HARRISON ϟ I would turn off the fire of your heart
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Sujet: HARRISON ϟ I would turn off the fire of your heart Ven 27 Mai - 15:52
harrison valence waëlfield
Plus gros menteur de tous les temps, voilà ce que l'on notera sur ma très chère tombe et au fond, je ne peux que leur donner raison. Au cours de mon existence, je n'ai pas été un exemple à suivre, du moins, dans certains domaines. Je sais que tout ce que je pourrais dire ne servirait à rien pour changer la situation mais c'est dans la pure vérité que je vais vous la décrire. Je suis fiancé à une personne incroyable qui emmenait n'importe quel homme au paradis et pourtant, ce n'est pas mon cas. N'allez pas croire que je n'apprécie pas sa douce présence ou que les moments passés en sa compagnie ne me sont nullement joyeux mais elle est tout bonnement la seconde femme de mon coeur. Le soir, durant la petite fraction de secondes qui nous séparent du royaume des songes, ce n'est pas son tendre visage qui m'apparaît. Allez-y appeler moi monstre, petit ami honteux ou n'importe quoi d'autres mais je ne peux rien changer à la situation. Je suis un jeune homme qui quand il s'endort pense à une autre femme. Et vous savez ce qu'il y a de plus monstrueux là dedans, c'est que ma belle copine lui a donné pendant de longues années le nom de meilleure amie. Oui, je sais, ce que ça fait de moi, un homme paumé qui arrive à aimer deux femmes à la fois et qui se jouent d'elles. La bonne nouvelle là dedans, du moins pour vous, c'est qu'elle est partie et sans moi. Pour moi, c'est loin d'être une chose des plus agréables mais tout cela n'est qu'une des nombreuses étapes de ma longue existence. Mais avant d'entrer dans les déboires de ma vie, je devrais commencer par le plus important : me présenter. Qui je suis ? Simplement Harrison Shakespeare Waëlfield premier du nom. Mes parents ne sont nullement connus et en cherchant mon identité vous ne trouverez rien, du moins rien de croustillant. Je dois quand même avouer que j'ai gagné le concours national d'orthographe à l'âge de 8 ans et cela, j'en suis fier. Mon professeur d'anglais n'a d'ailleurs jamais compris pourquoi je ne me suis point lancé dans la voix du journalisme. Il faut dire que ma seule et unique expérience au journal de l'école m'a dégoûté à tout jamais. Si vous êtes sage, je vous en parlerais peut-être. Pour faire court, je suis barman, simplement quelques fois par mois mais mon véritable job est celui de pompier. Oui, je suis le genre de masochiste qui coure vers un feu pour sauver la vie d'autres personnes. Cela fait, pour certaines personnes, de moi un héros mais je ne me sens pas du tout comme tel. Il n'y a qu'à m'observer une seule journée pour s'en rendre compte. Je suis tout d'abord quelqu'un de très jaloux. Ne me signalez pas qu'en vue de ma situation, je ne devrais point l'être, j'en ai d'ailleurs totalement conscience. Je suis aussi têtu et qui plus est assez impulsif. Je peux changer d'avis sous un coup de tête mais j'en reste très secret. Certains de mes collègues m'ont d'ailleurs surnommé l'homme qui murmurait à l'oreille du vent, ce n'est bien entendu point méchant mais cela désigne bien qui je suis. En plus de tout cela, je suis parois trop franc et légèrement bagarreur quand on me cherche. Je vous l'ai dit, je suis le anti-héros. Néanmoins, si vous écoutez le profil que fait de moi ma très chère fiancée, elle vous dira que je suis marrant, sûr de moi mais surtout attentionné et protecteur. Je ne suis pas totalement sûr qu'elle aie raison.
Comme vous l'aurez donc compris, je ne suis nullement célibataire et contrairement à ce que l'on pourrait penser de moi, je ne suis pas du genre à draguer tout le monde. Je suis, si on peut le dire, fidèle aux deux femmes de ma vie. Cela ne fait pourtant pas de moi le pire de tous les gars. Je suis poli avec les gens et du haut de mes 25 ans, je laisse toujours ma place aux vielles personnes dans le bus. Je n'ai aucun mal à dire qu'un jour par semaine, je suis bénévole à la soupe populaire. Je suis aussi amoureux des animaux malheureusement, je ne peux point en avoir dans l'appartement, étant donné que Layla en a une peur bleue. J'essaye tout de même de lui faire comprendre qu'ils ne vont rien lui faire, dans l'espoir d'avoir bientôt un chien dans notre demeure. Contrairement à certains hommes, j'ai hâte d'avoir des enfants. Fervent lecteur, je peux dévorer un libre aussi facile qu'un film ou que du sport. Je ne pourrais vivre sans amusement et compagnie. Je ne suis pas quelqu'un de solitaire. Je bois beaucoup de cafés mais presque jamais d'alcool. Je ne supporte pas les gens qui fument. Je préfère conduire une moto qu'une voiture et je sais jouer du piano même si ce n'est pas ma passion première. Je n'aime pas les smarties jaunes et les films à l'eau de rose. Je suis une personne comme tant d'autres et bienvenue dans ma vie.
