KIARA ϟ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage.
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Sujet: KIARA ϟ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Jeu 2 Juin - 21:17
KIARA ELLA KOUTOVSKI
Une personne sur deux n’aime pas son prénom (je tiens à préciser que je viens d’inventer ces statistiques, mais ça rend toujours plus classe de sortir des pourcentages dans ses phrases, on parait beaucoup plus cultivé, puis les gens y croient toujours), je peux dire que je faisais partis de ceux qui l’aime bien. De toute façon on ne demande pas notre avis à la naissance, au pire on peut toujours changer plus tard, mais c’est complètement absurde ! Le plus simple serait que les parents entrent en communication avec nous quand nous sommes encore tranquilles dans le ventre de notre maternelle, qu’ils nous proposent plusieurs noms, et que l’on choisisse nos favoris. En tout cas, Kiara c’est fort sympathique, c’est pas trop long, facile à retenir, et je me souviens qu’à mes trois ou quatre ans, lorsque que j’ai découvert la joie des Disney, particulièrement le Roi Lion, je fus encore plus heureuse de porter le nom d’un personnage. Mais oui vous savez, Kiara, la fille de Simba dans le Roi Lion II ? Belle référence n’est-ce pas, peut être que mon amour pour tout ce qui touche aux Disney et autre divertissement télévisuelle de l’enfance vient de là. Mes parents malgré tout m’ont donné un deuxième prénom, Ella. Haha, sérieusement ce prénom est une blague, oui c’est doux, on pourrait presque dire mignon, mais vraiment ce n’est pas un nom, c’est une sorte d’onomatopée, du genre « HEY LA ! » vous voyez, enfin, personne ne m’appelle comme ça, et dieu merci (si je ne comptai pas mes chers amis qui aiment m’énerver avec ça). Enfin, j’ai aussi eu le droit d’hériter du nom de famille de mon paternel, Koutovski, avec un nom pareil il est difficile de cacher mes origines russes, c’est même ma deuxième langue, à force d’entendre mon père me hurler dessus dans cette langue j’ai finis par la retenir, mais j’aime bien, elle sonne un peu autoritaire, comme l’allemand, c’est bien plus amusant de s’engueuler ou s’insulter en russe qu’en anglais. A part ça, je peux dire que j’ai 22 ans, et je ne sais toujours pas ce que je veux faire de ma vie. J’ai suivie tout le parcours scolaire, de la crèche au lycée, et ensuite j’ai bien été dans la merdasse je dois vous le dire, les études supérieurs haha mais quelle blague ! Je m’en serais bien passé, mais je n’avais aucunement envie de finir ma vie dans mon fauteuil à ne rien faire jusqu’à mes 60 ans, je me suis donc porter vers la science. Tout simplement parce que j’avais toujours été douée en physique/chimie, et que c’était ce qui me saoulait le moins, et tout ces trucs de recherches, d’expérience dangereuse, c’était mon trip, sérieusement quand il s’agit de truc dangereux, inconnus ou même interdits, je suis toujours là, et je dois dire que même si je pense ne jamais être accepté dans un laboratoire (non pas pour mon incompétence, car il faut dire que je suis douée, mais pour mon total manque de sérieux qui risque d’être dangereux si je me retrouve seule avec des produits chimiques.). Je reste également une éternelle célibataire, les aventures d’un soir me convienne, tout simplement car je ne veux pas m’engager, je m’amuse c’est tout. Alors ne me parlez pas de fidélité et d’amour, car mes relations ce finissent souvent le lendemain d’une nuit torride, donc pas le temps de parler de fidélité, encore moins d’amour. Je recherche seulement de l’affection, que ce soit pour une nuit, ou pour un mois, mais pas plus, et comme ça, je ne souffre pas, je ne peux qu’y gagner. Sinon, il n’y a rien qui m’intéresse beaucoup dans la vie, je n’ai aucun projet de vie futur, je n’ai pas d’animaux de compagnie, je n’en ai jamais eu (non pas que je n’aime pas les animaux, je m’extasie toujours devant un chien que je croise dans la rue, ou dans une animalerie), et je suis à ce que je sache fille unique. Je ne fais rien de particulier, j’ai une vie tout à fait banale, à part mes études, je fais des petits boulots à droite à gauche pour pouvoir les payer, oh et je fais de la batterie, le meilleur moyen que j’ai trouvé pour me défouler, je ne suis pas une batteuse exceptionnelle, j’irais pas jouer dans un groupe demain loin de là, mais je me débrouille pas mal, j’en fais depuis mes douze ans, alors j’ai fini par avoir un niveau correcte heureusement.
