Sujet: ELLIOT - Down by the riverside Dim 22 Mai - 19:49
ELLIOT JAMES MCCARTHY
« Monsieur McCarthy, bonjour ! Pour commencer, pouvez-vous vous présenter avec le plus de précision possible ? » « Je me nomme Elliot James McCarthy, je suis actuellement âgé de 30 ans. Je suis né et j'ai vécu ma vie entière à New-York, une ville que j'apprécie particulièrement et que je regrette déjà d'avoir quitté. Mes deux parents sont américains, je dois avoir des origines Ecossaises quelques part du côté du grand-père de mon père et ma grand-mère maternelle est française, d'où mon prénom. Je passe régulièrement mes vacances là-bas, d'ailleurs. » « Enchanté Mr. McCarthy. J'aimerais tout d'abord vous demandez pourquoi demander ce poste de professeur de Français à San Francisco ? » « Je sais pas vraiment si on peut parler de rapprochement familiale vu que je suis actuellement célibataire mais, ma fille et sa mère vivent ici depuis quelques temps. J'ai décidé de connaître mon enfant et pour cela, il m'a fallut faire le deuil de ma ville bien aimé et de mon ancien établissement. Si cela vous fait plaisir, j'aimerais vous dire que celui-ci a l'air presque mieux ! » « Ravi qu'il vous plaise alors. Je vois que vous avez de bonnes appréciations de votre ancien chef d'établissement, pourriez-vous vous décrire en quelques mots ? » « Bien, en tant que professeur, je pense avoir réussit à trouver le juste milieu entre le sérieux et la plaisanterie. Au début de ma carrière, j'ai eu tendance à trop laisser de marge à mes élèves qui me l'ont vite fait regretter jusqu'à ce que je me rende compte qu'en réalité, leur mettre un cadre ne les empêcher pas de nous considérer comme un de leur meilleur professeur, celui avec qui on a envie d'aller en cours en ce demandant quelle sera la surprise de cette heure-là. Après je suis aussi un peu comme ça dans la vie, donc, ça aide. J'aime surprendre les gens au moment où ils ne s'y attendent pas. En général, ça les énerve, beaucoup et moi, ça me fait rire... Les gens me disent souvent que je dois arrêter avec mon idéologie d'artiste mais j'ai beaucoup peint avant de devenir quelqu'un d'un peu sérieux et je ne veux pas perdre ma créativité ! D'ailleurs, j'essaie de faire passer des choses aux élèves à travers l'art, j'espère que vous n'avez rien contre ça ? » « Non absolument pas, au contraire, tout les moyens sont bons pour apporter des connaissances à nos élèves, vous savez ! » « Après, je suis plutôt quelqu'un de sérieux, je n'aime pas faire les choses à la légère et les projets qui me tiennent à coeur, je m'investi dedans à fond ! Mais j'ose espèrer que vous ne souhaitez pas de l'ordre sur nos bureaux parce que ce n'est vraiment pas mon point fort, si vous voyez ce que je veux dire... Mais bon, s'il n'y a que ça, je suis prêt à faire un effort, rien que pour vos beaux yeux. Oui, c'est une de mes grande qualité, j'aime faire des compliments aux gens lorsqu'ils le méritent mais bon, en contre partie, je leur fais aussi souvent des reproches en général, ça crée des tensions mais bon, je le vis plutôt bien. Et n'ayez crainte pour vos élèves, je les aime déjà et ferais particulièrement attention à eux. Avec moi, ils ne risquent rien ! » « Je vois ça... Vous avez quelque chose à ajouter ? » « Oui, j'ai recommencé à fumer et j'ai un chien... »
R.D.C.« WE ACCEPT THE REALITY OF THE WORLD WITH WHICH WE ARE PRESENTED. »
On parle de l'insouciance de l'enfance... Et lorsque que l'enfant se fait du soucis, que se passe-t-il ? Même si tout semblait être fait pour qu'Elliot ait une vie heureuse dès sa naissance, le destin en a décidé autrement. Avec un père gérant d'une grande société immobilière, l'argent ne manquerait pas mais nous savons tous que l'argent ne fait pas le bonheur, les grands appartements non plus et les nourrisses encore moins ! Mais, s'il n'y avait eut que cela... « Elliot, laisse ta mère se reposer s'il te plait. » Le petit garçon se tourna vers son père, le regard plein d'incompréhension. Depuis une semaine, il devait laisser sa maman se reposer. Mais maintenant, il voulait qu'on s'occupe de lui, qu'on l'emmène jouer, qu'on le sorte de cet appartement trop grand, trop vide, trop mort. Surtout depuis que James les avait quitté : un bus a voulu passer au moment où son grand frère avait voulu traverser pour les rejoindre. Elliot, du haut de ses 5 ans, avait parfaitement conscience qu'il n'oublierait jamais le sourire figé sur le visage de James et cet effrois dans ses yeux au moment où il avait tourné la tête vers le véhicule.