1ER ÉTAGE« GOOD MORNING AND, IN CASE I DON'T SEE YA, GOOD AFTERNOON, GOOD EVENING, AND GOOD NIGHT ! »
que fais-tu à san francisco ? Je ne suis ici que depuis quelques jours. Avant cela, j'ai passé, tout le début de mon existence, dans un petit trou paumé du nom de lake havasu city, et je peux vous assurer que depuis des années, je n'avais qu'une envie, aller m'installer ailleurs. Vous savez dans ce genre de village, tout le monde connaît tout le monde au point que la vie privée devient une donnée assez minime ce qui ne me plaisait nullement. Officiellement, cela fait seulement quelques mois que Layla et moi avons dans l'idée de déménager. Officieusement, cela fait un peu plus de quatre ans que j'y pense. En effet, il fut une époque où j'aurais tout abandonnée pour les beaux yeux d'une demoiselle qui n'était nullement ma petite amie. Je me souviens du jour où j'ai demandé à Ally de s'en aller avec moi comme si c'était hier. Je voulais tout quitter avec elle et venir m'installer dans cette charmante ville où notre vie aurait pu être tout autre. Maintenant j'y suis, pour d'autres raisons mais elles sont loin de me déplaire. J'aime ma future femme et l'on est heureux ensemble. ton appartement de rêve, il est comment ? La première qualité que devrait posséder l'appartement de mes rêves, c'est d'être lumineux. Je n'ai aucune envie de devoir allumer des lampes alors que ce n'est nullement nécessaire. Qui plus est, un appartement ouvert sur la ville et qui me permettrait de me sentir libre. Je préférerais que ce dernier se situe près d'un endroit de verdure où je pourrais passer de bons moments. Il aurait aussi une cuisine assez grande pour que je ne me sente pas à l'étroit lorsque je cuisinerais. Elle ne devra pas nécessairement être exceptionnelle mais assez luxueuse pour ne pas tomber en panne tous les mois. Je pense que le reste de la demeure m'importe peu. Du moment qu'il y a le strict nécessaire et que je me sente bien chez moi, c'est tout ce qu'il compte. Ah une dernière chose, j'espère que ce dernier sera composé d'au moins deux chambres. Une pour moi et ma compagnie et une autre pour notre premier enfant. Voilà sans doute ce qui rendrait mon appartement parfois, c'est la présence d'une famille qui me fasse sentir l'homme le plus heureux au monde. et ton/ta voisin(e) de rêve ? Contrairement à certains hommes, je ne demanderais pas expressément que mon voisin idéal soit de sexe féminin. Au fond, je me moque totalement. Sa principale qualité serait de ne nullement se mêler de ma vie. Je suis tout à fait partant pour le saluer le matin ou lui rendre des services mais pour discuter de ma vie personnelle. Je suis très secret et même mes amis ont du mal à me connaître véritablement. J'apprécierais tout de même ce voisin parce qu'il serait drôle et m'inviterait parfois à manger. Qui sait, je deviendrais peut-être son ami mais cela ne changera rien au fait qu'il ne doit nullement être curieux. Il serait aussi préférable qu'ils ne fassent pas trop de bruit durant la nuit. En vue de mon travail, je dois parfois me lever assez tôt et quelqu'un qui fait la fête toute la nuit n'est nullement pour moi un bon voisin. J'aime bien faire la fête de temps en temps mais pas faire la samba toutes les nuits. quel métier exerce-tu ? Je suis pompier et cela depuis que j'ai passé le concours à mes 18 ans. Je n'avais pas envie de ruiner mes parents en faisant de longues études et puis je n'en avais pas l'envie. Qui plus est, mon métier me convient parfaitement. Parfois, je sers de barman le week-end mais c'est plus pour passer une soirée conviviale que pour l'argent. J'ai en effet, il y a trois ans, gagné un petit peu d'argent à la loterie, pas la plus grosse des sommes mais assez pour vivre des années sans le moindre soucis d'argent. En plus, le métier de pompier, c'est tout de même bien rémunéré mais ce qui compte le plus pour moi, c'est le visage des gens s'illuminer quand ils voient un de leur proche revenir des flammes. ton plus beau souvenir ? IL est assez compliqué de ne donner qu'un beau souvenir. Je me souviendrais toujours du jour où j'ai sauvé cette petite fille comme de celui où j'ai demandé Layla en mariage mais aussi de la première fois où mes lèvres se sont posées sur celle d'Ally. Je ne sais point dire lequel de ce souvenir est le plus beau pour moi. Ils ont chacun une place dans mon coeur et je pense qu'il en sera toujours ainsi. t'as des secrets où tu es un plutôt un livre ouvert ? Tous mes amis pourront vous le dire, je suis l'une des personnes les plus secrètes que la terre n'est jamais créée. Je