JUSTINE & KRYSTA
Goodbyes are not forever, goodbyes are not the end. They simply mean I'll miss you. Until we met again.

Y avait deux semaines de ça, j'avais laissé Justine en plan sur la plage. Elle avait eu ce qu'elle voulait, elle devait plus me prendre la tête, c'est tout, point. Elle m'avait trop chercher, mais en deux semaines, à rester chez sois sans la voir ,sans lui parler, surtout que l'alcool aide pas, je commençais sérieusement à ressentir un manque de plus en plus fort. C'était interdit, je pouvais pas, je devais pas, et pourtant elle agissait sur moi comme une drogue, comme un besoin, plus fort à chaque fois, chaque jour.

Ce soir, j'ai bu, encore une fois pour changer, et le manque était comme multiplié par trois, et ce trois là multiplier par cinq, et encore et encore, comme un énorme cercle vicieux. Bordel, c'te conne, elle me manque. Je pris alors mon téléphone, doucement, et je posa mon doigt jusqu'à aller dans répertoire. Justine. Appeler Justine ? Oui.

Bip ... Bip ... Bip ...

Avant même qu'elle réponde, j'avais tout de suite raccrocher, pour retenté l'expérience cinq minutes plus tard, exactement les mêmes gestes, le même nom, la même boule au ventre et cette même appréhension.

Bip ... Bip ... Bip ...

Elle venait de décrocher. Je restais silencieuse un instant, et soudain, je sentis mes yeux pleurer doucement. Non pas ça. Ma voix tremblais, doucement, lentement, mon nez coulait, signe de tristesse dans mon attitude, possible. Manque ? Voilà.

- Justine ? Tu .. tu me manques je suis tellement désolé .. pardonnes moi .. me laisse pas, tu me manques, j'ai besoin de toi .. je veux pas te perdre, pas comme ça, pas bêtement, s'il te plait, me laisse pas ...

Je repris mon souffle, mon nez coulait, des charmants bruits "sniff" se faisait entendre. J'étais mal, je contrôlais pas, putain ..

- T'es ma meilleure amie Justine, me laisses pas je t'en pris ... je suis désolé ..

Krysta & Justine

♣ Lorsque l'on quitte longtemps une personne, les retrouvailles ne peuvent être que meilleures.