« Papa, je peux aller voir Alana ? » « Oui, mais ne rentre pas trop tard. » « Je serais là pour diner ! » Le jeune adolescent sorti de sa prison de cristal pour se rendre chez son amie la plus chère. Elle avait quelques années de moins que lui et malgré cette période où les garçons restaient généralement entre eux, Elliot avait trouvé du soutient chez Alana. Parce qu'ils avaient été voisins pendant de nombreuses années ? Peut-être... Ou alors, simplement parce que c'était comme ça ! Pour tout dire, il ne s'était jamais vraiment posé la question et ne cherchait pas de réponse sur sa si bonne entente avec la petite Montgomery ! « Alana, c'est moi ! Tu descends ? Ou je monte ? » Il n'eut pas de réponse vocale mais le déclic de la porte d'entrée l'invita à la rejoindre dans son appartement. Ils avaient pris l'habitude de se retrouver régulièrement, de parler de tout et de rien, de refaire leurs vies et de s'inventer milles et unes aventures toutes plus incroyables les unes que les autres. Oui mais voilà, la réalité nous ramène toujours à elle et il est toujours l'heure de rentrer...avant le dîner ! « Nana, tu me promets que tu seras toujours là ? » « Promis ! Et toi ? » « Promis ! » Ils se sourirent de ce sourire sincères que seuls les amis connaissaient et le garçon reprit la route de son appartement.
« Elliot, dépêches toi avant que l'on ne rate l'avion. » « Mais maman, pourquoi on part toujours en vacances en France ? » « Parce que ma famille est là-bas, un point c'est tout, on ne discute pas » « Mais... » Le regard de sa mère le dissuada d'aller plus loin. Quand même, c'était injuste ! Tout ses camarades partaient chacun de leurs côté et lui, il «était contraint d'aller en France avec ses parents. En encore, il n'aurait rien eu contre la côte d'azur mais franchement, la côte bretonne, ce n'était pas très glamour. Et encore, heureusement qu'il y avait l'océan, cela lui rappelait un peu New-York...
France, Eté 2000
Comme chaque été, la route de l'aéroport jusqu'à la maison de ses grand-parents maternelle à Kerlouan lui semblait interminable. Si, quelques années au par avant, Elliot protestait avant chaque départ, depuis 2 ans, il revenait vers ses racines avec envie et aujourd'hui, encore plus ! Aujourd'hui, il venait seule, ses parents ayant décidé de rester à New-York. Il allait donc pouvoir vagabonder comme bon lui semblait et visiter la région en compagnie d'Alice. Ses parents avaient acheté la maison voisine comme maison secondaire l'année précédente. Les deux jeunes gens avaient passé un été formidable ensemble, Elliot s'en souvenait à merveille et malgré le fait qu'ils n'avaient pas gardé contact durant l'année, chacun étant de retour à sa vie quotidienne, il n'en doutait pas, les retrouvailles seraient à la hauteur de ces espérance... Quelques jours plus tard. « Alice, arrête j'aime pas trop ça... » « Tu me fais pas confiance, hein ?! » « Mais si, c'est pas ça le problème, juste qu'avec ce bandeau sur les yeux je suis pas vraiment rassuré. » « Assieds toi et écoute moi le plus attentivement possible. » La jeune française se mit alors à lui décrire le paysage. Assis sur l'herbe, sentant la fraicheur du vent breton contre sa peau, tout se dessina dans sa tête d'une manière assez précise. Cela lui rappela étrangement la sensation qu'il avait devant une toile blanche, lorsque les premiers traits de peinture donnent vie à ce que l'on nommera plus tard un tableau. Une photographie dans son esprit, il tachait de la préciser du mieux qu'il le pouvait par les sensations sonores et tactiles qui arrivaient jusqu'à lui et dont il n'avait jamais pris conscience alors. « Si tu es prêt, j'enlève le bandeau » Il lui répondit par un sourire et senti ses doigts s'affairaient derrière sa tête. A genou, Alice resta derrière lui, les bras sur ses épaules. Et Elliot découvrit ce qu'il venait d'imaginer. A quelques rochers près, c'était exactement cela. « Alice, c'était quoi le but du jeu ? » Il attrapa ses mains et la senti frissonner derrière