Sujet: JULIA♌ never say goodbay it's too painfull. Mar 31 Mai - 10:39
JULIA ALICE MENARD
Julia Menard, une petite française de 27 ans. Mais ce n'est pas une simple française non c'est le genre de femme qui vous fait tourné la tête, elle est enjoué, romantique, déluré, sérieuse quelque fois, gentille tout le temps, mais avec un fort caractère. Mais elle est aussi très susceptible et rancunière, c'est une grande boudeuse mais on l'aime pour ça sa petite moue est trop craquante il est difficile de lui résister très longtemps. Au premier regard on se dit que cette Julia elle doit valoir de l'or et que cela doit être intéressant de la connaître, mais le truc c'est que personne ne la connait vraiment elle est secrète un peu trop même. Mais Julia a des raison de vouloir rester secrète, la vie semble vouloir la punir elle ne sait pas vraiment pourquoi mais la vie à décider de la rendre aveugle. Elle ne croit pas en dieu ou quoi que se soit, mais elle croit que les choses sont là pour quelque chose. Que si elle devient aveugle c'est comme ça, ça devait se faire et même si c'est difficile à accepter elle devra vivre avec alors autant commencer dès maintenant. Où en est sa maladie ? Et bien elle voit toujours mais ses yeux sont très fragiles lorsque la lumière est très forte elle a une genre de tache noire qui se forme dans sa vision, et quand c'est trop sombre elle ne voit rien. Si vous la voyez avec des lunettes sur le nez même si il n'y a pas de soleil c'est normal ce n'est pas pour se donner un genre c'est juste pour se protéger ses yeux fragiles. Elle est tombé amoureuse une fois, il n'est jamais revenu mais elle ne lui en veut pas vraiment. C'était les vacances et les vacances ça ne dure jamais.
1ER ÉTAGE« GOOD MORNING AND, IN CASE I DON'T SEE YA, GOOD AFTERNOON, GOOD EVENING, AND GOOD NIGHT ! »
que fais-tu à san francisco ? Je suis venue au départ pour des séances de dédicasse de mon nouveau livre "Amour breton" je ne sais pas si vous connaissez mais il parait que vous les américains vous êtes plutôt fan de ce genre d'histoire d'amour. Du coup j'ai fait toute une tournée, Seatle, Chicago, New York, Boston, Miami, Dallas, Los Angeles et San Francisco. Et à cette dernière étape j'ai rencontré un producteur qui m'a proposé d'acheter les droit de mon livre pour en faire un film alors je ne sais pas encore si ça va aboutir mais je suis là pour le boulot en gros. ton appartement de rêve, il est comment ? Vous savez je ne suis pas très difficile de ce coté là et enfaite je suis plutôt maison mais ici j'ai un appartement très spacieux très très spacieux c'est un duplex mon père à vu les choses en grand c'est bien pour ça que je lui ai laissé la dure tâche de me trouver un logement j'étais sûre de pas rester pendant quelques mois à dormir dans une chambre de bonne sous les toits, quoi que je suis pas sure qu'on trouve ça à SF c'est plutôt français ce genre de logement. et ton/ta voisin(e) de rêve ? Quelqu'un de simple et gentil pas une fille superficiel qui passe son temps à se regarder dans le miroir et à venir me piquer des chaussures. Pas un type bien lourd qui te reluque quand tu galère à ouvrir ta porte juste quelqu'un de serviable et qui met pas la musique trop fort et trop tard et qui fait en sorte que sa petite amie n'hurle pas trop si vous voyez ce que je veux dire. quel métier exerce-tu ? Je suis écrivain officiellement j'ai écris trois livres, et j'ai aussi écrit pas mal de critique pour des journaux comme le Figaro ou pour des magasines spécialisé dans le cinéma ou la littérature. Et si on va faire de mon livre un film je pense que je vais rajouté scénariste à ma casquette c'est qu'à cette condition que j'accepterais. Alors je suis assez multifonction quoi, au départ j'ai fais des études pour devenir éditrice alors bon ... ton plus beau souvenir ? C'est assez simple le dernier été que j'ai passé en compagnie d'Elliot en Bretagne. C'est bizarrement aussi cette fois là que j'ai appris que j'étais atteinte d'un glaucome. Mais ça reste tout de même mon plus beau souvenir c'était mon premier amour et puis c'était le Bretagne. t'as des secrets où tu es un plutôt un livre ouvert ? Je suis certainement trop secrète pour la plus part des gens qui passent leur temps à essayer de me connaitre ais moi je préfère pas je n'aime pas parler de moi ça me dérange pas de connaitre les secrets des autres mais les miens restes des secrets pour la plus part des gens. on a tous un rêve, le tien c'est ... Euh mon rêve est assez simple à vrais dire ne jamais perdre la vue mais c'est un rêve irréalisable donc je dirais être aussi reconnue que Jane Austen en Angleterre ou Molière en France. Être un écrivain très reconnue. groupe désiré ? THE SNASA avatar sienna miller
2ÈME ÉTAGE« I WANT TO BE AN EXPLORER, LIKE THE GREAT MAGELLAN. »
Spoiler:
PSEUDO&PRÉNOM swarley/samÂGE 20 ans PAYS&RÉGION france/bretagne AVIS SUR LE FORUM j'aime j'aime j'aime QUELQUE CHOSE À AJOUTER je vous keaf MDP DU RÉGLEMENT y en pas alors arrêter de raconter des craques bande de sadiques.