1ER ÉTAGE« GOOD MORNING AND, IN CASE I DON'T SEE YA, GOOD AFTERNOON, GOOD EVENING, AND GOOD NIGHT ! »
que fais-tu à san francisco ? Je ne fais rien. Enfin rien de très intéressant, sauf mes études scientifiques, sinon à part boire, fumer, coucher à droite à gauche, et regarder Babar à la télé, je ne fais rien. ton appartement de rêve, il est comment ? Mon appartement de rêve, serait doté d'une piscine en plein milieu du salon, il y aurait pleins de canapés et coussins partout, et une cuisine gigantesque, il y aurait aussi une fontaine à Nutella, et écran de cinéma géant, et une réserve de nourriture (c'est à dire de tout ce qui n'est pas diététique) énorme, et aussi une collection intégrale des Disney, des Babar, Télétubbies, ou autre dessins animés que je regardais petite (mais que je regarde encore.). Après ma chambre aurait un immense lit, d'au moins 20 places, et une réserve de bonbon (avec distributeur automatique) serait installé juste à côté. Je pourrais également écouter de la musique dans toutes les pièces de la maison (même les toilettes (d'ailleurs elles devront être lumineuses et multicolores)), et à part ça, je crois que c'est tout. et ton/ta voisin(e) de rêve ? Ce serait déjà un mec, brun, et musclé (mais pas trop) aux yeux verts, il aurait le même caractère que moi (en un peu moins chiant quand même) et obéirait à tous mes ordres, bien sur, se serait une sexmachine. quel métier exerce-tu ? Je suis simple étudiante en science, donc on peut dire que je suis censée (je dis bien censée) finir ma vie dans un laboratoire à faire de folles expériences. ton plus beau souvenir ? Le jour où j'ai fini mon jeu Pokémon, ou celui ou j'ai remboursé intégralement mon prêt à Tom Nook dans Animal Crossing, que d'émotions ! t'as des secrets où tu es un plutôt un livre ouvert ? Je suis une tombe, je ne vois pas l’intérêt de raconter ma vie à tout le monde, surtout pour ce que c'est franchement, donc je ne risque pas de conter ma vie au passant du coin. on a tous un rêve, le tien c'est ... Très bonne question. Je pense que je n'ai pas de rêve, enfin pas de très concret du genre être marier à l'homme de ma vie et avoir des enfants, pour le moment mon seul rêve et de ne pas finir à l'hosto après un coma éthylique, ou parce que je serais tombé du cinquième étage en trébuchant. groupe désiré ? THE DON'T DRINK THAT avatar Barbara Palvin la magnifique !
2ÈME ÉTAGE« I WANT TO BE AN EXPLORER, LIKE THE GREAT MAGELLAN. »
Spoiler:
PSEUDO&PRÉNOM Vilain Petit Canard. ÂGE 14 ans et toute ses dents ! PAYS&RÉGION France, même que j'suis une Parisienne ! AVIS SUR LE FORUM Il est beau, puis les smileys gosh j'en suis amoureuse *-* QUELQUE CHOSE À AJOUTER J'aimerais pouvoir vous chanter toutes les chansons que j'ai dans la tête, mais vu que ça prendrais des heures et que cela vous rendrais fou en entendant mes registres musicaux, je vais donc m'abstenir, et simplement vous dire que CANAPI, les Teletubbies, les barbapapa, et les pokémons vaincrons ! MDP DU RÉGLEMENT Comment y'en a trop pas ! Ou alors, tuez moi parce que je ne sais plus lire !
Dernière édition par Kiara E. Koutovski le Sam 4 Juin - 20:29, édité 5 fois
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Sujet: Re: KIARA ϟ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Jeu 2 Juin - 21:17
R.D.C.« WE ACCEPT THE REALITY OF THE WORLD WITH WHICH WE ARE PRESENTED. »
Les choses de l'enfance ne meurent pas, elles se répètent comme les saisons.