ne n'aime pas parler de moi, il va donc de soit que j'ai de nombreux secrets. Le plus important d'entre eux restera à jamais l'histoire que j'ai eue avec la meilleure amie de ma fiancée alors que je sortais déjà avec elle. Cela remonte à quatre ans mais il m'est impossible de l'oublier. N'allez pas croire que c'est parce que la culpabilité m'étouffe mais tout simplement parce que j'aurais été prêt à de nombreuses choses pour Ally et qu'elle est tout simplement partie, sans moi... Jamais je n'avouerais cette histoire à Layla car je n'ai pas envie de lui faire de la peine surtout que malgré tout ce que l'on peut croire, je l'aime. on a tous un rêve, le tien c'est ... J'aimerais bien faire un tour du monde pour découvrir d'autres cultures tout en étant entourée de nombreux animaux. Néanmoins, dans mes songes, il y a un rêve que je refais encore et encore. Celui-ci se passe toujours de la même manière. Je me revois, quatre ans en arrière, attendant devant une gare, un petit sac de vêtements dans ma main. Contrairement à la réalité, dans cette version, je n'attends pas pour rien. Après quelques minutes d'attentes, un beau visage arrive devant moi et la propriétaire de ce dernier me sourit avant de m'embrasser. Dans mon rêve, je m'en vais vers San Fransico en compagnie d'Ally. A chaque fois, je me réveille, totalement perturbé par ce que je viens de vivre. groupe désiré ? the snasa avatar On me dit que je ressemble à Penn Bagdley
2ÈME ÉTAGE« I WANT TO BE AN EXPLORER, LIKE THE GREAT MAGELLAN. »
Spoiler:
PSEUDO&PRÉNOM Amandine/Mandine ÂGE 19 ans PAYS&RÉGION Belgique AVIS SUR LE FORUM J'aime le design, le contexte et tout le monde à l'ait très sympathique QUELQUE CHOSE À AJOUTER Il était un petit navire qui n'avait jaaaaamais naviger ohéhé MDP DU RÉGLEMENT Je viens de lire 20 fois le règlement mais je ne l'ai pas trouver honte à moi :(
Dernière édition par H. Valence Waëlfield le Dim 29 Mai - 9:19, édité 3 fois
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Sujet: Re: HARRISON ϟ I would turn off the fire of your heart Ven 27 Mai - 15:53
R.D.C.« WE ACCEPT THE REALITY OF THE WORLD WITH WHICH WE ARE PRESENTED. »
Grandir est sans doute la chose la plus compliquée sur cette terre. On a toujours affreusement peur de faire des erreurs et personne n'échappe à cette règle même pas lui. Le jeune homme de 17 ans, est là, assis tranquillement dans son lit, cherchant une réponse à cette drôle de question n'étant autre que : Qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire de ma vie ? Chaque être humain s'est posé, au moins une fois dans sa vie, cette terrible question mais y apporter une réponse claire relève presque du miracle. Pour le jeune Harrison, ce choix se résumait en trois options. La première, sans aucun doute la plus expéditive, était de partir loin de ce trou perdu et de s'en aller faire le tour de monde. Sa vie à Lake Havasu City n'était pas un enfer mais il y vivait depuis sa naissance, c'est-à dire le 14 janvier 1986 et cela commençait à lui penser. Ce qu'il désirait, c'est ne pas se lever chaque jour et voir les mêmes visages. Malheureusement, cette idée était tout bonnement impossible. Il n'avait pas les moyens et encore moins le courage de laisser tous les êtres qu'il aimait, cette envie ne resterait sans doute qu'un rêve mais la situation lui laissait toujours deux choix qui restaient impossible. L'un d'eux était de continuer à vivre comme maintenant. Durant tout le début de sa vie, Valence n'avait créé aucun soucis à ses parents. Un petit garçon travailleur s'étant transformé en adolescent qu'il était tout autant. Bien entendu, il faisait des conneries comme tous les adolescents mais rien de totalement désastreux. Il n'était pas un drogué ou même un fumeur mais plutôt un adolescent qui prenait la vie du bon côté. Néanmoins, il savait que s'il continuait dans cette voix, pour faire plaisir à ses parents, le chemin serait semer d'embûches. Comment payerait-il la fac ? Il ne voulait pas que les personnes qui avaient passé toute leur vie à l'élever soient obligées de prendre dans leur économie pour lui payer une bonne université. Au court de son existence, il n'avait jamais aimé devoir compter sur les autres. S'il devait se réaliser, c e serait par ses propres moyens et non pas en démolissant la vie des personnes qui lui sont chères. Il ne lui restait plus alors qu'une seule et unique solution tout aussi compliquée que ne l'était les précédentes. S'il ne continuait pas ses études, comment gagnerait-il sa vie ? Ouvrir une boutique ? Aucun doute qu'il ferait fuir tous les clients