POPEE ♥ « Y'a que les mal-baisés qui changent pas d'avis. »
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Sujet: POPEE ♥ « Y'a que les mal-baisés qui changent pas d'avis. » Sam 28 Mai - 16:02
Juddie-Popee Lux Monroe
Juddie-Popee Lux Monroe, dix-neuf ans, sexe féminin chef. J'habitais avec mes parents, mais comme ça se passait plutôt mal, j'ai récemment emménagé avec ma cousine Sadie. J'ai une vilaine réputation de marie-couche-toi-là. La plupart des gens ne me comprenne pas. Je bois pas mal aussi, fume énormément, et me détruit le nez dans des toilettes miteux avec de la coke dans les soirées. J'ai peur d'un tas de choses, les psy, les chatons, et même les enfants - particulièrement les bébés. Je suis célibataire, et j'en suis bien heureuse, l'amour n'existe pas vraiment, l'amour est faux, l'amour est source d'emmerdes.
1ER ÉTAGE« GOOD MORNING AND, IN CASE I DON'T SEE YA, GOOD AFTERNOON, GOOD EVENING, AND GOOD NIGHT ! »
que fais-tu à san francisco ? j'ai décidé d'échapper à mes odieuuux parents pour venir vivre avec ma cousine, Sadie ton appartement de rêve, il est comment ? Muarf. Banale. et ton/ta voisin(e) de rêve ? Libre. Pas casse-couilles et agréable à l’œil. quel métier exerce-tu ? Étudiante. ton plus beau souvenir ? Mes meilleurs moments de ma vie, j'ai dû les oublier parce que j'avais trop bu. t'as des secrets où tu es un plutôt un livre ouvert ? Tout dépend pour qui, j'ai envie de dire. Enfin, je n'ai pas non plus du mal à parler de moi. on a tous un rêve, le tien c'est ... Une putain de vie sans conséquence. Imaginez pouvoir tout faire sans aucun prix à donner en retour. groupe désiré ? THE MY PENIS GRANTS WISHES avatar Clémence Poesy
2ÈME ÉTAGE« I WANT TO BE AN EXPLORER, LIKE THE GREAT MAGELLAN. »
Spoiler:
PSEUDO&PRÉNOM MaddieÂGE quinze ans PAYS&RÉGION France, en Auvergne AVIS SUR LE FORUM *___* QUELQUE CHOSE À AJOUTERMDP DU RÉGLEMENT Hum. Inconnu. Inexistant. Bande de tricheurs, c'est ABSOLUMENT inadmissible de demander un code qui n'existe pas, intolérable ! *ok je sors*
Dernière édition par Juddie-Popee Monroe le Sam 28 Mai - 17:43, édité 5 fois
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Sujet: Re: POPEE ♥ « Y'a que les mal-baisés qui changent pas d'avis. » Sam 28 Mai - 16:02
R.D.C.« WE ACCEPT THE REALITY OF THE WORLD WITH WHICH WE ARE PRESENTED. »
« Popee, tes professeurs se plaignent de toi. Ils disent que tu n'fais décidément aucun effort. Il faut que tu comprennes, ma chérie, que dans la vie, on fait pas ce qu'on veut. Certes, tu n'apprécies sans doute pas tes cours, mais ce n'est aucunement une raison pour avoir de tels résultats. Tu peux faire mieux Popee, je le sais, on le sait tous, on croit en toi. Si seulement tu pouvais y donner un peu du tiens .. Popee, bon sang, tu m'écoutes ?! » qu'elle finit par s'écrier, ma mère, exaspérée que je ne lui fournisse aucune réponse. C'est pas de ma faute. J'ai mal au crâne. J'ai envie de gerber mes tripes. J'me suis pas encore remise d'hier soir. J'ai pas assez dormi non plus, d'où mes énormes lunettes de soleil qui font 'mouche' sur ma tronche. Elles cachent les immondes cernes, et mes parents n'voient pas que je suis sur le point de roupiller. Ma mère continue de me parler. Évidemment. Elle m'agace. Mais ça, je ne vais pas lui avouer. J'ai pas envie que mon père me baffe pour manque de respect, et encore moins que ma mère fasse une nouvelle crise pour si peu. Si je travaille pas, c'est parce que ça ne m'intéresse pas. Les cours, c'est barbant et inutile, parce que je suis riche, et je compte pas me casser le cul à faire des études interminables pour, peut-être bien, avoir un jour un job, alors que je n'en ai pas besoin. Le serveur nous apporte les plats commandés. On est à je-sais-plus-quel-restau-chic. En fait, je n'ai absolument pas faim, et j'me demande même si une bouchée de salade ne serait pas dévastatrice. Imaginez un peu que tout ce que j'ai pu ingurgité la veille me sorte violemment à cause d'une seule maudite bouchée de laitue. « Tu as l'air malade ma chérie. Tu devrais manger un peu mieux. » Bon dieu, qu'elle se taise. Pitié, pitié, je n'en peux plus. J'ai mal au crâne. Chaque mot sortant de sa bouche