On pourrait dire que j’ai eu une enfance merdique. C’est pas faux, mais j’aurais pu connaître pire, je ne l’ai pas si mal vécu, enfin disons plutôt que je m’en suis remit. Je me rappellerais toute ma vie de cette nuit, j’avais 12 ans, bientôt 13, la nuit du grand départ. J’avais de nombreuse fois penser à fuguer, à m’enfuir loin de chez moi, loin de mon père, et je m’étais à chaque fois désister au dernier moment, me trouvant toujours des excuses, parce que je savais que si je fuyais, et qu’il me retrouvait, c’était ma fin, car malgré tous les coups que j’avais reçu, il s’était toujours retenu de me tuer, comme si il voulait me faire souffrir le plus longtemps possible, me tuer était un jeu d’enfant pour lui, mais si je mourrais, il n’aurait plus de moyen d’évacuer sa rage et sa colère. Bon, au cas où vous n’auriez pas comprit, je suis une enfant battu, j’ai subit les coups de mon paternel pendant presque 13 ans, jusqu’à ce que je me décide enfin à m’enfuir. De toute façon je n’avais pas trop le choix, mon esprit m’avait ordonné de m’enfuir, surement ce qu’on appelle l’instinct de survie, vu que je n’aurais surement pas tenu longtemps encore, ses coups s’étaient fait de plus en plus violent, et chaque jours plus nombreux et puissant. Hélas je n’avais aucun moyen de me défendre, je n’avais jamais tenté de riposter, mais je vivais seule avec lui, je n’avais jamais pu trouver un pilier sur lequel me reposer, enfin disons pas chez moi, il était ma seule famille. Ma mère s’était volatilisé peu de temps après ma naissance, je n’ai jamais su pourquoi. Peut être elle aussi avait subit ses coups ? Enfin, si c’était le cas, il aurait été sympa de m’emmener avec elle, peut être aurait-elle pu penser que si il l’avait frappé, il me bâterait également … Peut être n’était-elle pas prête pour élever un enfant ? Mais mon père non plus ne l’était pas, il n’était bon qu’à m’envoyer voler contre les murs, pour le reste je devais me débrouiller seule. J’en avais toujours voulu à ma mère, de m’avoir abandonné, de ne pas m’avoir protégé, je n’ai jamais voulu la contacter, et je ne le veux surtout pas, je pense que si l’une de nous deux devait faire le premier pas, c’est à elle de le faire, pas à moi, je ne connais même pas son nom, surement a-t-elle refait sa vie, mais je ne veux pas le savoir, ça me ferait trop mal. Aujourd’hui c’est comme si j’étais orphelinat, mon père … bin, c’est pas vraiment un père, c’est plus une bête sauvage qui j’espère finira sa vie dans la souffrance. Je vais éviter de m’attarder sur ce qu’il m’a fait durant 13 ans, juste comme tout enfant battu, je finissais la plupart du temps inerte sur le sol, ou balancé contre un mur tel un mouchoir sans valeur, ou bien enfermé dans la cave, même si ce dernier cas était rare. J’ai cru de nombreuse fois venir mon heure, mais non je me suis toujours relevée, même si parfois j’aurais préféré ne pas le faire. J’ai quelques cicatrice, une au dessus de l’arcade, mais elle ne se voit presque pas, et une sur l’épaule gauche. La première n’a rien à voir avec mon père, elle est simplement du à mon incroyable agilité, qui m’a parmi de tomber dans les escaliers, finissant ma course en m’ouvrant l’arcade. Je n’ai pourtant jamais comprit pourquoi, malgré ma tête de suicidaire et mes nombreux bleus apparent, mes professeurs, ou même n’importe qui d’autre n’avaient jamais pensé que j’avais un problème, non, ils pensaient simplement que j’étais un sale enfant casse coup, et que mes bleus n’étaient que ma récompense pour toutes les conneries que je faisais (et ils avaient un p’tit peu raison, c’est vrai que j’en ai fait des conneries, et des belles !). J’ai donc laissé les années passées, me répétant pour me réconforter que c’était bientôt fini, qu’il finira bien par se lasser un jour ou l’autre, et pourtant je savais bien que je me répétais des mensonges, que jamais il n’arrêterait, enfin si, il arrêtera quand l’un de nous sera six pieds sous terre, la question était lequel allait périr avant l’autre, et pour le moment il était bien partit pour gagner la bataille. Alors à mes 12 ans, j’ai fini par me dire que le seul moyen qu’il cesse, c’était la fuite. J’ai de nombreuse fois pris mes affaires, presque toutes les semaines, mais pourtant à chaque fois je partais me coucher en me répétant que demain serait un jour meilleur. Ah