pas son caractère si compliqué et puis, il n'était pas le genre d'hommes fait pour rendre ce genre de services aux gens. Devenir gérant d'un restaurant ? Harrison n'en possédait point les moyens et même si toutes les demoiselles du quartier appréciaient sa cuisine au point que ses amies et petites amies refusent catégoriquement qu'il les emmène au restaurant préférant sa cuisine, il ne se considérait pas comme assez bon cuisiner. Qui plus est, avoir autant de monde sous ses ordres ne serait pas vraiment une partie de plaisir pour lui. Le nombre de solutions diminuait à vue d'oeil mais faire quelque chose de sa vie était l'un des objectifs qu'il voulait réaliser. Devenir quelqu'un était pour lui, l'une des solutions, pour à terme quitter ce village. Valence laissa tomber la musique et descendit voir la télévision familiale et ce fut-là que l'évidence s'amena à lui. Devant ses yeux, aux informations, on interviewait un pompier de la région qui venait de faire face à un terrible incendie. Cette image monta peu à peu à son cerveau et l'envie de devenir lui aussi un homme en uniforme prit place. Non, ce n'était pas la gloire qu'il l'avait décidé mais plutôt l'envie de sauver des vies, de se rendre, d'une certaine manière, utile dans la société.
Le soir même, après le repas, il avoua à ses parents l'idée qui lui trottait dans la tête. « Je veux devenir pompier. » Il ne savait dire lequel de ses parents avait la pire des expressions mais ils n'étaient point content de ce choix. « Tu feras des études et après tu pourras choisir de faire ce que tu veux de ta vie. » Cette phrase venait, bien entendu de son père totalement mécontent du choix de son fils. Il savait que ce dernier ne changerait pas d'avis mais lui non plus, sur ce point, ils étaient faits sur le même moule. « Je n'ai pas envie de continuer des études, je veux me rendre utile, aider les gens... » Tout aurait encore pu durer des heures si madame Waëlfield ne s'était pas mise à parler. « Saune, pompier, c'est tout de même un beau métier. » Un sourire naquit sur le visage de l'adolescent qui savait maintenant qu'il avait, de son côté sa mère et cela voulait dire beaucoup.
25. mai 2004. On pouvait lire sur les traits du jeune homme occupé à téléphoner qu'il n'était nullement de bonne humeur. D'habitude, lorsque sa très chère mère lui téléphonait, son attitude était tout autre. Le problème, c'est que depuis quelques temps, elle avait pris l'habitude de lui poser sans cesse la même question et cela commençait à peser sur ses pauvres épaules. Le tout jeune pompier, du haut de ses 18 ans, n'avait pas vraiment envie de se caser. Il avait la vie devant lui et aucunement l'envie de se lancer dans une grande histoire d'amour. Au lycée, il avait eu quelques petites amies mais rien de totalement sérieux. Valence faisait partie de ces gens qui ne cherchaient pas vraiment après l'âme soeur, il préférait attendre qu'une personne telle qu'il l'attendait lui tombe dessus plutôt que le contraire. « Non maman, je n'ai pas envie que tu me présentes la fille de ta coiffeuse, je suis assez grand pour me trouver une copine, c'est juste que je n'en ai pas ... » Le pauvre jeune homme n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'il se trouvait maintenant au sol. Qu'est ce qui s'était passé ? Il n'en avait aucune idée. Sans doute qu'étant obnubiler par ses pensées, il n'avait point regardé devant lui et il était tombé en rencontrant quelque chose ou plutôt quelqu'un. Juste en face de lui se trouvait une demoiselle, les cheveux lui cachant le visage, elle aussi sur le sol. Rapidement il se releva et lui tendit la main sachant parfaitement qu'il était en faute, il ajouta même une petite phrase. « Je suis vraiment désolé, je ne regardais pas où j'allais. » C'était des excuses sincères et la belle demoiselle rattrapa sa main avant de lui sourire, ne lui en voulant nullement pour la situation. Dans ses paroles, la belle semblait même rire de ce qui venait de se passer. « Je comprends, cela ne doit pas être évident d'avoir une mère qui veut vous caser à tout prix. » Un peu gêné, il venait de comprendre qu'il avait parlé beaucoup plus fortement qu'il ne le pensait. « Elle est tout simplement très impatiente d'avoir des petits enfants. Puis-je vous offrir un café pour me faire pardonner ? » La demoiselle au sourire d'ange accepta. Durant ce délicieux café, il apprit qu'elle portait le doux prénom de Layla, qu'elle entrait dans sa dix-septième année, qu'elle était allergique à la banane et surtout qu'elle était une très agréable personne qu'il avait envie de revoir.