Deux longues semaines étaient passées, et Justine avait fait en sorte de ne pas reprendre contact avec Krysta. Elle lui avait dit pourtant qu'elle l'aimait, comme une véritable meilleure amie, et depuis, Justine n'en doutait plus, pas une seconde, elle ne se posait plus la question depuis. La jeune Neelson s'était dit aussi, que si Krys' l'aimait comme elle avait si bien su lui dire, alors c'était à elle de la rappeler, ou bien, lui envoyer un sms, et alors Justine ferrait acte de présence. Parce que Krysta avait aussi dit à sa meilleure amie de la lâcher, chose que Justine faisait à merveille. Mais ça servait à ça une bestfriend : être là dans les bons, comme dans les mauvais moments. Mais c'était ce soir là, que le portable de Justine sonna une première fois alors que celle-ci était sous la douche. Elle en sorti brusquement, la tête encore toute savonnée, et elle regardait donc le nom qui s'affichait sur son Blackberry : KRYSTA. Elle souriait, puis décrocha, pour entendre un simple biiiiiiiiiip incessant, comme quoi, son interlocutrice avait raccroché. Elle soupira mais savait très bien que celle-ci rappellerai et que ce n'était pas une fausse manipulation de sa part. Mais elle ne savait pas à quel moment de la nuit sa meilleure amie voudrait lui re-téléphoner. Alors elle décida de continuer sa douche, afin de se rincer, et de se sécher, pour ensuite garder son portable sur elle H24, afin de répondre quand il le faudra. Elle eut à peine le temps de finir de se sécher, que quelques minutes après, son portable sonna à nouveau. Elle décrocha pour la seconde fois, et entendit enfin la voix de sa meilleure amie, qui cherchait ses mots afin de s'excuser pour son comportement de la dernière fois, et surtout, que Justine lui manquait atrocement. Elle pleurait au téléphone, et la jeune brunette essaya de la réconforter du mieux qu'elle le pouvait « Krys ! Chut calme toi ma belle, je m'habille et viens chez toi d'accord ? Allez dans deux minutes on est ensemble, t'en fais pas ma puce, reste chez toi, j'arrive !  » disait-elle tandis qu'elle prenait les clefs de son appartement. Krysta avait encore bu, et Justine s'en doutait, car elle ne pleurait pas aussi facilement sinon. Elle savait comment réagir lorsque sa meilleure amie buvait de trop. Alors elle eut à peine le temps d'enfiler un débardeur, et un short, qu'elle était déjà en train de dévaler les escaliers de l'immeuble, pour aller en direction de l'appartement de Krysta. Elle sonna alors à la porte de sa bf, et deux secondes après, elles tombèrent toutes les deux dans les bras d'une de l'autre. Justine cherchait à se faire réconfortante en caressant amicalement le dos de Krys, et en lui répétant qu'elle était là, et qu'il fallait qu'elle arrête de pleurer. Justine referma la porte à clé derrière elle, et reprit. « Je dors avec toi ma puce ce soir, t'en fais pas t'es pas seule. » disait-elle en lui souriant gentiment.
Leur relation était tellement unique, que Justine ne supporterait pas de perdre Krys. Vous aviez beaucoup vu vous, des meilleures amies qui couchaient tout le temps ensemble, dès qu'elles se voyaient limite ? A part elles deux, ces filles ne devaient pas courir les rues. Et cette sensation était bizarre pour Justine, car elle adorait ça, et plusieurs fois elle s'était posée la question de savoir si elle était hétérosexuelle ou non. Alors elle s'était proclamée bisexuelle, seulement avec Krysta, ce qui la faisait rire intérieurement. Car jamais, jamais Justine n'avait été attiré par le corps d'une autre femme que celui de Krysta. En même temps, il fallait l'avouer, elles étaient dotées d'un magnifique corps, chacune, alors elles ne pouvaient être qu'attirante. Justine soupira. « Krysta, tu as encore bu.. » disait-elle en mettant ses deux mains sur ses hanches, la scrutant. « Viens, il faut que tu ailles te rafraîchir sous la douche, ça te ferra un bien fou. » disait-elle, tandis qu'elle emmena Krysta dans la salle de bain. Elle lui enlevait son tee-shirt, puis son short, alors que Krysta elle s'occupait de sécher ses larmes. Justine se mettait elle aussi en sous-vêtement pour l'accompagner sous la douche. Elle alluma le jet d'eau, pour qu'il puisse aller sur Krysta. Justine la scrutait silencieusement, en se demandant, quand est-ce qu'elle arrêtera d'être attiré par ce corps de déesse ? Elle le connaissait pourtant par coeur, mais cette attirance s'amplifiait à chaque fois qu'elle la voyait presque nue.

- Krys ! Chut calme toi ma belle, je m'habille et viens chez toi d'accord ? Allez dans deux minutes on est ensemble, t'en fais pas ma puce, reste chez toi, j'arrive !

Ma respiration allait fort, de plus en plus, mais j'essayais de contrôler, de me dire que tout allait aller pour le mieux puisqu'elle serais là dans peu de temps. Je respirais, encore et encore, pas moyen de me calmer plus que ça, il ne me restais que deux bouteilles d'alcool et je les avais terminés dans l'heure qui précédait. Sur ce coup, je n'avais pas vraiment été maline, je l'avoue. Je trouvais alors le peu de force qui me restait en l'attendant là, recroquevillé sur moi même, comme si un monstre allait arrivé dans peu de temps. J'étais mal, vraiment mal sans elle. Ça faisait déjà trop de temps, trop de temps que je ne l'ai pas vu, trop de temps que ça me bouffe et que ça me ronge, pourquoi elle n'avait pas donné de nouvelle, c'était si compliqué que ça ?