Dernière édition par Julia Menard le Mar 31 Mai - 19:01, édité 5 fois
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Sujet: Re: JULIA♌ never say goodbay it's too painfull. Mar 31 Mai - 10:40
R.D.C.« WE ACCEPT THE REALITY OF THE WORLD WITH WHICH WE ARE PRESENTED. »
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Dès fois je me dis que ça en valait pas la peine mais à la seconde même où j'y pensais je me disais que non ça en valait la peine. L'amour c'est quelque chose de tellement étrange, quelque chose qui fait peur. Mais lorsqu'on a vécu ce que j'ai vécu on se dit que l'amour y a que ça de vrai. Je me sentait comme à part, comme hors du temps. Ces vacances en Bretagne c'était les meilleurs moment de ma vie. Même si il y a eu des déceptions et un cœur blessé mais je m'en suis remise et aujourd'hui je peux dire avec certitude que c'est mieux ainsi, le mystère reste et je peux le laisser aller à des suppositions à des rêves immatures et a des pensées enflammés. Je n'ai pas chercher à le contacter parce que je savais qu'il avait une bonne raison et que si il voulait qu'on se revoit et bien on allait se revoir et puis de toute manière si on devait se revoir on allait se revoir. Faut que je vous racontes ces moments de bonheurs, ces moments où il m'a rassuré en une seule phrase. Revenons en arrière j'avais 17 ans il en avait 19 nous étions jeunes et beaux nous étions libre.
C'est dingue comme la Bretagne est reposante, c'est un endroit magnifique c'est un endroit peu commun. Quand mes parents on décidé d'y acheter une maison de vacances j'ai d'abord pensé que ça allait être encore une dépense de plus pour la famille Menard. Mais j'ai vite changé d'avis quand on a mis un pied dans cette région on devient accro. Je me souviens quand j'ai vu sa frimousse la première fois on s'est simplement entrevue il partait m'avait-il dit on a juste échangé quelques mots et il est revenu l'année suivante et l'année d'après. Celle la plus décisive fut lorsque nous nous sommes laissé aller à une amourette mais surtout lorsque la terrible nouvelle bouleversa le foyer Menard. « Comment ça elle va devenir aveugle ? » avait dit mon père avec con regard d'homme d'affaire qu'il faut pas énervé, lui qui veut toujours tout contrôle et bine il avait une chose qu'il ne pouvait pas contrôler ma santé enfin c'est ce que j'avais pensé sur le coup mais il avait tout de même trouvé le moyen de tout contrôler. « Vous êtes viré vous êtes incompétent. » avait-il dit à mon médecin histoire de se donner bonne conscience, mais ça n'avait rien changé bien entendu. Mais on était en vacances alors j'avais réussis à obtenir de mon père qu'il oublie ça le temps des vacances il avait accepté ou presque il passait son temps sur des sites sur le glaucome et essayait de placer ça dans la conversation de temps en temps. Mais moi j'avais décidé d'ignorer je ne savais même pas ce que c'était vraiment à l'époque et ça me faisait tellement peur que je m'étais pris au jeux de faire comme si rien ne se passerait. Mais dès lors que je vis le visage de Elliot je savait qu'il fallait mieux que je sois honnête avec moi même que ça passerait mieux de la sorte. Je crois que je suis une foutue idéaliste avec un peu trop d'optimisme mais je suis comme ça je suis une rêveuse une aventurière dans l'esprit je m'imagine faire des tas de choses même si je ne pourrais pas en faire la moitié. J'avais noué un bandeau autour de ses yeux, c'était la seule façon que j'avais trouvé de lui annoncé le truc avec douceur. Je lui décrivait le paysage qu'il y avait devant moi m'imprégnant de chaque image que je pouvais encore garder en mémoire j'en aurait besoin. Puis je lui défit le nœud du bandeau et lui fit voire le paysage que je lui avait décrit. « Julia, c'était quoi le but du jeu ? » m'avait-il dit interloqué par ce petit jeu. Même si ça n'en était pas un pas pour moi. « On vient de me détecter l'apparition d'un glaucome. » avait-je dit simplement en plongeant mon regard dans celui du beau brun. Il me questionna sur la nature de cette maladie je lui répondit que c'était une maladie dégénérative du nerf optique et qu'un jour ou l'autre je finirais aveugle. « Ne t'inquiètes pas, je serais là pour te décrire la vie, te raconter ses couleurs et te faire découvrir tout ce que tu n'auras pas eu le temps de voir. » m'avait-il dit et je l'ai cru. Et je le crois encore je suis certaine que le jour venue il sera là pour moi. Ou en tout cas je l'espère. Les choses changent il n'est jamais revenu.