4 octobre 2004. Harrison était anxieux, c'était la première fois que ce genre de choses lui arrivait alors qu'il cuisinait. D'habitude, il se sentait comme un poisson dans l'eau mais aujourd'hui c'était différent parce qu'il n'avait pas n'importe qui devant lui. Non, il s'agissait d'une adorable demoiselle avec qui il passait un bon moment. Doucement, il apporta un plat de pâtes fraîches à la bolognaise. Il tenait cette recette de sa grand-mère italienne qui lui avait appris beaucoup de choses durant le seul voyage qu'il avait pu faire en Italie. Doucement, il posa le plat sur la table de son appartement et ce fut, avec un immense sourire, qu'il remplit l'assiette de la belle. Après un merci et une partie du repas avalée la douce se retourna vers lui avant de lui parler. « Et bien, je n'aurais jamais pensé qu'un jeune homme pouvait cuisiner aussi bien. » Pour lui, c'était un des plus beaux compliments qu'on pouvait lui faire.
Fin mai 2005. Il était là, assis sur l'une de ses chaises inconfortables mais il s'en moquait. Il faisait beau et puis, il était tellement fier de la demoiselle qui venait de s'avancer sur l'estrade. La belle brunette en avait fini avec l'école, elle était maintenant une belle demoiselle et il ne pouvait s'empêcher de l'observer. Oui, elle était parfaite et cela, même sa mère le pensait. Néanmoins, ils n'étaient que des amis et c'était peut-être mieux ainsi. Il pouvait se passer des jours sans qu'il ne puisse la voir à cause de son boulot et puis, sortir avec une lycéenne n'était nullement une chose dont il avait envie. Seulement, maintenant, elle n'était plus cette petite lycéenne, elle entrait dans le monde des adultes et il ne pouvait le nier, elle était à croquer.
25 avril 2006.Ils étaient là, installés dans le grand canapé en train de se regarder un bon film quand Layla avait osé dire que l'acteur principal était cent fois plus mignon que Harrison. Le jeune homme, pour se venger, avait répliqué la même chose sur l'actrice. Cela était parti en bataille de coussins. Ils courraient maintenant dans l'appartement du jeune homme. La belle essayait d'échapper à l'homme qui lui avait promis une immense séance de chatouilles s'il arrivait à l'attraper. Il courait vite et la pauvre était obligée de feinter pour ne pas se retrouver dans ses griffes. Une erreur et elle se trouvait maintenant prise au piège. La belle essaya tout de même de passer mais sans le moindre succès. La seule chose qu'elle réussit, c'est à se prendre le pied dans le tapis et chuter. Seulement, elle entraîna le jeune homme avec elle dans sa chute. Ce dernier se retrouva au-dessus de la demoiselle et ils tombèrent dans un état d'hilarité générale. « Tu es prête pour le châtiment. » Il avait dans les yeux cette petite lueur malicieuse et sans attendre la réponse de la demoiselle, il commença à la chatouiller. La pauvre gesticulait, dans tous les sens, mais il ne lui laissait pas le choix. « S'il te plait arrête, je vais exploser de rire. » Ce fut tout ce qu'elle réussit à prononcer entre deux éclats de rires. Le jeune homme rapprocha son visage de la belle pour lui donner un bisou sur la joue mais à cause du traitement qu'il était en train de lui infliger, la douce bougea sa tête. Ce fut leur bouche qui se rencontrèrent. Un baiser innocent mais qui les laissa comme de glace. Ils n'osaient plus bouger mais ils se regardaient tous les deux, droit dans les yeux, quand il osa faire le premier pas. Ce fut un tout autre baiser, remplis d'amour, d'envie et de tout ce qu'il ressentait sans même sans rendre compte. Ce soir, était le début d'une longue histoire d'amour.