La sonnerie venait de retentir, je me levais difficilement, elle venait d'arriver, enfin. J'allais directement à la porte et l'ouvrait, puis, sans même chercher à comprendre, je me lançais dans ses bras, cherchant son odeur pour me rassurer. Elle répétait sans arrête qu'elle était là maintenant, et que tout allait bien se passer. J'essayais de la croire, tout en m'enivrant de son odeur que je voulais plus forte, pour mieux me rassurer. Elle fermais alors doucement la porte, ce à quoi je ne fis pas attention, bien trop occupé à retrouver tout ce temps perdu dans l'odeur que dégageais Justine.

- Je dors avec toi ma puce ce soir, t'en fais pas t'es pas seule.

Ma puce. Ces surnoms m'avaient tellement manqué, et le fait de savoir qu'elle allait dormir avec moi aussi. Ce qu'elle ne comprenais pas c'est que quoi qu'il arrive, j'étais seule. Rien ne changerais ça, même pas elle, même pas le temps d'une nuit, parce que la seule chose qui puisse couvrir cette solitude c'est les bouteilles. Encore et toujours les mêmes, ces bouteilles qui m'accompagnent partout, qui font battre mon cœur, qui font bouger mes membres, et qui plus que tout, me font sentir en vie. J'avais été une fois aux alcooliques anonymes, j'y étais inscrite, mais depuis cette fois, je n'y suis plus aller, continuant à me détruire à petit feu.

- Krysta, tu as encore bu..
- Je ..

Un frisson venait de me parcourir alors que ces mains venaient de se poser sur mes hanches. De plus en plus, la fameuse question "pourquoi ?" se répétais dans ma tête ; après tout, c'était une femme, et jamais avant je n'avais eu envie de femme, que des hommes. J'étais hétérosexuelle, mais il suffisait qu'elle soit dans la même pièce avec un peu d'alcool, et me voilà bi, bisexuelle rien que pour elle.

- Viens, il faut que tu ailles te rafraîchir sous la douche, ça te ferra un bien fou.

J'essuyais alors doucement mes larmes en silence. Ça y est, elle était là, avec moi. Pas de quoi m'inquiéter maintenant. Une douche, avec elle. Je savais comment cela allait finir, parce qu'une fois que son corps se dévoile, une envie d'elle plutôt forte se fait ressentir en moi, ce qui est parfois tout de même assez gênant. Elle me déshabillait doucement pendant que je séchais le reste de larmes et entra dans la baignoire.

Je frissonnais de l'eau froide qui coulait sur mon corps. Je frissonnais de son regard sur moi. Je frissonnais en l'embrassant, alors que je venais de la tirer par le bras.

