se serraient, ma gorge se nouait. Vite, un prétexte, Chuck.

« J'ai été plaqué sur cette musique... » bafouais-je maladroitement car j'étais un piètre menteur.

J'avalais ma salive, super, Chuck, là, tu étais dans une belle galère. Je devais détourner la conversation, je m'éloignais de la radio pour reprendre place et continuer de manger, un sourire désolé sur les lèvres.

« Et euh... Tu veux manger un truc spécial, ce soir ? Enfin, sauf si t'es pas là, d'ailleurs, tu seras là ? » Lui demandais-je pour qu'elle pense à autre chose que Narcotica...



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MessageSujet: Re: Je vous présente Chuck, mon nouveau colloc', la marmotte .   Je vous présente Chuck, mon nouveau colloc', la marmotte . EmptyDim 12 Juin - 13:09

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LOUISE & CHUCKY .


    La marmotte avait faim, il était entré dans le salon avec ça dégaine de rocker; il me faisait rêver; son bandana sur la gueule et son calbut', pas que ça me dérangeait, au contraire, il était chez lui désormais et même sa dégaine moi je la trouvait tellement cool, il était décalé, un peu comme moi mais pas de la même façon. C'était ça qui était bon ! Il souriait, apparemment il avait faim et tant mieux. J'allais lui poser un bisous sur la joue pour lui dire bonjour, ouais même si je ne voulais pas me le « serrer » pour l'instant j'étais une fille relativement tendre et ceci même avec mes amis !
    Chuck m'était totalement inconnu et cela ne me dérangeait pas puis que mise à part mon nom et mon prénom il ne savait rien sur ma vie. Pour l'instant mon colloc' ne partageait pas ses « instants musiques » avec moi mais je l'avais déjà entendu à travers la porte, j'aimerais qu'il joue un peu devant moi, mais bon c'était son univers et je comprenais malgré être un peu déçue qu'il n'ai pas forcément envie de le partager avec une inconnue. Des fois quand je passais devant la porte de sa chambre j'y restait quelques secondes, j'écoutais ses quelques notes, il jouait et chantait drolement bien, puis sa voix, oui cette voix, il me semblait bien l'avoir entendu quelques part mais je ne me permettais pas de lui demander.
    Son petit écureuil, une petite boule de poil trop mignonne sauta sur la table, il me faisait rire, il réclama un bout du croissant de son maître pendant que l'autre morfale de Pito, mon dalmatien, avalait comme un gros sale ses croquettes. Je jetais un coup d'oeil en sa direction, il était beau se chien, il avait une classe absolue, fin, élancé, puis rien que le fait d'être un dalmatien c'était classe.
    Chuck devait aller en ville, j'aimerais bien descendre avec lui j'avais quelques courses à faire.

    « Je descendrais en même temps que toi quand tu auras fini on se rejoins au Danny si ca te branche. »

    Moi je devais remplir ma trousse a maquillage qui était presque vide puis les lotions que je n'avais plus depuis mon aménagement à San Francisco.
    Dans le fond on entendais encore la chaîne hifi, c'était Let it be qui passait, je l'adorais, j'avais grandie avec les Beatles et tout ces groupes de légendes que personne n'oubliera jamais ! Je connaissais les paroles par coeur et chantait sans gêne, je n'avais pas une voix pourrie quand je chantais, je devais tenir ça de mon père qui lui même avait eu une carrière rock qui l'avait poussé jusqu'au devant de la scène jusqu'à ma naissance. Il ne voulait pas me mêler à sa vie d'artiste de peur que j'en souffre trop, et bien croyez moi que ça m'aurait bien plu de le voir encore aujourd'hui sur la scène entrain de faire crier des milliers de fans en furie !
    Let it be, se fini puis la radio enchaîna sur un titre de Narcotica, je m'apprêtais a me lever faire la folle mais Chuck coupa court à mon délire, il s'était plaqué sur cette musique m'avait-il dit tellement rapidement et maladroitement que je doutais de sa sincérité.
    Dans ma tête je commençais a cogiter, le fait qu'il s'enferme dans sa chambre pour fredonner quelques chansons, cette voix qui me rappelait étrangement quelques chose et puis d'un coup arrêter la musique en sortant une excuse qui, il faut le dire, était nulle à chier !
    Il coupa court a cet instant de doute.

    « Tiens tu sais quoi surprends moi, prépare moi un truc de chez toi, je n'ai jamais goûté la cuisine Australienne »

    Je me doutais bien quelle ne pouvait pas être si différente que la cuisine Indienne ou bien même Chinoise, mais a vrai dire je ne connaissais pas grand chose à l'Australie, mise à part le Subway et les Koalas .
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