15 juin 2006.ALLY CAMERON RILEY FAWKES. Son cerveau n'avait que ce prénom en tête et il ne comprenait pas pourquoi. Elle n'était que la meilleure amie de sa copine, rien de plus. Et pourtant, tout ce qui s'était passé dans ce café l'avait rendu totalement perplexe. Elle était telle un ange que l'on voulait approcher et en même temps qui était si éclairant que l'on avait peur de le noircir par notre présence. Toute la nuit, il n'avait pensé qu'à elle et dans ses songes, il la voyait sous toutes les coutures, il caressait doucement son visage, touchait ses lèvres. Au matin, il avait été dans un état de décomposition totale. Comment pouvait-il penser à une autre alors qu'il partageait la vie d'une femme merveilleuse ? Il n'en avait aucune idée mais depuis hier, tout se mélangeait. La vie est remplie de surprise mais celle là, il ne s'y était nullement attendue. Ce matin, il s'était d'ailleurs levé tôt pour aller chercher le cadeau de Layla et surtout pour se vider la tête, un petit footing mais rien n'était oublié. Au fond, peut-être qu'il appréciait tout simplement amicalement la femme la plus importante pour sa petite amie et que c'était tout à fait logique de penser à elle. Là où la logique disparaissait c'est quand il ne pensait presque plus qu'à elle. Il s'arrêta d'ailleurs quelques secondes devant ce fameux café et cela lui prodigua un sentiment étrange de plénitude qu'il n'avait jamais ressenti. Cette sensation le rendait presque malade de dégoût contre lui-même. Rien n'était clair et sur un coup de tête, il s'avança vers le premier fleuriste qu'il trouva et commanda un bouquet de roses rouges et blanches. Une dizaine de minutes plus tard, il sonna à la porte d'une charmante demeure, son bouquet à la main. Il arrivait de la manière la plus surprenante qui soit. Une belle brunette ouvrit la porte et à la tête qu'elle fit, elle ne s'attendait nullement à cette surprise. « Qu'est-ce que tu fais ici ? » Il la regardait droit dans ses magnifiques prunelles. « Je voulais tout simplement te remercier pour ton aide d'hier soir. » La raison était totalement disproportionnée face au cadeau. Pourquoi avait-il agi de la sorte avec une femme qui n'avait rien à voir avec lui ? Il n'en avait aucune idée mais le résultat restait le même, il se trouvait devant chez elle alors que Layla n'avait aucune idée d'où était son petit ami.
28 décembre 2006. Qu'est ce qu'il faisait ici ? Il obéissait à Layla ou du moins, c'est ce qu'il essayait de se persuader. Néanmoins, tout ce qu'elle lui avait demandé, c'est d'aller voir ce qu'avait sa meilleure amie. En effet, elle sentait que quelque chose n'allait pas mais la belle refusait de lui en parler. Elle pensait donc qu'en envoyant quelqu'un d'autre cela serait différent. Oui, Valence y était allé mais tout ce ne s'était pas passé comme la douce l'espérait. Ally n'avait voulu lui ouvrir qu'après de multiples tentatives. Lorsqu'elle se décida, ce fut dans une immense tristesse. Il ne supportait pas de la voir ainsi, sans réfléchir, il l'embrassa tendrement. C'est comme si elle était la femme qu'il avait toujours attendue, celle qu'on appelait âme soeur. Dès qu'il se trouvait près d'elle quelque chose d'étrange se produisait, oui, il aimait sa petite amie mais c'était différent. Pour l'ange, il était prêt à tout, même à se jeter dans un feu rien que pour acquérir son amour. Il la désirait, la voulait et ne pouvait s'empêcher d'être près d'elle. Tout ce qu'il désirait, c'est la prendre dans ses bras et l'embrasser pour l'éternité. Cette nuit fut la plus merveilleuse de sa vie, la passion et aucun remords. Un moment tout droit venu du paradis et il n'avait qu'une seule envie y retourner. Durant la nuit, il ne dormit point, se contentant de la regarder plonger dans les bras de Morphée pour observer l'incroyable beauté qu'il avait devant lui. Une idée s'immergea dans son esprit pour ne plus en sortir. C'est avec elle qu'il voulait être. Le seul amour qu'il voulait recevoir c'était le sien et pour cela, il était près à tout et n'importe quoi. Tandis qu'elle dormait toujours, il se fit tout un discours dans la tête. Il savait ce qu'il voulait et comment l'obtenir. Etre ici avec elle, serait presque impossible. En effet, comment passer à côté de la femme que l'on a aimée alors qu'on embrasse sa meilleure amie ? Cependant, la donne changeait s'ils partaient ailleurs, dans un endroit où rien ne les empêcherait d'être ensemble. Voilà ce qu'il proposa, s'en aller loin d'ici. Pour elle, il était près à repartir à zéro, à abandonner tous les êtres qui lui étaient chers puisqu'elle comptait plus que n'importe qui.