se cogne douloureusement à mon cerveaux clairement endormi. J'suis pas malade. J'ai juste ce qu'on appelle la gueule de bois. Finalement, je me décide de mettre fin au repas. Ou plutôt à la discussion, parce que, vous connaissez pas ma mère, mais elle est tenace. Je me lève brutalement de ma chaise avant d'y retomber dessus lourdement. Me suis levée trop vite. Ai la tête qui tourne. Je décide donc de recommencer, mais plus doucement. Bien entendu, je ne manque pas le regard inquiet de ma mère. Qu'elle me lâche. Qu'ils me lâchent tous. Je murmure un mot d'excuse en disant la pure vérité, que je n'ai absolument pas dormi de la nuit et que j'suis tout bonnement morte de fatigue. Je crois que ma mère a peur que j'finisse comme Barbara. C'est ma petite sœur, ou c'était. Elle était réellement malade. C'était une tarée. Ma famille n'ose pas le dire, mais c'est vrai. Ils ont peut-être peur du mot. Ou des mots. Tarée, folle. Malade. Barbara a fait deux ou trois tentatives de suicides, peut-être bien qu'elle ne supportait plus cet ambiance de fausse-famille-heureuse-bien-trop-riche, ou peut-être qu'elle avait pigé que, puisqu'elle avait déjà tout ce qu'elle souhaitait, il ne lui restait plus qu'à attendre la mort. Elle était peut-être pas bien patiente. Allez chercher une quelconque logique à une tarée vous. Je crois que je suis la seule de la famille à être capable d'en parler sans tabou. Elle est morte, elle est morte, y'a pas à chercher d'autres mots. A dire comme ça, vous devez avoir l'impression que je ne la porte pas tellement dans mon cœur, ou que son cas m'attriste guère. C'est faux. C'est juste que je ne vois pas l'intérêt d'éviter le sujet, elle ne reviendra pas pour autant. Mes parents préfèrent continuer à faire semblant. Faire semblant qu'on est encore une famille de tout ce qui il y a de plus soudé. Ils nient le fait que Barbara ne soit plus là. Et maintenant, on dirait presque qu'elle est en vacances ou quelque chose du genre. C'est stupide et ça m'énerve.
Je sors une clope en mauvais état de ma poche, puis mon briquet. Et je fume. Mon dieu que ça fait du bien, un peu de nicotine. Ça me fait penser que c'est ma dernière. Merde. Mon portable vibre. On m'appelle. J'ai pas envie de répondre. Et pourtant, presque machinalement, je porte le téléphone à mon visage, décroche et parvint à dire un « ouais ? » d'un ton délaissé. « Putaaain, t'as fumé quoi ? T'es l'air morte rien qu'à la voix. » Connard. C'est Daniel. Ou Dan ? Ou Danny ? Un truc de ce style-là. J'sais pas ce qu'il me veut, et l'envie de lui raccrocher au nez me frôle gentiment. « Va te faire voir. Qu'est-ce que tu veux ? » Je sais, je manque cruellement de politesse. Et je suis grossière. Mais surtout crevée, et je n'ai pas envie de perdre mon temps avec un lourd pareil. Si je me souviens bien, c'est ce type là qui m'avait collé tout le long d'une soirée pour qu'on couche ensemble. Je l'avais gentiment rembarré pour me trouver un autre type avec qui m'envoyer en l'air et prendre un court instant de bonheur. Si s'en est, bien sûr. « j'organise une petite fête ce soir, y'aura tout ce qui faut pour s'éclater, si tu vois ce que je veux dire. » malheureusement, je vois parfaitement ce qu'il veut dire. Un peu de coke, beaucoup d'alcool et des branleurs en rute. « ouais. Je viendrai. » que je lui réponds. Comme toujours. J'ai horreur de me réveiller dans les vapes à cause d'une mauvaise soirée comme celle qui s'annonce. Mais j'adore prendre un verre, un rail de coke et une cigarette en me disant que ça ira mieux demain. « et on couchera toujours pas ensemble, Dan. » Je préfère le prévenir. Au cas où. « c'est Jack, mais c'est pas grave. On se voit ce soir alors ! » Merde alors, c'était Jack. J'ai la mémoire d'un poisson rouge, en fait. Peu importe. Me faut une tenue pour ce soir. J'en ai trente mille au placard, mais je les ai déjà portée une fois ou deux, donc, elles sont vieilles. Je suis une acheteuse compulsive alors. Les psychiatres pourront vous dire que je compense la perte de ma sœur et le délaissement des mes parents par des fringues que je ne porterai qu'une fois, achats inutiles et pourtant qui me semblent essentiels. Comme là.
