Daphné-Lux I. Von Bart daph ★ don't take my heart, don't break my heartϟ PAPERS : 961 ϟ LIVE HERE SINCE : 01/05/2011 ϟ LOOK LIKE : natalie portman ϟ CREDITS : golden gates ϟ COOL JOB : ballerina
| Sujet: (m) JAMES FRANCO ★ who do you think you are, collecting your jar of hearts ? Jeu 12 Mai - 14:47 | |
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Elliot Prénom Nom © Tumblr ft James Franco
PRÉNOM ET NOM COMPLET Elliot au choix au choix ÂGE 30 ans STATUT célibataire et papa d'une petite fille de deux ans : Isabelle MÉTIER ET/OU ÉTUDES professeur de français dans un lycée et peintre à ses heures perdues PRINCIPALES QUALITÉS charismatique, foncièrement gentil, doux, attentionné VILAINS DÉFAUTS perturbé, lunatique, irréaliste AVATAR NÉGOCIABLE PAR Hayden Christensen mais je ne suis pas difficile donc vous pouvez proposer ! GROUPE THE TED MOSBY Elliot est né à NYC d'un père chef d'une grosse entreprise immobilière et d'une mère musicienne un peu bipolaire mais aimante. Il a grandi dans un milieu riche là où il n'a jamais manqué de rien : Elliot n'a jamais rêvé de quitter cette vie là, elle lui convient très bien : lui qui ne cherche qu'une vie heureuse et simple. Sa vie est quand même assez libre avant qu'il ne rencontre Daphné à ses 21 ans (a) Sachant quand même que quand il eu 20 ans, sa mère fut interné en hôpital psychatrique et il le vit assez mal !
Pour la relation : Elliot et Daphné ont vécu cinq ans en couple (23 ans d'Elliot jusqu'à ses 28 ans), lui il a toujours été au courant qu'il était père de la petite Isabelle mais il n'avait jamais cherché à prendre contacte c'est Alana, sa meilleure amie (Maggie Grace), qui l'en dissuadait mais il a décidé de connaître sa fille et il s'est installé il y a deux semaines dans l'appartement à côté de celui de Daphné avec Alana qui a décidé de l'accompagner !
le seul moment où je n’ai pas froid c’est quand je pense à toi... Qu'est ce que vous faites ici ? Son ton était sec, dur et aigre, à mesure qu'il s'approchait d'elle. Il ne l'intimide pas, partout elle devrait être effrayer par sa voix, mais elle ne l'est pas. Elle éprouve cette indifférence envers cette homme qui plait tant aux femmes. Elle l'avait vu dans l'assemblé quand elle dansait, elle l'avait vu la fixant, comme si il la déshabillait toute entière. Elle détestait ça. Hum c'est plutôt à moi de vous poser cette question ! C'est le studio de danse ici.... Il la regarda amusé, un demi sourire entre ses lèvres. Je vous ai vu à l'exposition l'autre jour. Vous vous intéressez à l'art ? Elle ne releva même pas la tête pour lui repondre, toujours affairé à ses chaussons de danse. J'aime l'art dans toute ses formes. Je ne sais plus comment leur histoire commença vraiment mais je sais que ce fut beau, je sais qu'ils marchèrent le long des avenues de NYC, je sais qu'ils sont souvent sortis ensemble et je sais qu'ils sont tombés amoureux. Non, ils volaient amoureux.
" There are leftovers in the fridge, i'm not coming home for lunch. I love you. " Elle a balancé leur routine sur un bout de papier jaunit, qu'elle a laissé au milieu de la table avant de sortir. Son amour se lève bien après, son amour ne travaille pas. C'est un artiste, il passe sa vie dans l'atelier, à griffonner, à barbouiller, trop de couleurs sur trop peu de liberté. Daphné aime bien ce qu'il fait, elle pensait qu'on s'en rendrait vite compte, c'est elle qui s'en est aperçu rapidement, qu'elle était la seule à trouver ça dément. Son amour, il se dit artiste maudit, il en veut à la société, il s'enferme et se crée un monde, il peint, dessine, sa rancœur contre la nature humaine. Et c'est toujours la même rengaine. Oh mais la ballerine l'aime. Quand il quitte ses pinceaux et la sert contre lui, quand il la prend pour sa plus belle œuvre d'art. Alors il glisse ses doigts le long de son corps aminci, il imagine qu'il la reconstruit. C'est tout lui. Il lui griffe les hanches et moule ses épaules, il la chéri. C'est tout lui. Elle va travailler aujourd'hui. Comme hier, comme demain. Comme depuis des mois. Le bus est bondé. On se marche dessus, on se méprise, on s'assassine, si vous le pouviez, vous vous démoliriez tous entre vous. C'est pire que dans la jungle. C'est la nature humaine, celle qu'il déteste, son amour. Le quotidien est démentiel, surtout, il rend aveugle. Elle s'assois négligemment, elle cache son regard absent et ferme les paupières. Mais une présence lui pèse, la chaleur d'yeux posés sur elle. Elle sait. Assise au fond du véhicule, face à l'allée désormais dégagée. Il y a une femme rousse, la vingtaine. Elle a, le regard triste, le regard noir, les cheveux en pétard. Les joues noircies par l'eye-liner, elle pleure depuis des heures. Daphné le sait. A son cœur qui se dresse, qui déchire le silence. Elle sait. Mille pensées se bousculent dans ce crâne enfumé, elle brûle, elle voudrait hurler, elle sait. "Il est parti.". Elle dit. "Il est parti" Comme une demeurée, elle répète sans arrêt, "Je l'aimais.". C'est pas son amour à elle qui la quitterait. Mais elle arrive à se demander, qui est la plus à plaindre. La jolie rousse a l'air en vie, derrière ses lèvres rougies, écorchées à force de les griffer, elle bouillonne d'émotions, elle ressent, la haine, la rancœur, le désespoir. Mais elle ressent. Et Daphné a oublié. Peut-être qu'un jour, on le retrouvera au milieu de son atelier, parmi les pinceaux, les pots de peintures et tes toiles déchirées, le regard absent et le cœur mourant, après des jours de solitude à pleurer dans le noir, peut-être qu'on le retrouvera, comme cette femme qui dégueule son désespoir, qu'il murmurera du bout des lèvres, "Je l'ai perdu". Mais pour l'instant elle retourne travailler. N'oublie pas. "Je t'ai laissé un morceau de tarte au frigo."