mais qu’est-ce que j’étais conne. Je pense que si j’ai fini par me barrer de cette baraque maudite, c’est grâce à Kyliann, mon meilleur ami, enfin c’est même plus qu’un meilleur ami, c’est le pilier qui m’a longtemps manqué, je l’ai connu il y a 11 ans maintenant, et je pense que sans lui je ne serais peut être plus là pour conter ma vie –si passionnante soit-elle-. C’était le seul au courant de mon histoire, c’était le seul en qui j’avais vraiment confiance, mais de toute façon à 11 ans, à 12 ou 13, il ne pouvait rien faire. Je n’avais jamais été du genre à me larmoyer sur mon sort, c’était comme ça et puis c’est tout, me plaindre n’aurait servit à rien, donc dès que je sortais de chez moi, je devenais un enfant pleins de vie, qui faisait toutes les conneries possibles du monde. Je riais tout le temps, et me comportait comme une gamine de trois ans et demi (et aujourd’hui ça n’a pas changé).
C'est peu de chose, en général, une vie humaine, ça peut se résumer à un nombre d'événements restreint.
J’avais sonné chez Timéo à je ne sais quelle heure de la nuit, il était peut être une heure du mat’, ou trois, aucune idée, lorsque j’avais décidé de partir de chez moi. En même temps je n’avais pas prévus d’heure, j’avais faillit abandonner, mais j’avais fini par sauter de ma fenêtre avec pour seules affaires tout ce que j’avais pu rentrer dans mon sac de cours, ainsi que dans un second sac retrouvé au dernier moment sous mon lit. Il est vrai que je n’avais pas prévu de tomber sur sa mère, légèrement énervé qu’on frappe à sa porte à une heure si tardive (ou matinale). Elle fut étonné de me voir à cette heure-ci devant chez elle, heureusement qu’elle me connaissait, je passais le plus clair de mon temps chez eux, c’est donc non sans insister que j’avais filé dans la chambre de Tim, cette nullité dormait comme un bébé, dans un bordel pas possible. Je m’asseyais donc sur le rebord de lit, et lui donnait un violant coup de bras pour le réveiller, ce qu’il fit non sans se plaindre à moitié endormi encore. « Mais qu’est-ce que tu fou là Kiara ? » « Je l’ai fait, sauf que j’avais pas pensé au lieu où je pourrais dormir une fois que je serais barrée de chez moi. » Il avait très bien comprit de quoi je parlais, et sur la question d’où j’allais dormir, il était ma seule issue. « Réfléchis juste à une excuse auprès de mes parents pour justifier ta venue chez moi et ton squattage à durée indéterminée qui va suivre. ». J’étais restée environ deux semaines chez lui, j’avais surtout craint que mon père débarque pour me récupérer, je dormais peu, je guettais sa possible arrivée, et je réfléchissais également à ce que j’allais faire maintenant. Parce que c’était bien beau de se barrer de chez soi, mais fallait-il encore savoir où vivre après ? Et comment se débrouiller ? J’avais tout expliqué à la mère de Tim, même si j’étais bonne comédienne, je n’aimais pas mentir, et je ne voyais pas pourquoi je ne lui dirais pas la vérité. C’est donc deux semaines après mon arrivée fracassante qu’elle m’envoya dans un orphelinat, ne pouvant me garder chez elle. Je ne voyais pas ce que je venais faire dans un endroit pareil, franchement. Certes, j’étais un peu comme orpheline aujourd’hui, mais tout de même. De toute façon je n’avais pas trop le choix, je passais donc un peu plus de 3 ans dans ce lieu dont je me souviens bien. J’allais surtout avec les plus petits, il me faisait le plus de peine, je ne comprenais pas comment à même pas 3 ans, parfois des nourrissons pouvaient atterrir ici. Mais il était plus facile pour eux de retrouver une famille, alors que certains, dès qu’ils passaient les 7 ans c’était foutu pour eux, rares sont ceux qui ont trouvé une nouvelle famille à cet âge là. Moi je savais que j’allais passer 3 ans sans rencontrer aucune famille, de toute façon je ne voulais pas me faire ‘’adopter’’, je préférais attendre ma majorité, sans connaître de soi-disant parents. Je garde dans tout les cas un fâcheux et malheureux souvenir de ces années d’orphelinat. C’était tout de même un endroit parfait pour rester en sécurité loin de mon père, Timéo m’a dit qu’il était passé deux fois chez lui, à ma recherche, mais heureusement il n’avait rien dit, tout comme sa mère qui s’était rangé de mon côté. Sérieusement j’aurais aimé atteindre la majorité dans de meilleures circonstances.