Je ressors des plus grands magasins de fringues avec des tonnes de sacs. J'ai dépensé en une après-midi une certaine somme qui pousserait les honnêtes gens de classe moyenne au suicide. Je ne tiens décidément plus sur mes jambes, et il serait sans doute bon de récupérer un peu de sommeil avant cette fameuse fête, aussi fastidieuse risque t-elle d'être.
Je me sens bien. Pour la première fois depuis que je me suis réveillée ce matin. Ça vient sans doute du rail de coke que je viens de prendre. Je ne suis pas une droguée attention, je pense pouvoir très bien vivre sans. Mais vous savez ce que c'est, en soirée .. Et puis merde, ça fait tellement du bien de ne pas être lucide pendant un instant, de quitter ses pensées douloureuses pour s'adonner à des loisirs beaucoup plus joyeux, de dire n'importe quoi, d'être en plein euphorie. C'est mieux. Je suis donc défoncée, je parle avec tout le monde, même ceux à qui j'aurai, d'ordinaire, même pas accordé un seul regard. C'est beau la vie. Avec de la coke. C'est même magnifique. J'me défonce le nez à coup de cocaïne, me détruit le foie à chaque gorgée de vodka et ça me fait sourire. Je vois Dan – ou Jack – arriver vers moi. Même ça, ça me fait rire. Il me prend par la taille, tandis que je choppe une bouteille de je-ne-sais-quoi traînant sur une table à mes côtés pour en boire une pleine gorgée. « tu sais, on pourrait aller dans ma chambre » me murmure t-il. Quel crétin. Je lui réponds que je ne coucherai jamais avec un type comme lui, même bourrée. Je me rassure d’ailleurs d'être encore un minimum lucide pour lui répondre ça, et non une réponse positive. Il extirpe de sa poche des billets. De gros billets. « On pari ? Six beaux billets de la même couleur que ceux-là si t'en es capable. Sauf si, bien sûr, t'es en réalité une vierge effarouchée. » qu'il me lance avec un sourire que je n'apprécie pas particulièrement. « tu n'es qu'un enfoiré » lui dis-je avant de le suivre volontiers là où il m'emmènera. Pour deux raisons – stupides, je vous l'accorde – premièrement, il m'a défié. Vous savez, comme quand on vous lance un bon vieux défi nul à souhait, et que vous gagnez quelque chose si jamais vous y parvenez. C'est exactement ça. Je vois ça comme un putain de défi. Et secondement, il m'a provoqué en sous-entendant que je pouvais être encore vierge. Laissez-moi rire.