Le soir même. Harrison avait demandé d'être remplacé au travail. Il avait préparé un petit sac de voyage avec le strict nécessaire et se rendait vers la demeure d'Ally. Son plan étant de lui envoyer un petit message pour s'assurer qu'elle était bien seule avant de se rendre chez elle et lui montrer qu'il était près à la suivre jusqu'au bout du monde. Il était là, devant l'arrêt de bus quand son téléphone sonna. Le numéro qui s'afficha fut celui de Layla. Il devait justement lui sonner pour lui mentir sur son départ. En effet, il avait dans l'idée de lui avouer qu'il s'en allait aider un ami durant quelques jours. « Lay chérie, j'allais justement te ... » Il fut interrompu par sa petite amie en larme. « Je suis dans son appartement et il n'y a plus rien... Elle est ... je ne sais pas où elle... Je... » Elle recommença à pleurer. Elle n'avait que peut parler et pourtant, il savait avec exactitude la situation. « Tout va bien aller, j'arrive dans quelques minutes. » Il entra dans l'appartement d'Ally où il retrouva sa petite amie en larme. Sans attendre, il se jeta dans ses bras et la calma du mieux qu'il put. Cependant, tandis qu'il calmait sa petite amie, son coeur lui se brisait en milles morceaux. Elle était partie sans lui... Il était, à cet instant, l'être le plus malheureux de la terre. Il ne savait quoi faire pour retrouver un semblant d'envie de vivre. Il raccompagna sa petite amie chez eux et la mit au lit. Quand elle fut endormie, il sortit de la maison, s'aventura vers un endroit abandonné et commença à casser tout ce qui se trouvait sous sa main. Il s'en voulait d'avoir été si con et de l'avoir laissé partir. Il lui en voulait comme jamais et en même temps, il ne pouvait se résoudre à ne plus l'aimer. Une bouteille d'alcool dans une main et son coeur en miette dans l'autre, il resta ainsi de nombreuses heures, essayant de calmer sa peine qui pourtant ne faisait que grandir. Tout ce qu'il désirait, c'était elle mais elle l'avait abandonné et maintenant qu'est ce qu'il pouvait faire ? Aucune idée de toute manière sa tête l'empêchait de penser ce soir.
Harrison était là, du haut de ses 23 ans, heureux sur cette belle plage de Californie. Le jeune homme avait dépensé une grosse partie de ses économies pour lui offrir ce voyage. Il voulait que tout soit parfait, pour elle et pour lui. Tandis que la belle finissait de se préparer, il réglait les derniers détails de cette soirée qu'il voulait absolument inoubliable. Lorsqu'elle sortit de la salle de bain, il lui demanda de passer sa plus belle robe prétextant un dîner romantique. La belle n'y avait vu que de feux. Lorsqu'elle fut prête, il lui banda les yeux et l'amena à l'étage de la petite maisonnée. Cette dernière possédait un balcon duquel on pouvait apercevoir une grande partie de la plage. Lorsqu'ils furent en haut, il lui enleva tout doucement le bandeau pour qu'elle puisse admirer le spectacle. Sur la plage, une phrase avait été écrite par des millions de bougies allumées. Quelle était-elle ? Simplement veux-tu m'épouser ? Oui, il la demandait en mariage et il profita des quelques minutes qu'elle mit à observer la scène pour mettre un genou à terre avant d'ouvrir le magnifique écrin contenant la bague de fiançailles. Il avait travaillé d'arrache pied pour payer ce voyage mais la bague quant à elle avait une valeur plus que sentimentale. Elle venait de sa grand-mère et s'il la lui offrait c'est parce qu'il avait envie de passer tout le restant de sa vie en sa compagnie. « Layla Arizona Ferguson veux-tu bien m'épouser et faire de moi l'homme le plus heureux de la terre ? Je ne suis pas le plus riche des hommes mais tu possèdes ce que j'ai de plus précieux : mon coeur. » Il n'attendait plus qu'une réponse de sa part. Il l'observait tout sourire avant de remarquer que des larmes coulaient des yeux de la douce sur ses joues. Cela le stressait, il espérait que sa réponse soit un oui. Tout à coup, elle lui sauta dessus, l'embrassa et lui répondit. « Bien sûr que je le veux, je t'aime. » Ils resta plus d'une heure comme cela, la tenant dans ses bras profitant de ce si bel instant gravé à jamais dans sa mémoire. Dans quelques temps, il lui offrirait le plus mariage de tous les temps car c'est ce qu'elle méritait, elle était là pour lui et il serait toujours là pour elle.