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Je suis devenue écrivain, les mots développent notre imagination. Et il s'est avéré que j'ai du talent j'ai fait des études à la Sorbonne en littérature j'ai sortie mon premier roman à 22 ans alors que je n'avais pas terminé mes études. Mon second roman je l'ai sortie à 25 ans entre temps j'ai beaucoup écris pour des journaux fait des critiques littéraire et cinématographique. Et mon dernier roman vient de sortir j'ai réussis à mettre en mot ce que j'avais ressentis pendant ses vacances. Ça parle d'un rencontre sur les côtes bretonne ça parle d'un vent doux et agressif à la fois ça parle d'un amour éphémère et passionné. Je n'ai jamais vraiment pensé que mon roman sortirait hors Europe mais ma maison d'édition à décidé de le faire traduire en plusieurs langues dont l'anglais. Et bizarrement les américains on vraiment apprécié cette histoire d'amour légère et passionné. Alors ma maison d'édition à organisé des séances de dédicaces dans tout les États-Unis. Je viens de terminé sur San Francisco et j'ai décidé d'y rester un petit moment. Je me souviens que lorsque j'étais passé à New York j'avais espéré tombé sur lui mais ça n'arriva et je pensais vraiment pas qu'en allant m'installer quelque temps à San Francisco j'allais tomber sur lui. Un producteur m'avais contacté pour acheter les droit de mon livre et en faire un film alors j'avais décider de rester voir où aller me mener cette histoire, et alors que j’emménageai dans l'appartement meublé que mon père m'avait dégoté je fit une rencontre des plus stupéfiante.
C'était il y a quelques jours je me trouvais dans l'ascenseur avec quelques cartons que me père avait gentiment envoyé de France pour moi histoire que je me sente chez surtout que je n'avais pas vraiment décidé combien de temps j'allais rester quelques mois tout au plus. Mais j'avais besoin de certaine choses pour me sentir chez moi, mes livres ou une partie en tout cas et d'autre bibelot qui me tenaient à cœur, sans oublier tout un carton de chaussure et un autre de sac à main je me retrouvait donc avec quatre carton à porté pour moi toute seule. Je me trouve au 14 ème étage alors j'avais un bon moment d'ascenseur avant d'arriver à bon port et donc du temps pour réfléchir à la manière que j'allais utiliser pour monter tout ça chez moi. J'étais toujours au rez de chaussé j'allais appuyé sur le bouton qui fermait les portes mais un voix m'en empêcha. « Attendez ! » avait dit une voix masculine ce que je fit, il entra dans l'ascenseur et à vrais dire je ne le reconnut pas tout de suite. Heureusement l'ascenseur était grand et arrivait à contenir mes carton moi et ce jeune homme. Un merci se fit entendre suivit d'un bonjour, je crois qu'il fut étonné de mon accent très français et c'est là qu'il se tourna vers moi un sourire en coin puis un plus grand sourire lorsqu'il me reconnut puis une légère gêne sur son visage. « Eliott ? » avais-je dit dans mon français parfait. Et lui me regardait toujours aussi stupéfait et répondit à mon interrogation d'un « Julia ? » c'était bien lui en effet. Le premier réflexe fut de nous serrer dans les bras l'un de l'autre puis la conversation s'engagea. « Qu'est ce que tu fais aux États-Unis ? » « C'est pour le boulot et toi tu as quitté New York ? » nous dialoguions en français comme d'habitude, comme avant. « Oui ça fait quelques temps maintenant je vis à SF. » avait-il dit simplement. Ni lui ni moi nous étendions sur notre vie privé. Il m'offrait généreusement de m'aider à porter mes carton jusqu'à chez moi et nous nous séparons simplement comme ça je crois que nous étions tout les deux un peu désorienté de nous voir comme ça mais nous allons avoir bien d'autres occasions de nous voir nous habitons dans le même immeuble après tout non ?
Dernière édition par Julia Menard le Mar 31 Mai - 18:38, édité 7 fois
Invité Invité
Sujet: Re: JULIA♌ never say goodbay it's too painfull. Mar 31 Mai - 11:17
BIENVENUEparmi nous bon courage pour ta fiche c'est elliot qui va être content (aa)
Tim Hawkes-Salisbury
SWITCHBACK ⚡ ain't okay, i've got no way to switchback
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Sujet: Re: JULIA♌ never say goodbay it's too painfull. Mar 31 Mai - 13:23
rebienvenue parmi nous bon courage pour ta fiche
Invité Invité
Sujet: Re: JULIA♌ never say goodbay it's too painfull. Mar 31 Mai - 13:41
merci tout le monde
Invité Invité
Sujet: Re: JULIA♌ never say goodbay it's too painfull. Mar 31 Mai - 13:50
ALIIIIII(...)IIIIIIIICE Officiellement BIENVENUE ! (oui c'est mon smiley préféré ) Bonne chance pour ta fiche, je surveille ça de près AHAHAH ! Et si tu as la moindre question, suggestion ou n'importe quoi...n'hésites pas, tu sais à qui demander
Alexis Tate-Appleton
LEXIE ⌁ how to save a life
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