Et on monte dans sa chambre. Et on s'envoie en l'air. Et je simule, parce qu'avec lui, je ne peux que faire ça. Et je chope les billets et bois un peu de ce qu'il y a dans la bouteille que j'ai apporté, et que je vide le reste un peu partout – dont sur Jack – en éclatant de rire. Et je le laisse dans sa chambre misérable pour redescendre là où la fête se passe. Et en fait, je continue à boire, ou à me défoncer le nez, ou à fumer cigarette sur cigarette. Je me mets même à chanter à tue tête Alouette tandis qu'une amie me traîne dehors, selon elle, j'ai trop bu et je n'sais plus ce que je fais. Elle me force à m’asseoir dans sa voiture et je râle. Qu'est-ce qu'elle me prend la tête alors que je veux rester dans cette fête. Je continue à chanter alors qu'elle me conduit chez moi. L'emmerdeuse. « Ooooooh, j'ai gagné de beaux billets ce soir tu sais » Elle secoue la tête. La prochaine fois, j'me la ferme, je crois. « bon, j'ai dû couché avec ce macaque horriblement laid, mais ça fait un bon paquet d'argent quand même. » continue-je sur le même ton. Je veux qu'elle craque, qu'elle le dise le fond de ses pensées et qu'on en finisse – par là, j'entends pas se faire sauter la cervelle hein, mais qu'on brise la glace. « t'es une pute Juddie. Une putain comme on peut en trouver dans n'importe quel coin de rue mal fréquenté. » Juddie. Généralement, quand les gens m’appellent Juddie, quand ils me connaissent, c'est qu'ils veulent m'énerver. Ou que je les énerve. « Doux jésus, tu vas me vexer. » lui dis-je en plaisantant. « Non, Juddie, tu vas pas te vexer, parce que tu t'en fiches, comme tout le reste. Tu t'en fous bien de ce qu'on te dit, pour qui on te prend. Mais au lieu de mépriser les gens, regarde toi bien. Tes cheveux dégoulinent de vodka, tu n'peux plus marcher correctement, et pour finir, tu te prostitue pour une poignée d'argent à un bouffon. T'es pathétique. » « c'est toi qu'es pathétique. » que je lui rétorque automatiquement. Ai-je oublié de mentionner mon immature ? Maintenant, c'est fait. Oh et puis merde hein, je suis une prostituée, qu'est-ce qu'elle me fait là. Elle pète juste son câble parce qu'elle a pas baisé depuis plus d'une semaine, voilà tout. Son copain est en voyage à Paris. Et bah ma vieille, c'est pas une raison pour te défouler sur moi hein. J'ai envie de lui crier d'aller se faire voir. Mais je me tais. Je préfère pas prendre le risque de me faire éjecter de la voiture - sa voiture - parce que je n'serais pas capable de rentrer chez moi à pieds, ni de prendre un taxi dans l'état où je suis.
Je me réveille. Et comme presque tous les matins, je retrouve ma gueule de bois habituelle. Ils sont flous, plus que flous, mes souvenirs de la veille. Je me dis que c'est peut-être pas dommage. Quand, enfin, je décide de me bouger le cul sévère et de sortir de ma chambre, je me rends compte d'un truc qui cloche. Mes parents sont là. Tous les deux. Et il est quatorze heures. C'est douteux. Incroyablement douteux. Comprenez moi, ils sont souvent absents, et en plus, ils sont doivent, normalement, travailler à cette heure. Sauf si, bien sûr, ils m'ont prévenu d'un quelconque événement qui explique leur présence. C'est possible que j'ai pas écouté. Ou oublié. Alors que je m’empare d'un verre et de la bouteille de jus d'orange pour me réveiller, ils me regardent, en silence. Mauvais signe, je pense. Après cinq bonnes minutes, ma mère décide de briser la glace. « Tu sais quel jour on est au moins, Popee ? » Merde alors, qu'est-ce qu'ils viennent me faire chier avec le calendrier maintenant. C'est pas leur anniversaire de mariage, ni leur anniversaire tout court, c'est pas la fête des mères ou des pères, c'est pas Noël, et ce n'est pas non plus mon anniversaire. Je marmonne un "nom" grognon. « Jeudi. On