lui. « Je l'ai appris la veille de ton arrivée... » Elle marqua une pause, il respecta son silence. « On vient de me détecter l'apparition d'un glaucome. » « Un quoi ? » Son français était bon mais pas au point de connaître certains termes médicaux. « C'est une maladie qui détruit petit à petit mon nerf optique. D'origine génétique... je vais perdre la vue petit à petit. » Elliot se retourna vivement, juste à temps pour la récupérer dans ses bras. « Ne t'inquiètes pas, je serais là pour te décrire la vie, te raconter ses couleurs et te faire découvrir tout ce que tu n'auras pas eu le temps de voir. » Il lui releva le visage et délicatement, déposa un baiser sur ses lèvres. Ils passèrent le séjour en France l'un avec l'autre, jour et nuit, ne se séparant jamais plus de quelques heures. Elliot prenait l'habitude de peindre en sa présence. Le jeune homme lui appris comment créer des reliefs sur les toiles en fonction des couleurs qui utiliserait et, jour après jour, elle apprenait à lire sa peinture. « De cette manière, mon art ne te sera jamais étranger... » Le jour du départ, ils savaient tout les deux qu'ils ne prendraient pas de nouvelles durant l'année même si ce serait dur... Ils savaient que comme ça, la joie de se retrouver l'année d'après serait encore meilleure. Quelques heures après que son avion est atterri, Elliot appris l'internement de sa mère dans un hôpital psychiatrique. Pourquoi ? On lui donna jamais réellement de réponses satisfaisante... Pendant qu'il était entrain de s'amuser en France, sa mère avait eu besoin de lui. Comment pourrait-il quitter le pays à nouveau ?
Vide... Voilà ce qu'il restait de lui. Un vide immense et sans fin. Depuis 5 ans, cet appartement était plein de la présence d'une femme, de la présence de son amour, de son sourire, de ses rires, de sa voix et de ses cheveux dans la douche. Et du jour au lendemain, elle était partie. Avec une simple révélation : elle était enceinte. Pourquoi le laisser seul alors que leur amour semblait naturel aux yeux de tous mais à leurs yeux également. Son petit moineau venait juste de quitter le nid mais Elliot ne voulait pas la voir s'envoler. Elle était si chétive, un rien risquait de la casser et avec un enfant de le ventre. Il devait être là pour s'occuper d'elles ! Daphné se semblait pas le souhaiter, il respecterait son choix. Parce l'amour est aussi une question de respect... Et, jour après jour, apprendre à ce reconstruire, commencer par reprendre une vie ordinaire, ressortir son diplôme de professeur, reprendre les habitudes de la langue de Molière et présenter une candidature. Parce qu'il paraît que la vie sociale passe par le travail. Alors, travaillons ! Elliot se réfugia jour et nuit chez Alana. Ils avaient tout les deux garder leur promesse d'être là l'un pour l'autre. Dans ces moments-là, elle était là. Il continuait à peindre à chaque moment de libre que lui laissait son nouvel emploi du temps de professeur. Son inspiration venait de paysage en Bretagne ses paysage que jadis, on lui avait décrit avec une telle précision. Et dire qu'il l'avait lâchement abandonné. Cette promesse de revenir à jamais rompue. Qu'était-elle devenue ? Il ne le saurait jamais. Parce qu'il avait décidé de donner sa vie à une autre femme qui venait de s'en aller...
3 WEEKS AGO.
« Alana, je pars à San Franscico ! » « Et, qu'est-ce-que tu comptes y faire ? » « Je veux connaître Isabelle. Et retrouver Daphné. » Sa meilleure amie ne lui répondit pas tout de suite. Surement qu'elle se demandait qu'elle était la meilleure solution pour qu'il souffre le moins. Elle prit une décision assez rapidement. « Je t'accompagne ! » Un sourire illumina le visage du trentenaire. Si Alana était avec lui, il ne lui arriverait rien de grave, il en était presque sûre. Avec elle, il savait qu'il pouvait se jeter dans la gueule du loup les yeux ouverts, elle tiendrait les mâchoires de l'animal afin qu'il ne lui arrive rien. Après tout, qui y-a t'il de plus important qu'une promesse d'enfant ?