25 mai 2011.Il l'a pris dans ses tendres bras. Son idée était de la porter durant toute la montée des escaliers. En effet, il ne voulait rien laisser au hasard. Maintenant, ils étaient dans une nouvelle vile et une nouvelle vie tout ce qu'il a de plus agréable les attendait. Harrison avait un immense sourire aux lèvres tout en montant ses escaliers. Pour lui, c'était tout ce qu'il désirait, un nouveau départ, loin du passé. Cela faisait des mois qu'il envisageait l'idée de partir et qu'il en parlait à sa douce. Vivre à Lake Havasu City était devenu un enfer pour lui. Chaque fois qu'il revoyait le café ou qu'il arrivait près de l'appartement de Ally, tout lui revenait à la surface. Malgré tous ses efforts, il n'arrivait pas à l'oublier et cela hantait en quelque sorte sa vie. Il voulait un nouveau départ et il se devait de changer pour la si belle femme qui l'accompagnait depuis tant d'années. Malheureusement, cela semblait totalement impossible s'il restait dans ce lieu. Les souvenirs étaient trop présents et rendaient impossible un passage vers un mieux. Ce fut donc le coeur plus léger qu'il tourna la clé dans la porte de leur nouvel appartement. « Bienvenue chez nous ma belle. » Tout en continuant de tenir sa femme dans ses bras, il ferma rapidement la porte avant de la déposer sur leur nouveau lit. Tout ce qu'il voulait c'est l'embrasser encore et encore et oublier toute sa vie d'avant. « Je sens que l'on va être heureux ici. » Il ne pouvait que donner raison à sa belle et la meilleure manière de le lui montrer était de lui offrir un magnifique baiser. « Qui plus est, c'est l'endroit parfait pour faire de magnifiques bébés. » Oui, Valence avait de plus en plus envie de se marier mais surtout de fonder une famille. Il voulait devenir père et offrir le meilleur de tous les cadres de vie à son enfant. « Bon et si on allait décharger les cartons. » La belle se leva et la suivit, tout se mettait en place. Dans quelques heures, ils auraient installé une grande partie de leurs affaires. Qui plus est son transfert dans la brigade de pompier de San Fransico était déjà d'application, aucune ombre ne pouvait se glisser au tableau. Et pourtant, sans le savoir, celle qu'il cherche depuis si longtemps à oublier se trouve plus près de lui qu'il ne le pense. Tellement proche qu'il lui suffirait de sonner à l'appartement voisin pour qu'il revoie son inoubliable passé...
Dernière édition par H. Valence Waëlfield le Dim 29 Mai - 9:15, édité 5 fois
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Sujet: Re: HARRISON ϟ I would turn off the fire of your heart Ven 27 Mai - 15:58
Bienvenue
Owen-Phillip Gallagher
● I'M SUPERMEGAFOXYAWESOME
ϟ PAPERS : 1322 ϟ LIVE HERE SINCE : 24/04/2011 ϟ LOOK LIKE : Ewan McGregor ϟ CREDITS : white rabbit. ϟ COOL JOB : underco
Sujet: Re: HARRISON ϟ I would turn off the fire of your heart Ven 27 Mai - 16:01
BIENVENUE AU CHÉRI DE MA ALLY D'AMOUR Verlaine était pas gay ?
Bref, bon courage pour ta fiche
Beau Lennon
⚡ NOUVEAU RESIDENT.
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Sujet: Re: HARRISON ϟ I would turn off the fire of your heart Ven 27 Mai - 16:11
esperons que son prénom n'est pas... réprésentatif de la réalité sinon on s'est bien faite rouler Layla et moi Bref, bienvenue et bonne chance pour ta fiche .
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Sujet: Re: HARRISON ϟ I would turn off the fire of your heart Ven 27 Mai - 16:15
Bienvenue mon fiancé
Ally-Cameron R. Fawkes ALLY ★ elle a l'ivresse de la vodka, la folie de la tequila !
ϟ PAPERS : 313 ϟ LIVE HERE SINCE : 24/04/2011 ϟ LOOK LIKE : Leighton Meester ϟ CREDITS : birdie (avatar) tumblr (signature) glee cast (music) ϟ COOL JOB : apprentie vétérinaire
Sujet: Re: HARRISON ϟ I would turn off the fire of your heart Ven 27 Mai - 16:21
Bienvenue parmi nous avec cet excellent choix de scénario PENN
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Sujet: Re: HARRISON ϟ I would turn off the fire of your heart Ven 27 Mai - 16:25
Raiponce : merci beaucoup Andreas : gosh RHW (la femme de ma vie à moi derrière l'écran hein pas à vévé ) merci ce n'était pas fait exprès j'y avais pas pensé Beau : en une minute tu me fais revenir devant contry strong merci en plus j'hésitais entre verlaine et rimbaud
Allyyyyyyyyy
Mais non je n'aime que vous merci beaucoup Un détail mdr
Layla : merci ma fiancée toute jolie
Maryan merci et je trouve aussi et que dire de Amber d'ailleurs ils sont sexy à deux dans stephfather
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Sujet: Re: HARRISON ϟ I would turn off the fire of your heart Ven 27 Mai - 16:46
Verlaine était bisexuel, il avait UNE FEMME ET SE FAISAIT RIMBAUD quand même Bienvenuuuuue \o/
Amandine + Belgique + ton âge = YT ou je rêve ?
Tim Hawkes-Salisbury
SWITCHBACK ⚡ ain't okay, i've got no way to switchback
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sinon on s'est bien faite rouler Layla et moi 
j'y avais pas pensé 