Justine ne savait pas vraiment si c'était bien de recommencer encore une fois, à coucher avec sa meilleure amie. Mais en ce moment elle était mal, elle aussi, et tellement paumée, qu'elle ne pouvait résister. Elle était faible. Et en plus de cela, c'était Krysta qui avait commencé à l'embrasser, alors qu'elle ne s'y était même pas préparée. Enfin si, car elle y avait pensé, à la minute où elle avait vu Krys en sous-vêtement, mais sa meilleure amie avait été beaucoup plus rapide qu'elle. Elle l'avait tirée par le bras, et embrassé avec fougue, et tendresse à la fois. Justine succombait totalement, et elle répétait en chuchotant à sa meilleure amie « Je suis là ma puce, je suis là. » en commençant à la caresser, doucement. Krysta était devenue une drogue pour elle, comme si elle avait envie de coucher toujours plus avec elle. Elles avaient toujours été proches comme cela, et rien ne pouvait les changer : elles s'aimaient de cette manière là ? Soit ! Qu'on les laisse vivre après tout ! Alors, Justine commençait à explorer le corps de Krys. Elle ne savait plus pourquoi elles étaient dans une douche d'ailleurs, vu que Krysta avait le don de tout chambouler dans sa tête. Justine, doucement, caressait le ventre de la brunette qui l'accompagnait, puis massait doucement la généreuse poitrine de son amie, continuant de l'embrasser, avec ardeur encore. Le jet d'eau tomba dans la douche, tellement Justine était occupée à autre chose. Alors elle passait ses mains dans le dos de Krys, afin de dégrafer son soutien gorge, qui le gênait plus qu'autre chose. Puis elle retourna, caresser la poitrine de Krysta. Une de ses jambes venaient remonter le long de celles de sa meilleure amie, puis elle se collait un peu plus à elle. Rien de tout cela était sérieux, et le pire dans cette histoire ? C'était que Justine était sobre elle. Elle ne pouvait donc plus prétendre d'être à cent pour-cent hétérosexuelle. Puis ses mains descendaient lentement, vers le dernier vêtement que portait Krys. Elle préféra le laisser, pour ne pas se précipiter, passant les mains sur le joli postérieur de son interlocutrice, et en le caressant doucement. Le plaisir grandissait un peu plus à chaque caresse donnée, et chaque caresse reçue. Puis elle passait une de ses mains sur la partie intime de Krysta, prenant le soin de ne pas encore enlever la culotte, pour faire augmenter le désir. Elle passait la main sur son entrejambe, remontait vers sa poitrine, pour se coller au plus qu'elle pouvait à elle, se frottant sensuellement sur le corps de celle-ci, doucement. Elles avaient une nouvelle fois succombée toutes les deux, à ce plaisir qu'était de faire l'amour.

- Je suis là ma puce, je suis là.

Elle le répétait, encore et toujours, comme une douce mélodie qui se balançais à mon oreille. J'aimerais qu'elle soit là pour toujours, juste elle et moi, parce que c'est nous, et ensuite c'est les autres. Cependant et malgré tout, ce n'était que ma meilleure amie, et vivre en colocation avec elle devait être un enfer. Elle m'en voulait des fois de boire autant, je le voyais dans ses yeux mais je ne pouvais rien faire d'autre, c'était quelque chose que je ne contrôlais pas, simplement. Seconde chose incontrôlable, mon envie d'elle, toujours présente, qui se faisait plus grande, chaque fois un peu plus. Je ne savais pas dans quel sorte d'amitié j'étais tombée avec elle, mais je savais que c'était fort, et qu'il fallait plus d'une personne pour nous empêcher de faire ce que l'on fait. Parce que c'est comme ça qu'on s'aime. Au lieu de regarder des films, ou de passer son temps dans les magasins, ou même aller des soirées, on couche ensemble. J'espérais que ça durera aussi longtemps que durera notre amitié, parce que c'est ce fil qui nous tiens autant unis. C'est notre manière de se montrer que l'on s'aime, et je sais que j'aurais toujours cet envie de son corps contre le mien, comme maintenant. Rien que le fais de l'avoir embrasser avait été chez moi comme un déclic. Je savais ce qu'allait être la suite, et c'est grâce à ce savoir que je souriais intérieurement. Ses mains passèrent sur mon corps, et les miennes firent de même, sensuellement, tendrement, et avec beaucoup d'envie. J'avais beau connaitre son corps, je le redécouvrais un peu plus à chaque fois. J'étais bourrée, et peut-être que l'alcool faisait monter en moi l'excitation d'avoir son corps près du mien. Doucement, je fis passer mes lèvres dans sa nuque afin d'y déposer de doux baisers, montant un peu plus, passant sur sa mâchoire, puis sur sa joue pour mordiller doucement son oreille avant de chuchoter :

- Tu m'a tellement manqué ..

Je redescendis doucement, faisait le même chemin retour, descendant un peu plus vers sa poitrine. Son corps était le seul corps féminin qui me faisait autant envie, et je ne savais pas du tout comment l'expliquer. Il me faisait envie oui, mais je voulais que nos activités restent secrètes, parce que le fait de faire ça avec une fille, même si ça en excite plus d'un, moi je sais qu'une fois trop sobre, je ne pourrais plus le faire. Alors que mes lèvres couvraient ses seins de baisers, mes mains, elles, firent le tour de son corps, caressant chaque partie, touchant chaque recoin, avant de se fixer un cours instant dans son dos ; dégrafer son soutien-gorge. De son dos, mes mains remontèrent à ses épaules afin d'enlever les bretelles et de le faire tomber au sol, à nos pieds, sous l'eau. Elle était encore plus belle avec ce fluide dégoulinant sur tout son corps.