Daphné et Elliot ne songent pas à partir. Le silence de l'appartement les protège et personne ne les attend. C'est cela qui leur est arrivé : plus personne pour les attendre. Ils sont seuls, comme ne le sont que les vieillards. Ils ont le regard hagard de solitude. Ils sont le souffle court des épuisés. Ils ont les gestes ralentis des plus démunis. Ils s'abritent dans une cuisine improbable, à l'extrémité d'un continent. Ils égrènent leur vie comme d'autres des prières, en roulant des chapelets entre leurs doigts osseux. Ils sont parvenus au terme de quelque chose, sans être en mesure de discerner encore ce qui pourrait commencer pour eux. Ils se sont égarés.
Je suis enceinte Elliot. Je vais partir. Je vais te quitter et quitter NYC. Les mots étaient d'une banalité insoutenable. Les mots usés étaient une injure faite à leur douleur. A leur histoire de cinq ans. Mais il n'y en avait pas d'autres. Mais tu ne peux pas.... Tu es enceinte. On s'aime.... Tu ne peux pas me quitter comme ça. Il se sent mal. Elle dit je suis désolée, elle dit qu'elle l'a aimé, elle dit qu'elle ne peut pas continuer à faire comme si leur amour durait toujours. Elle ne veut pas vivre un mensonge. Vraiment. Il se sent mal. Il veut que le sol s'ouvre sous ses pieds, il veut disparaître. C'est comme un coup de poing dans le ventre, une claque, un couteau planté dans son coeur. Elle dit qu'elle est désolée, elle ferme la porte du taxi. Elle est partie. La porte du taxi à peine claquée, Elliot s'est mis à courir derrière elle ; c'est idiot de courir derrière quelqu'un qui s'en va, surtout quand on n'a aucune chance de la rattraper. Mais il courait pour courir ; confrontée au départ de Daphné et de leur futur enfant, il n'y avait rien d'autre à faire pour exprimer sa peine et sa révolte. Il courait derrière je ne sais quoi... Daphné qui s'en allait, quelque chose lui échappait qu'il aurait aimé garder : sa vie. Les phrases que l'on prononce enfant quand les parents sortent le soir me revenaient en mémoire : Ne me laisse pas... Son chagrin était de cet ordre-là. Il espère lui manquer, comme ça, d'un seul coup. Un vide vertigineux qu'elle ne pourrait ignorer. Il espère qu'au fil des heures elle soit gagnée par le doute, qu'elle prenne peu à peu la mesure de son absence. Il voudrait qu'elle se rende compte que jamais personne ne l'aimera comme il l'a aimé, par-delà les limites qu'elle impose, cette solitude fondamentale qu'elle oppose à ceux qui l'entourent mais n'évoque qu'à demi-mot. C'est ridicule. Il se sent ridicule.
On peut mourir tout doucement D'un petit baiser qu'on attend D'une voix froide au téléphone D'un mot qu'on lance à bout portant D'une confiance qu'on reprend D'un amour qui vous abandonne
Dernière édition par Daphné-Lux I. Von Bart le Mar 17 Mai - 15:33, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: (m) JAMES FRANCO ★ who do you think you are, collecting your jar of hearts ? Mar 17 Mai - 15:44 | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: (m) JAMES FRANCO ★ who do you think you are, collecting your jar of hearts ? Dim 22 Mai - 17:44 | |
| Héhéhé Je sais que tu n'en crois pas tes yeux, mais me voilà en chair et en os... J'ai préféré Hayden à James, j'espère que ça te va :) Et sinon, ton scénario est vraiment magique quoi ! J'ai a peine pu résister en fait |
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| Sujet: Re: (m) JAMES FRANCO ★ who do you think you are, collecting your jar of hearts ? Dim 22 Mai - 18:59 | |
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Ana "Lys" Steevens LYS ♌ the devil's tears ϟ PAPERS : 481 ϟ LIVE HERE SINCE : 27/04/2011 ϟ LOOK LIKE : teresa palmer. ϟ CREDITS : keverdeen. ϟ COOL JOB : maniaco-dépressive.
| Sujet: Re: (m) JAMES FRANCO ★ who do you think you are, collecting your jar of hearts ? Mar 12 Juil - 10:26 | |
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| Sujet: Re: (m) JAMES FRANCO ★ who do you think you are, collecting your jar of hearts ? | |
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