est jeudi. » Chouette alors, on est jeudi. Voyant mon manque de réaction, mon père enchaîna : « Tu n'es PAS en vacances Popee, nom de dieu t'as cours là. T'en a pas marre de sécher tous les quatre matins ? » Je lève la tête. C'était donc ça, qu'ils voulaient me faire comprendre. D'un air indifférent, je leur réponds que, justement, ils faisaient bien de me parler de mes cours. « Je compte arrêter. Prendre quelques mois de congé, si vous voyez ce que je veux dire.» Mauvaise réponse, apparemment. Enfin si j'en crois le teint rouge tomate de mon père, et ma mère qui lève les yeux au ciel, l'air de dire ' mais pourquoi j'ai une gosse comme ça'. « TU NOUS FAIS CHIER POPEE ! TU NE FOUS RIEN DE TES JOURNEES ALORS QU'ON TE PAIE DES ÉTUDES A UN PRIX MONSTRE ! » Ca y est, monsieur pète une crise et crie. C'est à mon tour de lever les yeux au ciel. Tandis que je me sers un bol de céréale, il continue à crier. Je ne réponds pas, c'est pas la peine, j'ai déjà dis ce que je voulais dire. Mais le fait que je reste silencieuse énerve encore plus mes parents. Je suis une, je cite : incapable petite fille pourrie-gâtée coûtant une fortune. Soit. Je prends mon sac à main, vérifiant que j'ai bel et bien de l'argent à l'intérieur, et je me casse. Sous leurs pauvres yeux ébahis qui ne comprennent pas où je vais ni pourquoi. Et encore moins comment j'ose. Finalement, je lance un « Je vais pioncer quelques jours chez Sadie, elle au moins m'fera pas chier.» Sadie O. Priestley, c'est ma cousine, et je m'entends bien avec elle. Elle habite dans un appart plutôt chic à San Francisco, j'sais bien que ça ce fait pas d'arriver à l'improviste, mais j'ose espérer qu'elle me comprendra et qu'elle acceptera de m'héberger quelques jours. Ou plus, j'en sais rien en fait, et j'ai pas envie d'y réfléchir.
Dernière édition par Juddie-Popee Monroe le Sam 28 Mai - 17:31, édité 9 fois
Jed Vargas
NEVERsay neverFOREVER
ϟ PAPERS : 2481 ϟ LIVE HERE SINCE : 24/05/2011 ϟ LOOK LIKE : Josh Beech ϟ CREDITS : Apokalypto / LJ (icon stock) ϟ COOL JOB : Otage scolaire
Sujet: Re: POPEE ♥ « Y'a que les mal-baisés qui changent pas d'avis. » Sam 28 Mai - 16:31
MADDIIIIIIIIII(...)IIIIIIIIIE ! Bienvenue.
Beau Lennon
⚡ NOUVEAU RESIDENT.
ϟ PAPERS : 1930 ϟ LIVE HERE SINCE : 24/05/2011 ϟ LOOK LIKE : Tom Sturridge. ϟ CREDITS : bardachou ♥ ; tumblr. ϟ COOL JOB : Etudiant en astronomie et garçon de café.
Sujet: Re: POPEE ♥ « Y'a que les mal-baisés qui changent pas d'avis. » Sam 28 Mai - 21:59
Daphné-Lux I. Von Bart a écrit:
Clémence, mon actrice française préférée Bienvenue ma jolie et merci de ton inscription
Bienvenue en retard
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Sujet: Re: POPEE ♥ « Y'a que les mal-baisés qui changent pas d'avis. » Sam 28 Mai - 22:01
Juddie-Popee Monroe a écrit:
LUKE GRIMES :nerv: épouse-moi là maintenant, tout de suite, fais moi des gosses ! :O
Voyons, hum, un peu de tenue mademoiselle *nous faudra un lien alors* ;P
Invité Invité
Sujet: Re: POPEE ♥ « Y'a que les mal-baisés qui changent pas d'avis. » Dim 29 Mai - 0:27
Véritable coup de cœur sur ta fiche, j'imagine que ça va être difficile de jouer un personnage comme ça mais ça risque d'être diablement intéressant à suivre . Je lirais tes rp's, en tout cas, ça va de soi ! Bref, je te valide mademoiselle
ps : Clémence fait partie des mes acteurs préférés
Invité Invité
Sujet: Re: POPEE ♥ « Y'a que les mal-baisés qui changent pas d'avis. » Dim 29 Mai - 8:44
Merci tout le monde
Double validation alors, j'en ai de la chance Ca me fait vraiment plaisir ce que tu dis Tinker', en plus, Katy Perry et ton gif
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Sujet: Re: POPEE ♥ « Y'a que les mal-baisés qui changent pas d'avis. »
POPEE ♥ « Y'a que les mal-baisés qui changent pas d'avis. »