- J'ai envie de toi ..

Lui confiais-je avant de lui voler un baiser d'envie. Ses mains sur mon corps me donnais la sensation d'être quelqu'un pour une personne, d'être unique et en même temps d'être important. Elle visitait mon corps, encore une fois, et drôlement, à chaque fois j'ai l'étrange sensation d'être comme à la toute première fois. Je ressens les mêmes frissons, les mêmes angoisses et les mêmes envies. Surtout cette envie. Juste elle. Justine. Alors pourquoi résister à la tentation quand on peut y céder ?

Krys se laissait aller, à fond, toujours lorsqu'elle avait trop bu. Elle malawait elle aussi la poitrine de Justine, l'embrassant et jouant avec. Justine passait une main dans les cheveux de sa meilleure amie, afin de l'inciter à continuer. « J'ai envie de toi... » disait-elle de sa voix sensuelle. Ces quatre mots raisonnaient dans sa tête. Elles ne devraient pas avoir cette envie, c'était deux femmes, elles n'étaient pas censées s'attirer à ce point, au point de coucher ensemble. Des meilleures amies, ça n'avait pas cette intimité là, elles ne partageaient jamais leur corps. Et pourtant, pourtant Justine en avait drôlement envie d'elle, aussi, puisqu'après ces quatre mots, elle souriait en coin, heureuse d'avoir retrouvé pour de bon, les bonnes vieilles habitudes qu'elles avaient. Elles étaient comme ça toutes les deux, c'était leur petit rituel que de se caresser comme cela, d'avoir des moments très intimes ensemble. Mais elles s'en fichaient, en fin de compte : car seulement elles pouvaient comprendre ce qu'il leur arrivait, ce qu'elles ressentaient, vraiment. Alors les caresses de Justine s'intensifièrent sur le corps de la demoiselle. Elle voulait tellement essayer de rendre la vie un peu plus joyeuse de sa meilleure amie, qu'elle lui offrait ces moments d'intimité, ces moments de plaisir. Après avoir masser de longues minutes la poitrine de Krysta, Justine descendait lentement rejoindre son autre main, qui se trouvait elle, à l'entrejambe de son interlocutrice. Elle ôta le dernier vêtement de Krysta, et voilà qu'elle se retrouvait nue face à elle. Son coeur prenait un rythme irrégulier, ce qui semblait normal vu la pure merveille qui se tenait devant ses yeux. Justine lâchait parfois des soufflements de plaisir. Mon dieu ce qu'elle pouvait être bien ici, entre les mains rassurantes de Krys. Elle laissa sa tête divaguer, profitant de ce moment. Quelques minutes après, Justine qui caressait le joli fessier de sa meilleure amie, décida de la coller contre la paroie de la douche, restant contre son corps. Une de ses mains restaient sur sa hanche, tandis que l'autre allait caresser soigneusement la partie intime de Krys, puis elle décida de faire quelques vas et viens à l'intérieur de celle-ci, ce qui eut le don de provoquer quelques petits gémissements de plaisir de la part de sa meilleure amie. Elles ne pouvaient décoller leurs lèvres l'une de l'autre, Justine en profita pour lui mordiller sa lèvre inférieure, et pour lui donner d'inombrablesbaisers dans le cou, suivi d'un petit suçon, histoire de marquer son territoire, sur Krys. Elle la voulait pour elle, encore une fois, encore une nuit.
« Moi aussi ma puce, si tu savais... » lui chuchotait-elle, de ce petit air sensuel au creux de son oreille. Elle avait tellement envie que Krys lui rende la pareille, qu'elle qu'elle la rassasie, jusqu'à épuisement total.