1ER ÉTAGE« GOOD MORNING AND, IN CASE I DON'T SEE YA, GOOD AFTERNOON, GOOD EVENING, AND GOOD NIGHT ! »
que fais-tu à san francisco ? Franchement, je vous le demande ! Non mais parce qu'on le sait tous, NYC est la plus belle ville du monde ! Bon, ok, je sais pourquoi je suis là. En réalité, je suis papa depuis 2 ans et je n'ai jamais vu le fruit de mon amour avec sa mère. Triste, n'est-ce-pas ?! Et bien, je compte bien remedier à cela ! ton appartement de rêve, il est comment ? J'ai toujours vécu dans des appartements de luxe et particulièrement impersonnel. Alors, je souhaite un petit cocon, tout simple. Quelque chose de taille ordinaire où je retrouverais une partie de ma vie dedans, où il y aurait toujours du bruit et de l'agitation, où chacun fera comme il lui plait et où la seule règle sera d'y vivre avec le sourire. Irréalisable ? Et pourquoi pas ?! et ton/ta voisin(e) de rêve ? Je ne suis pas du genre à me battre avec mes voisins alors, tant qu'ils peuvent me dépanner d'un oeuf et d'un peu de sucre de temps à autre, ça me va. Après, je n'ai que rarement des contacts avec mes voisins. quel métier exerce-tu ? Je suis professeur de français dans un lycée de la ville. Et je fais un peu de peinture aussi. Mais en réalité, je vis surtout grâce à l'argent déjà présent sur mon compte en banque. Mon père gère une grosse agence immobilière alors, j'ai un métier surtout pour le plaisir... ton plus beau souvenir ? France, Eté 2000. (Voir histoire) t'as des secrets où tu es un plutôt un livre ouvert ? Franchement, je ne te conseil pas de pênétrer mon esprit, tu risquerais de te faire du mal ! on a tous un rêve, le tien c'est ... Pouvoir vivre rien que de la peinture, être reconnu pour les toiles que j'ai faites dans ma jeunesse. groupe désiré ? The Ted Mosby Hayden Christensen ici ou là bas
2ÈME ÉTAGE« I WANT TO BE AN EXPLORER, LIKE THE GREAT MAGELLAN. »
Spoiler:
PSEUDO&PRÉNOM Flynne ÂGE 20 ans PAYS&RÉGION France - Rhône-Alpes AVIS SUR LE FORUM Et bah, cette version a l'air d'encore plus péter le feu que la première avec des intrigues bien trouvée et tout plein de choses trop chouette (genre moi quoi ) QUELQUE CHOSE À AJOUTER Pas pour le moment mais, pour toute réclamation, je sais où m'adresser... MDP DU RÉGLEMENT Euh... (aa)
Dernière édition par Elliot J. McCarthy le Lun 23 Mai - 18:19, édité 14 fois
Pippa Lou D. Mckenzie
YOSHI Ϟ you can broke my heart
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Sujet: Re: ELLIOT - Down by the riverside Dim 22 Mai - 20:06
TON TITRE on va bien s'entendre toi et moi *.* Encore merci de prendre mon scénario et bienvenue parmi nous j'ai hâte de voir ta fiche en tout cas
Invité Invité
Sujet: Re: ELLIOT - Down by the riverside Dim 22 Mai - 20:19
Je pourrais presque dire : Ta signature... On va bien s'entendre toi & moi ! :P Merci en tout cas. Je ferais pas mon histoire ce soir, j'essaie de la poster au plus vite
Alexis Tate-Appleton
LEXIE ⌁ how to save a life
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Sujet: Re: ELLIOT - Down by the riverside Lun 23 Mai - 8:28
hayden ! bienvenue.
Invité Invité
Sujet: Re: ELLIOT - Down by the riverside Lun 23 Mai - 9:24
Merci bien à tous ! Pas de soucis pour le lien Lena Et OH ah OUH ! Henry c'est un peu mon avatar de prédiléction d'ordinaire... D'ailleurs, c'était mon avatar sur la prémière version de KOYD...
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Sujet: Re: ELLIOT - Down by the riverside Lun 23 Mai - 15:22
HAYDEN. Bienvenue. :)
Catel S. Jones Are you there vodka ? It's Catel
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Sujet: Re: ELLIOT - Down by the riverside Lun 23 Mai - 17:30
J'avais ouvert le sujet mais je cherchais l'inspiration pour te souhaiter la bienvenue En plus tu as de la chance que je daigne venir te voir d'habitude je nie tous les nouveaux membres
BIENVENUE EX-SIMON DE MON COEUR ET QUI A INTÉRÊT À ME RÉSERVER LE MEILLEUR DU MEILLEUR DES LIENS
Avoues que je ne manque pas de spontanéité
Invité Invité
Sujet: Re: ELLIOT - Down by the riverside Lun 23 Mai - 17:43
Catel, quelle déclaration Puis merci à toutes !
Andie (Andy?) tu la spontanéité la plus naïve que j'ai jamais vu sur la terre entière !!! Puis, la musique de ta signature, c'est juste Sam & Mica quoi... Et avoues le, JE suis ta sources d'inspiration... (aa)
Daphné-Lux I. Von Bart
daph ★don't take my heart, don't break my heart
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