Ces quatre murs en plastique sont peints de papiers et de tas de bics, des tas de feuilles à moitié mortes, à moitié bourges ou à moitié fortes.
San Francisco ! Une bien grande ville, et je suis heureuse d’y vivre à présent. J’avais toujours vécu dans ma petite ville dans région, j’allais souvent à SF pour me promener, et je m’étais dit que plus tard, j’y habiterais. C’est chose faite à présent, et je profite des joies des grandes villes ! A mon arrivée, comme d’habitude je n’avais rien prévu, j’étais arrivée comme ça, avec mes sacs et un compte en banque peu remplie, et j’avais cherché un endroit où dormir. J’avais d’abord habité dans un todi, un tout petit appartement, enfin ce n’était même pas un appartement, il y avait à peine la place de caser un lit (c'est-à-dire un clic-clac de la mort qui ne se déplie plus au bout d’une semaine), une cuisine et une télé. Enfin, j’y ai tout de même vécu un an (grâce aux joies du squattage chez les forts sympathiques camarades qui m’ont accueillit au moins 7 mois sur 12 chez eux.), avant de trouver enfin assez d’argent pour me payer un appartement un peu plus grand. Après ma vie fut bien tranquille, je passais mes nuits à boire, à fumer, et à coucher avec tous ce qui bouge, c’était la belle vie. A partir de là ma vie ne fut pas très intéressante (je ne dis pas non plus qu’elle l’était avant), pas de drame, pas de mort, pas de pleurs. Il y a quelques mois j’ai trouvé un vrai de vrai appart, dans un immeuble bien sympathique, et cette fois je pense que je vais pouvoir rester pas mal de temps. Je suis toujours sans nouvelles de mon père, peut être est-il mort, à vrai dire je m’en contre fou, les pages de mon passé je les ai brulé, tout ce qui me raccroche à autrefois c’est mes cauchemars que j’ai de temps en temps. Je n’ai en aucun cas été traumatisé par tout ce qui m’est arrivée, enfin je ne crois pas avoir de problèmes mentales (ou pas dirons certains), je ne garde pas de séquelles, et je n’en parle jamais, non pas que ça me fasse du mal, mais primo quand je raconte que j’ai été une enfant battue, je casse complètement l’ambiance, et secundo par la suite les gens semblent vouloir me « réconforter » ou ressentent de la pitié pour moi, franchement c’est pas si grave, maintenant c’est terminé et je suis toujours là, donc je ne vais pas me plaindre, j’aurais pu finir dans mon lit de mort depuis longtemps. A présent, une belle vie insouciante s’offre à moi, et la seule chose qui peut encore m’emporter, c’est ma connerie.
Dernière édition par Kiara E. Koutovski le Sam 4 Juin - 20:12, édité 8 fois
Pippa Lou D. Mckenzie
YOSHI Ϟ you can broke my heart
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Sujet: Re: KIARA ϟ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Ven 3 Juin - 10:14
Bienvenue parmi nous !
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Sujet: Re: KIARA ϟ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Ven 3 Juin - 10:29
Bienvenue
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Sujet: Re: KIARA ϟ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Ven 3 Juin - 11:02
bienvenue
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Sujet: Re: KIARA ϟ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Ven 3 Juin - 13:40
BIENVENUEparmi nous bon courage pour ta fiche et j'adore le titre
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Sujet: Re: KIARA ϟ Tu vois la liberté, c'est de pouvoir manger ses carottes râpées dans l’emballage. Ven 3 Juin - 13:40
Welcome
Beau Lennon
⚡ NOUVEAU RESIDENT.
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